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ATROPINE (SULFATE) AGUETTANT 0,25 mg/mL, solution injectable - Résumé des caractéristiques du produit

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ANSM - Mis à jour le : 19/09/2022

1. DENOMINATION DU MEDICAMENT  Retour en haut de la page

ATROPINE (SULFATE) AGUETTANT 0,25 mg/mL, solution injectable

2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE  Retour en haut de la page

Sulfate d’Atropine................................................................................................................ 0,25 mg

Pour une ampoule de 1 mL.

Un mL de solution injectable contient 0,25 mg de monohydrate de sulfate d’atropine, équivalant à 0.208 mg d’atropine.

Une ampoule de 1 mL contient 0,25 mg de monohydrate de sulfate d’atropine, équivalant à 0.208 mg d’atropine.

Excipient(s) à effet notoire : sodium

Une ampoule de 1 mL contient 3,5 mg de sodium, équivalent à 0,154 mmol de sodium.

Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.

3. FORME PHARMACEUTIQUE  Retour en haut de la page

Solution injectable.

Solution limpide et incolore

pH 3.2- 4.5

4. DONNEES CLINIQUES  Retour en haut de la page

4.1. Indications thérapeutiques  Retour en haut de la page

Le sulfate d’atropine Aguettant 0,25 mg/mL solution injectable est indiqué chez les adultes et la population pédiatrique.

· Médicament pré-anesthésique pour prévenir les réactions vagales associées à l’intubation trachéale et à la manipulation chirurgicale.

· Limitation des effets muscariniques de la néostigmine utilisée après la chirurgie pour la neutralisation des curares non dépolarisants.

· Traitement de la bradycardie compromettant l’hémodynamique et/ou du bloc auriculo-ventriculaire dû à un tonus vagal excessif en cas d’urgence.

· Réanimation cardio-pulmonaire : traitement de la bradycardie symptomatique et du bloc auriculo-ventriculaire.

· Antidote suite à un surdosage ou une intoxication par les inhibiteurs de l’acétylcholinestérase, p. ex. anticholinestérasiques, organophosphorés, carbamates et champignons muscariniques.

4.2. Posologie et mode d'administration  Retour en haut de la page

Le sulfate d’atropine Aguettant 0,25 mg/mL solution injectable doit être administré sous surveillance médicale

Posologie

Médication pré-anesthésique

Administration intraveineuse ou sous cutanée immédiatement avant une intervention chirurgicale ; si nécessaire, une injection intramusculaire ou sous cutanée 30 à 60 minutes avant la chirurgie est possible.

· Adultes :

0,3–0,6 mg IV (1,2–2,4 mL)

· Population pédiatrique :

La dose habituelle chez les enfants est de 0,01-0,02 mg/kg de poids corporel (maximum de 0,6 mg par dose) ; le dosage doit être ajusté selon la réponse et la tolérance du patient.

En association à la néostigmine pour limiter ses effets muscariniques

· Adultes :

0,6-1,2 mg IV (2,4 à 4,8 mL)

· Population pédiatrique :

0,02 mg/kg IV

Traitement de la bradycardie compromettant l’hémodynamique, du bloc auriculo-ventriculaire, réanimation cardiopulmonaire :

· Adultes :

Bradycardie sinusale : 0,5 mg IV (1 mL), toutes les 2 à 5 minutes jusqu’à l’obtention de la fréquence cardiaque désirée.

Bloc AV : 0,5 mg IV (1 mL), toutes les 3 à 5 minutes (maximum 3 mg)

· Population pédiatrique :

0,02 mg/kg IV en une seule dose (dose maximale de 0,6 mg).

Comme antidote aux organophosphates (pesticides, gaz neurotoxiques), aux inhibiteurs de la cholinestérase et dans l’intoxication aux champignons muscariniques :

Voie intraveineuse.

