ANSM - Mis à jour le : 31/12/2022
INDOBIOTIC, collyre en solution en récipient unidose
2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE
Indométacine....................................................................................................................... 1,00 mg
Gentamicine sous forme de sulfate de gentamicine............................................................... 3 000 UI
Pour 1 mL
Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.
Collyre en solution en récipient unidose.
4.1. Indications thérapeutiques
Il convient de tenir compte des recommandations officielles concernant l’utilisation appropriée des antibactériens.
4.2. Posologie et mode d'administration
Posologie chez l’adulte et le sujet âgé
Une goutte, 4 fois par jour.
Population pédiatrique
Les données de sécurité et d’efficacité n’ont pas été établies chez l’enfant.
Mode d’administration
Pour une bonne utilisation du collyre, certaines précautions doivent être prises :
· Se laver soigneusement les mains avant de procéder à l’instillation.
· Eviter le contact de l’embout avec l’œil ou les paupières.
· Instiller une goutte de collyre dans le cul-de-sac conjonctival de l’œil à traiter en regardant vers le haut et en tirant légèrement la paupière inférieure vers le bas.
· Utiliser l’unidose immédiatement après ouverture et jeter après usage.
· L’unidose doit être jetée immédiatement après usage et ne doit pas être conservée en vue d’une réutilisation lors des administrations suivantes.
Le passage systémique peut être réduit par une occlusion nasolacrymale ou par la fermeture des paupières pendant 2 minutes. Cette méthode peut contribuer à diminuer les effets indésirables systémiques et à augmenter l’efficacité locale.
En cas de traitement concomitant par un autre collyre, instiller les collyres à 15 minutes d’intervalle.
La durée habituelle du traitement est de 14 jours.
Ce médicament est contre-indiqué dans les situations suivantes :
· hypersensibilité aux substances actives ou à l’un des excipients mentionnés à la rubrique 6.1 et notamment aux antibiotiques de la famille des aminosides,
· grossesse, à partir du début du 6ème mois (au-delà de 24 semaines d’aménorrhée) (voir rubrique 4.6),
· antécédent de crise d’asthme liée à la prise d’aspirine ou à d’autres AINS,
· par analogie avec les AINS administrés par voie générale et bien que le risque soit faible après instillation oculaire : ulcère gastro-duodénal en évolution,
· insuffisance hépatocellulaire sévère,
· insuffisance rénale sévère.
Ce médicament ne doit généralement pas être utilisé en cas d’association avec (voir rubrique 4.5) :
· les anticoagulants oraux,
· d’autres AINS (y compris les salicylés à fortes doses, à partir de 3g/jour chez l’adulte),
· l’héparine,
· le lithium,
· le méthotrexate à fortes doses (≥ 15mg par semaine),
· la ticlopidine,
· le diflunisal.
4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi
· Un AINS peut provoquer une augmentation de la tendance au saignement des tissus oculaires lors d’une intervention chirurgicale notamment chez les patients ayant une tendance connue au saignement ou qui reçoivent d’autres traitements pouvant prolonger le saignement.
· Les AINS peuvent favoriser une surinfection.
· L'utilisation d'un AINS topique peut entraîner une kératite. Chez quelques patients ayant une prédisposition, l'utilisation continue d'AINS topiques peut entraîner une perte épithéliale, un amincissement de la cornée, une érosion cornéenne, un ulcère cornéen ou une perforation de la cornée. Ces effets peuvent menacer le pronostic visuel. Les patients présentant une perte épithéliale cornéenne doivent interrompre immédiatement l'utilisation d’INDOBIOTIC, collyre en solution en récipient unidose et l'état de leur cornée doit être soigneusement surveillé.
· Les AINS topiques peuvent ralentir ou retarder la cicatrisation. Les corticoïdes topiques sont également connus pour ralentir ou retarder la cicatrisation. L'utilisation concomitante d'AINS topiques et de stéroïdes topiques peut ainsi augmenter ces risques. Par conséquent, il est recommandé de faire attention si INDOBIOTIC, collyre en solution en récipient unidose est administré en même temps que des corticostéroïdes, en particulier chez les patients ayant un risque élevé de survenu d'effets indésirables cornéens décrits ci-dessous.