· Adultes :

0,5-2 mg de sulfate d’atropine (2-8 mL), peut être répétée après 5 minutes et toutes les 10 à 15 minutes par la suite au besoin, jusqu’à ce que les signes et symptômes disparaissent (cette dose peut être dépassée plusieurs fois).

· Population pédiatrique :

0,02 mg de sulfate d’atropine/kg de poids corporel, éventuellement répétée plusieurs fois jusqu’à ce que les signes et symptômes disparaissent.

Ajustements posologiques :

· En général, la posologie doit être ajustée selon la réponse et la tolérance du patient.

· La posologie jusqu’à une dose maximale totale de 3 mg chez les adultes et 0,6 mg chez les enfants est habituellement augmentée jusqu’à ce que les effets indésirables deviennent intolérables ; une légère réduction de la posologie donne alors la posologie maximale tolérée par le patient.

· Population pédiatrique :

Les intervalles posologiques pour les groupes de poids pédiatrique comme indiqué ci-dessous sont des valeurs indicatives. La dose habituelle chez les enfants est de 0,01-0,02 mg/kg de poids corporel (maximum de 0,6 mg par dose) ; le dosage doit être ajusté selon la réponse et la tolérance du patient.

Poids corporel
(kg)

Dose de 0,01 mg/kg de poids corporel
Atropine (sulfate) Aguettant 0,25 mg/mL, solution injectable

Dose de 0,02 mg/kg de poids corporel

Atropine (sulfate) Aguettant 0,25 mg/mL, solution injectable

< 5

< 0,2 mL

< 0,4 mL

5-10

0,2-0,4 mL

0,4-0,8 mL

10-15

0,4-0,6 mL

0,8-1,2 mL

15-20

0,6-0,8 mL

1,2-1,6 mL

20-30

0,8-1,2 mL

1,6-2,4 mL

30-50

1,2-2,0 mL

2,4-4,0 mL

Chez les nourrissons, il est recommandé d’utiliser la plus faible concentration disponible (Atropine (sulfate) Aguettant 0,25 mg/mL, solution injectable) afin d’assurer une précision de dosage maximale.

Populations particulières :

· La prudence est de mise pour les patients souffrant d’insuffisance rénale ou hépatique et les personnes âgées (voir rubrique 4.4).

Mode d’administration

· L’atropine est administrée par injection intraveineuse, injection intramusculaire ou sous-cutanée.

4.3. Contre-indications  Retour en haut de la page

Ce médicament ne doit pas être administré en cas de :

· Hypersensibilité au principe actif ou à l’un des excipients mentionnés à la rubrique 6.1.

· Glaucome à angle fermé,

· Risque de rétention urinaire lié à des troubles urétro-prostatiques,

· Achalasie de l’œsophage, iléus paralytique et mégacôlon toxique.

Toutes ces contre-indications ne s’appliquent toutefois pas aux situations d’urgence engageant le pronostic vital (comme les situations de bradyarythmie ou d’intoxication).

4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi  Retour en haut de la page

Utiliser avec prudence en cas de :

· Hypertrophie de la prostate,

· Insuffisance rénale et/ou hépatique,

· Insuffisance cardiaque, arythmies, hyperthyroïdie,

· Bronchopneumopathie chronique obstructive, car une réduction des sécrétions bronchiques pourrait entraîner la formation de bouchons bronchiques.

· Atonie intestinale chez les sujets âgés,

· Sténose du pylore,

· Fièvre, ou lorsque la température ambiante est élevée.

· Chez les personnes âgées et les enfants qui peuvent être plus sensibles aux effets indésirables de l’atropine.

En cas d’œsophagite par reflux, car l’atropine peut retarder la vidange gastrique, diminuer la motilité gastrique et relâcher le sphincter œsophagien.

L’atropine ne doit pas être administrée à des patients présentant une myasthénie à moins qu’elle ne soit administrée en association à un traitement anticholinestérasique.

L’administration d’atropine ne doit pas retarder la mise en place d’une stimulation externe pour les patients instables, en particulier ceux présentant un bloc de haut grade (second degré de type Mobitz II ou troisième degré).

Les antimuscariniques bloquent l’inhibition vagale de la stimulation du nœud sinusal et doivent donc être utilisés avec prudence chez les patients présentant des tachyarythmies, une insuffisance cardiaque congestive ou une coronaropathie.

Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par ampoule, c.-à-d. qu’il est essentiellement « sans sodium ».

4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions  Retour en haut de la page

Associations à prendre en compte

Autres médicaments ayant une activité anticholinergique, comme les antidépresseurs tricycliques, certains antihistaminiques H1, des médicaments antiparkinsoniens, le disopyramide, la méquitazine, les phénothiazines, les neuroleptiques, les antispasmodiques atropiniques, la clozapine et la quinidine en raison du risque de potentialisation des effets indésirables atropiniques (rétention urinaire, constipation, sécheresse buccale).

4.6. Fertilité, grossesse et allaitement  Retour en haut de la page

Grossesse

Les données sur un nombre limité de grossesses exposées n’indiquent aucun effet indésirable de l’atropine sur la grossesse ou sur la santé du foetus/du nouveau-né.

Les études effectuées chez l’animal n’ont pas mis en évidence d’effets délétères directs ou indirects sur la reproduction (voir rubrique 5.3).

Les études portant sur la pharmacocinétique de l’atropine chez la mère et le foetus en fin de grossesse ont indiqué que l’atropine franchit rapidement la barrière placentaire. L’administration intraveineuse d’atropine pendant la grossesse ou à terme peut entraîner une tachycardie chez le foetus et la mère.

L’atropine ne doit pas être utilisée pendant la grossesse à moins que cela ne soit absolument nécessaire.

Allaitement

De faibles quantités d’atropine peuvent passer dans le lait maternel. Les nourrissons ont une sensibilité accrue aux effets anticholinergiques de l’atropine. L’atropine pourrait inhiber la production de lait, en particulier en cas d’utilisation répétée. Il doit être décidé d’arrêter ou non l’allaitement ou d’arrêter/de s’abstenir de suivre le traitement en prenant en compte le bénéfice de l’allaitement pour l’enfant et le bénéfice du traitement pour la femme. S’il est décidé durant le traitement de poursuivre l’allaitement, l’enfant doit être surveillé pour déceler la survenue d’effets anticholinergiques.

Fertilité

Il n’existe pas de données concernant les effets de ce sulfate d’atropine sur la fertilité chez les êtres humains. Le sulfate d’atropine réduit la fertilité chez les rats mâles, en raison probablement d’un effet inhibiteur sur le transport du sperme et de la semence lors du processus d’émission.

4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines  Retour en haut de la page

L’atropine peut provoquer un état de confusion ou une vision trouble et les patients doivent en être avertis.

4.8. Effets indésirables  Retour en haut de la page

Le profil des effets indésirables observés avec l’atropine est essentiellement lié à ses actions pharmacologiques au niveau des récepteurs muscariniques et, à doses élevées, au niveau des récepteurs nicotiniques. Les effets indésirables sont dose-dépendants et sont généralement réversibles à l’arrêt du traitement. Les effets les plus fréquents survenant à des doses relativement faibles sont les troubles visuels, une diminution des sécrétions bronchiques, une sécheresse buccale, une constipation, un reflux, des bouffées vasomotrices, une dysurie et une sécheresse cutanée. Une bradycardie transitoire peut apparaître, suivie d’une tachycardie accompagnée de palpitations et d’arythmies.