· Les données obtenues suite à la commercialisation d'AINS topiques suggèrent que les patients présentant une intervention ophtalmologique compliquée, une dénervation cornéenne, des pertes épithéliales cornéennes, un diabète sucré, des maladies de la surface oculaire (ex : syndrome de l'œil sec), une arthrite rhumatoïde ou des interventions ophtalmologiques répétées sur une courte période peuvent présenter une augmentation du risque d'effets indésirables cornéens pouvant menacer le pronostic visuel. Les AINS topiques doivent être administrés avec précaution chez ces patients. L'utilisation prolongée d'AINS topiques peut augmenter la fréquence et la gravité des effets indésirables cornéens.
Précautions d’emploi
· Le collyre ne doit pas être employé en injection péri ou intra-oculaire, ni avalé.
· En cas d’hypersensibilité, interrompre le traitement.
· Le port des lentilles de contact est déconseillé pendant le traitement.
4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions
+ Autres AINS (y compris les salicylés à forte dose à partir de 3 g/jour chez l’adulte)
Augmentation du risque ulcérogène et hémorragique digestif (synergie additive).
+ Anticoagulants oraux
Augmentation du risque hémorragique de l’anticoagulant oral (inhibition de la fonction plaquettaire et agression de la muqueuse gastroduodénale par les AINS).
Si l’association ne peut être évitée, surveillance clinique et biologique étroite.
+ Héparines (voie parentérale)
Augmentation du risque hémorragique (inhibition de la fonction plaquettaire et agression de la muqueuse gastroduodénale par les AINS).
Si l’association ne peut être évitée, surveillance clinique (et biologique pour les héparines non fractionnées) étroite.
+ Lithium
Décrit pour le diclofénac, le kétoprofène, l’indométacine, la phénylbutazone, le piroxicam.
Augmentation de la lithémie pouvant atteindre des valeurs toxiques (diminution de l’excrétion rénale du lithium).
Si l’association ne peut être évitée, surveiller étroitement la lithémie et adapter la posologie du lithium pendant l’association et après l’arrêt de l’anti-inflammatoire non stéroïdien.
+ Méthotrexate utilisé à des doses supérieures ou égales à 15 mg/semaine
Augmentation de la toxicité hématologique du méthotrexate (diminution de la clairance rénale du méthotrexate par les anti-inflammatoires).
+ Ticlopidine
Augmentation du risque hémorragique (synergie des activités antiagrégantes plaquettaires).
Si l’association ne peut être évitée, surveillance clinique et biologique étroite (incluant le temps de saignement).
+ Diflunisal
Hémorragies digestives fatales avec augmentation des concentrations plasmatiques d’indométacine (compétition enzymatique au niveau de la glucuroconjugaison).
Associations faisant l'objet de précautions d’emploi
+ Diurétiques, inhibiteurs de l’enzyme de conversion (IEC), inhibiteurs de l’angiotensine II
Insuffisance rénale aiguë chez le malade déshydraté (diminution de la filtration glomérulaire par inhibition des prostaglandines vasodilatatrices, due aux AINS). Par ailleurs, réduction de l’effet antihypertenseur pour les IEC et les inhibiteurs de l’angiotensine II.
Hydrater le malade ; surveiller la fonction rénale en début de traitement.
+ Méthotrexate utilisé à des doses inférieures à 15 mg/semaine
Augmentation de la toxicité hématologique du méthotrexate (diminution de la clairance rénale du méthotrexate par les anti-inflammatoires).
Contrôle hebdomadaire de l’hémogramme dans les premières semaines de l’association. Surveillance accrue en cas d’altération (même légère) de la fonction rénale, ainsi que chez le sujet âgé.