L’évaluation des effets indésirables est basée sur la définition suivante des fréquences :

· Très fréquent : ≥1/10 ;

· Fréquent : ≥1/100, <1/10 ;

· Peu fréquent : ≥1/1 000, <1/100 ;

· Rare : ≥1/10 000, <1/1 000 ;

· Très rare : <1/10 000 ;

· Fréquence indéterminée : ne peut être estimée sur la base des données disponibles

Fréquence


Classes

de systèmes d’organes

Très fréquent
(≥ 1/10)

Fréquent
(≥ 1/100 à < 1/10)

Peu fréquent
(≥ 1/1 000 à < 1/100)

Rare
(≥ 1/10 000 à <1/1 000)

Très rare
(< 1/10 000)

Fréquence indéterminée
(ne peut être estimée sur la base des données disponibles)

Affections du système immunitaire

Réactions allergiques

Anaphylaxie

Affections du système nerveux

Excitation, troubles de la coordination, confusion mentale, et/ou hallucinations (en particulier avec des doses plus élevées), hyperthermie

Réactions psychotiques

Crises convulsives, somnolence

Céphalées agitation, ataxie, insomnie

Affections oculaires

Troubles visuels (mydriase, inhibition de l’accommodation, vision trouble, photophobie)

Affections cardiaques

Tachycardie (arythmies, exacerbation transitoire de la bradycardie)

Arythmies auriculaires, fibrillation ventriculaire, angine, crise hypertensive

Affections vasculaires

Bouffées vasomotrices

Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales

Diminution des sécrétions bronchiques

Affections gastro‑intestinales

Sécheresse de la bouche (difficulté à avaler et à parler, soif), inhibition parasympathique du tractus gastro‑intestinal (constipation et reflux), inhibition de la sécrétion gastrique, perte du goût, nausées, vomissements, sensation de ballonnement

Affections de la peau et du tissus sous-cutané

Anhidrose, urticaire, éruption cutanée

Affections du rein et des voies urinaires

Inhibition du contrôle parasympathique de la vessie, rétention urinaire

Population pédiatrique

Les nourrissons, les enfants et les enfants atteints de paralysie spastique ou présentant des lésions cérébrales peuvent être plus sensibles aux effets antimuscariniques.

Populations particulières

L’atropine peut induire de l’excitation, des troubles de la coordination, un état confusionnel et/ou des hallucinations, en particulier chez les personnes âgées. Une étude épidémiologique a également indiqué une altération des performances cognitives chez les sujets âgés recevant des antimuscariniques.

Les patients atteints de trisomie 21 peuvent être plus sensibles aux effets antimuscariniques.

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.signalement-sante.gouv.fr

4.9. Surdosage  Retour en haut de la page

Symptômes :

Bouffées vasomotrices et sécheresse cutanée, dilatation des pupilles s’accompagnant de photophobie, sécheresse de la bouche et de la langue accompagnée d’une sensation de brûlure, difficultés à avaler, tachycardie, respiration rapide, hyperpyrexie, nausées, vomissements, hypertension, éruption cutanée et excitation.

Les symptômes de la stimulation du système nerveux central (SNC) comprennent : agitation, confusion, hallucinations, réactions psychotiques et paranoïaques, troubles de la coordination, délire et occasionnellement des convulsions.

En cas de surdosage grave, une somnolence, une stupeur et une dépression du SNC peuvent survenir ainsi qu’un coma, une insuffisance circulatoire et respiratoire et le décès

Traitement :

Instaurer un traitement symptomatique. Maintenir les voies respiratoires dégagées.

L’administration de diazépam peut être envisagée pour contrôler l’excitation et les convulsions, mais le risque de dépression du SNC doit alors être pris en compte.

5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES  Retour en haut de la page

5.1. Propriétés pharmacodynamiques  Retour en haut de la page

Classe pharmacothérapeutique ALCALOÏDES DE LA BELLADONE : AMINES TERTIAIRES

Code ATC : A03BA01

L’atropine est un agent antimuscarinique, qui antagonise de manière compétitive l’acétylcholine au niveau des terminaisons nerveuses post-ganglionnaires, affectant ainsi les récepteurs situés dans les glandes exocrines, le muscle lisse, du muscle cardiaque et du système nerveux central.

Les effets périphériques comprennent une réduction de la production des secrétions salivaires, sudorales, nasales, lacrymales et gastriques, une motilité intestinale réduite et une inhibition de la miction.