+ Pentoxifylline
Augmentation du risque hémorragique.
Renforcer la surveillance clinique et contrôler plus fréquemment le temps de saignement.
+ Zidovudine
Risque de toxicité accrue sur la lignée rouge (action sur les réticulocytes) avec anémie sévère survenant 8 jours après l’introduction de l’AINS.
Contrôle de la NFS et du taux de réticulocytes 8 à 15 jours après le début du traitement par l’AINS.
Associations à prendre en compte
+ Bêta-bloquants
Par extrapolation, à partir de l’indométacine.
Réduction de l’effet antihypertenseur (inhibition des prostaglandines vasodilatatrices par les AINS).
+ Ciclosporine
Risque d’addition des effets néphrotoxiques, notamment chez le sujet âgé.
+ Desmopressine
Potentialisation de l’activité antidiurétique.
+ Dispositif intra-utérin
Risque (controversé) de diminution d’efficacité du dispositif intra-utérin.
+ Thrombolytiques
Augmentation du risque hémorragique.
4.6. Fertilité, grossesse et allaitement
L'inhibition de la synthèse des prostaglandines par les AINS peut affecter le déroulement de la grossesse et/ou le développement de l'embryon ou du fœtus.
Risques associés à l’utilisation au cours du 1er trimestre :
Les données des études épidémiologiques suggèrent une augmentation du risque de fausse-couche, de malformations cardiaques et de gastroschisis, après traitement par un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines en début de grossesse. Le risque absolu de malformation cardiovasculaire est passé de moins de 1 % dans la population générale, à approximativement 1,5 % chez les personnes exposées aux AINS. Le risque paraît augmenter en fonction de la dose et de la durée du traitement. Chez l'animal, il a été montré que l'administration d'un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines provoquait une perte pré et post-implantatoire accrue et une augmentation de la létalité embryo-fœtale. De plus, une incidence supérieure de certaines malformations, y compris cardiovasculaires, a été rapportée chez des animaux ayant reçu un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines au cours de la phase d'organogénèse de la gestation.
Risques associés à l’utilisation à partir de la 12ème semaine d’aménorrhée et jusqu’à la naissance :
A partir de la 12ème semaine d’aménorrhée et jusqu’à la naissance, tous les AINS, par l’inhibition de la synthèse des prostaglandines, peuvent exposer le fœtus à une atteinte fonctionnelle rénale :
· in utero pouvant s'observer dès 12 semaines d'aménorrhée (mise en route de la diurèse fœtale) : oligoamnios (le plus souvent réversible à l'arrêt du traitement), voire anamnios en particulier lors d'une exposition prolongée.
· à la naissance, une insuffisance rénale (réversible ou non) peut persister en particulier en cas d'exposition tardive et prolongée (avec un risque d'hyperkaliémie sévère retardée).
Risques associés à l’utilisation au-delà de la 24ème semaine d’aménorrhée et jusqu’à la naissance :
Au-delà de la 24ème semaine d’aménorrhée, les AINS peuvent exposer le fœtus à une toxicité cardio-pulmonaire (fermeture prématurée du canal artériel et hypertension artérielle pulmonaire). La constriction du canal artériel peut survenir à partir du début du 6ème mois (au-delà de la 24ème semaine d’aménorrhée) et peut conduire à une insuffisance cardiaque droite fœtale ou néonatale voire à une mort fœtale in utero. Ce risque est d'autant plus important que la prise est proche du terme (moindre réversibilité). Cet effet existe même pour une prise ponctuelle.
En fin de grossesse, la mère et le nouveau-né peuvent présenter :
· un allongement du temps de saignement du fait d'une action anti-agrégante pouvant survenir même après administration de très faibles doses de médicament ;
· une inhibition des contractions utérines entraînant un retard de terme ou un accouchement prolongé.