L’atropine accroît la fréquence sinusale et, la conduction sino-auriculaire et auriculo-ventriculaire. La fréquence cardiaque est généralement augmentée mais une bradycardie peut survenir au début.

L’atropine inhibe les sécrétions tout au long des voies respiratoires et relâche le muscle lisse bronchique, ce qui entraîne une bronchodilatation.

5.2. Propriétés pharmacocinétiques  Retour en haut de la page

Absorption

Après une administration par voie intraveineuse, l’augmentation maximale de la fréquence cardiaque survient dans les 2 à 4 minutes. Les concentrations plasmatiques maximales de l’atropine suite à une administration intramusculaire sont atteintes dans les 30 minutes, bien que des effets maximaux sur le coeur, la transpiration et la salivation puissent survenir 1 heure après une administration intramusculaire.

Distribution

Les niveaux plasmatiques après une injection intramusculaire et intraveineuse sont comparables après 1 heure. L’atropine est largement distribuée dans le corps entier et franchit la barrière hémato-encéphalique ainsi que la barrière placentaire.

Biotransformation

L’atropine est métabolisée de façon incomplète dans le foie et est excrétée dans l’urine sous forme inchangée du médicament et de métabolites. Environ 50 % de la dose est excrétée dans les 4 heures et 90 % dans les 24 heures.

Élimination

La demi-vie d’élimination est d’environ 2 à 5 heures. Jusqu’à 50 % de la dose est liée aux protéines.

Population pédiatrique

Les enfants, en particulier ceux de moins de 2 ans, peuvent être plus sensibles aux actions de l’atropine. La demi-vie d’élimination est plus que doublée chez les enfants de moins de 2 ans par rapport aux adultes.

Personnes âgées

La demi-vie d’élimination de l’atropine est plus que doublée chez les personnes âgées (plus de 65 ans) par rapport aux adultes.

5.3. Données de sécurité préclinique  Retour en haut de la page

Des effets n’ont été observés chez l’animal qu’à des expositions considérées comme suffisamment supérieures à l’exposition maximale observée chez l’homme, et ont peu de signification clinique.

Le sulfate d’atropine a réduit la fertilité chez les rats mâles, en raison probablement d’un effet inhibiteur sur le transport du sperme et de la semence lors du processus d’émission.

6. DONNEES PHARMACEUTIQUES  Retour en haut de la page

6.1. Liste des excipients  Retour en haut de la page

Chlorure de sodium, acide chlorhydrique concentré (pour l’ajustement du pH), eau pour préparations injectables.

6.2. Incompatibilités  Retour en haut de la page

En l’absence d’études de compatibilité, ce médicament ne doit pas être mélangé à d’autres médicaments.

6.3. Durée de conservation  Retour en haut de la page

2 ans.

Après ouverture : le produit doit être utilisé immédiatement.

6.4. Précautions particulières de conservation  Retour en haut de la page

Ce médicament ne nécessite pas de précautions particulières de conservation.

6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur   Retour en haut de la page

Ampoule bouteille en verre incolore de type I de 1 mL. Boîte de 10 ou 100.

Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées.

6.6. Précautions particulières d’élimination et de manipulation  Retour en haut de la page

Pas d’exigences particulières.

7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE  Retour en haut de la page

LABORATOIRE AGUETTANT

1 RUE ALEXANDER FLEMING

69007 LYON

8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE  Retour en haut de la page

· 34009 370 134 1 3 : 1 mL en ampoule bouteille (verre incolore) de 1 mL. Boîte de 10.

· 34009 370 135 8 1 : 1 mL en ampoule bouteille (verre incolore) de 1 mL. Boîte de 100.

9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DE L’AUTORISATION  Retour en haut de la page

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE  Retour en haut de la page

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

11. DOSIMETRIE  Retour en haut de la page

Sans objet.

12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACEUTIQUES  Retour en haut de la page

Sans objet.

CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE

Liste I


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