En conséquence :
Sauf nécessité absolue, ce médicament ne doit pas être prescrit chez une femme qui envisage une grossesse ou au cours des 5 premiers mois de grossesse (24 premières semaines d'aménorrhée). Si ce médicament est administré chez une femme souhaitant être enceinte ou enceinte de moins de 6 mois, la dose devra être la plus faible possible et la durée du traitement la plus courte possible. Une prise prolongée est fortement déconseillée.
A partir du début du 6ème mois (au-delà de 24 semaines d'aménorrhée) : toute prise de ce médicament, même ponctuelle, est contre-indiquée. Une prise par mégarde à partir de cette date justifie une surveillance cardiaque et rénale, fœtale et/ou néonatale selon le terme d'exposition. La durée de cette surveillance sera adaptée à la demi-vie d'élimination de la molécule.
Les AINS passant dans le lait maternel, ce médicament est déconseillé chez la femme qui allaite.
Fertilité
Comme tous les AINS, l'utilisation de ce médicament peut temporairement altérer la fertilité féminine en agissant sur l’ovulation ; il est donc déconseillé chez les femmes souhaitant concevoir un enfant. Chez les femmes rencontrant des difficultés pour concevoir ou réalisant des tests de fertilité, l'arrêt du traitement doit être envisagé.
4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines
Les effets indésirables issus des essais cliniques et des données post-marketing sont catégorisés par fréquence selon la convention suivante : très fréquent (≥ 1/10), fréquent (entre ≥ 1/100 et < 1/10), peu fréquent (entre ≥ 1/1 000 et < 1/100), rare (entre ≥ 1/10 000 et < 1/1 000), très rare (< 1/10 000) ou fréquence indéterminée (la fréquence ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
Classe de système d’organes |
Fréquence |
Effets indésirables |
Affections oculaires |
Peu fréquent |
douleur oculaire |
|
|
irritation oculaire |
|
Rare |
kératite ponctuée |
|
|
photosensibilité photophobie |
|
Fréquence indéterminée |
augmentation de la sécrétion lacrymale |
|
|
défauts visuels |
|
|
kératite* |
|
|
hyperhémie conjonctivale |
|
|
hyperhémie oculaire |
|
|
œdème de la cornée |
|
|
œdème des paupières |
|
|
perforation cornéenne* |
|
|
ulcère cornéen* |
Affections du système immunitaire |
Rare |
réactions d’hypersensibilité avec prurit et rougeur |
* Des complications cornéennes telles que des kératites ou des ulcères cornéens pouvant aller jusqu’à la perforation ont été rapportés, particulièrement chez des patients à risque traités par des corticostéroïdes administrés par voie topique oculaire et/ou chez ceux dont la cornée était déjà altérée.
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : https://signalement.social-sante.gouv.fr/
En cas de surdosage local, le collyre peut être éliminé de l’œil par lavage avec du sérum physiologique stérile.
5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES
5.1. Propriétés pharmacodynamiques
L’indométacine est un AINS du groupe des indoliques. L’indométacine est un inhibiteur de la prostaglandine synthétase.
La gentamicine est un antibiotique de la famille des aminosides.
Spectre d’activité antibactérienne de la gentamicine :
Les concentrations critiques séparent les souches sensibles des souches de sensibilité intermédiaire et ces dernières, des résistantes :
streptocoques, entérocoques : S ≤ 250 mg/l et R > 500 mg/l
autres bactéries : S ≤ 4 mg/l et R > 8 mg/l
Catégories |
Fréquence de résistance acquise en France (> 10%) (valeurs extrêmes) |
ESPECES SENSIBLES |
|
Aérobies à Gram positif |
|
Corynebacterium |
|
Listeria monocytogenes |
|
Staphylococcus méti-S |
|
Staphylococcus méti-R * |
40 – 60% |
Aérobies à Gram négatif |
|
Acinetobacter (essentiellement Acinetobacter baumannii) |
50 – 75% |
Branhamella catarrhalis |
|
Campylobacter |
|
Citrobacter freundii |
|
Citrobacter koseri |
|
Enterobacter aerogenes |
40 – 70% |
Enterobacter cloacae |
0 – 15% |
Escherichia coli |
|
Francisella |
|
Haemophilus influenzae |
|
Klebsiella |
0 – 10% |
Morganella morganii |
|
Proteus mirabilis |
0 – 20% |
Proteus vulgaris |
|
Pseudomonas aeruginosa |
5 – 40% |
Salmonella |
|
Serratia |
5 – 30% |
Shigella |
|
Yersinia |
|
Autres |
|
Bartonella |
|
ESPECES MODEREMENT SENSIBLES |
|
(in vitro de sensibilité intermédiaire) |
|
Aérobies à Gram négatif |
|
Pasteurella |
|
ESPECES RESISTANTES |
|
Aérobies à Gram positif |
|
Entérocoques ** |
|
Nocardia asteroïdes |
|
Streptococcus |
|
Aérobies à Gram négatif |
|
Alcaligenes denitrificans |
|
Burkholderia |
|
Flavobacterium sp. |
|
Providencia stuartii |
|
Stenotrophomonas maltophilia |
|
Anaérobies |
|
Bactéries anaérobies strictes |
|
Autres |
|
Chlamydia |
|
Mycoplasmes |
|
Rickettsies |
|
* La fréquence de résistance à la méticilline est environ de 30 à 50% de l’ensemble des staphylocoques et se rencontre surtout en milieu hospitalier.
** Dans certaines indications, la gentamicine peut être utilisée en association, en particulier avec les bêta-lactamines (septicémies, endocardites). Toutefois, la synergie est abolie lorsque les espèces impliquées (streptocoques, entérocoques) présentent une résistance acquise de haut niveau à la gentamicine (5 – 20% des souches).
Remarque : ce spectre correspond au spectre des formes systémiques de la gentamicine. Avec les présentations pharmaceutiques locales, les concentrations obtenues in situ sont très supérieures aux concentrations plasmatiques. Quelques incertitudes demeurent sur la cinétique des concentrations in situ, sur les conditions physico-chimiques locales qui peuvent être défavorables à l’activité antibiotique et sur la stabilité du produit in situ.
5.2. Propriétés pharmacocinétiques
· l’indométacine pénètre dans la cornée.
· la gentamicine administrée seule sur un œil sain montre une faible pénétration intraoculaire. Sur un œil abrasé ou irrité, la pénétration intraoculaire est favorisée.
5.3. Données de sécurité préclinique
Hydroxypropylbétadex, arginine, solution diluée d’acide chlorhydrique 1M, eau purifiée.
18 mois.
6.4. Précautions particulières de conservation
A conserver à une température inférieure à 25°C.
Utiliser l’unidose immédiatement après ouverture et jeter après usage.
Ne pas réutiliser une unidose entamée.
6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur
0,35 mL en récipient unidose (PE) ;
Boîte de 20 ou 50 récipients-unidoses présentés sous forme de barrettes.
Chaque barrette est suremballée en sachet (Polyester/Aluminium/PE).
Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées.
6.6. Précautions particulières d’élimination et de manipulation
Pas d’exigences particulières.
Tout médicament non utilisé ou déchet doit être éliminé conformément à la réglementation en vigueur.
7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE
416 RUE SAMUEL MORSE – CS 99535
34961 MONTPELLIER
[Tel, fax, e-Mail : à compléter ultérieurement par le titulaire]
8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE
· 34009 354 590 6 0 : 0,35 mL en récipient unidose (PE) ; boîte de 20.
· 34009 354 591 2 1 : 0,35 mL en récipient unidose (PE) ; boîte de 50.
9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DE L’AUTORISATION
[à compléter ultérieurement par le titulaire]
Date de première autorisation : {JJ mois AAAA}
Date de dernier renouvellement : {JJ mois AAAA}
10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE
[à compléter ultérieurement par le titulaire]
{JJ mois AAAA}
Sans objet.
12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACEUTIQUES
Liste I
|
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