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CELOCURINE 50 mg/ml, solution injectable - Résumé des caractéristiques du produit

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ANSM - Mis à jour le : 26/10/2022

1. DENOMINATION DU MEDICAMENT  Retour en haut de la page

CELOCURINE 50 mg/ml, solution injectable

2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE  Retour en haut de la page

Chlorure de suxaméthonium .....................................................................................................50,00 mg

Pour 1 ml.

Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.

3. FORME PHARMACEUTIQUE  Retour en haut de la page

Solution injectable.

4. DONNEES CLINIQUES  Retour en haut de la page

4.1. Indications thérapeutiques  Retour en haut de la page

Chez l'adulte

Adjuvant de l'anesthésie générale pour notamment faciliter l'intubation endotrachéale :

pour l’induction en séquence rapide,

lors des traitements par électroconvulsivothérapie.

Chez l'enfant

Adjuvant de l'anesthésie générale pour notamment faciliter l'intubation endotrachéale:

pour l’induction en séquence rapide.

4.2. Posologie et mode d'administration  Retour en haut de la page

Posologie

Comme avec tous les autres curarisants, la posologie du chlorure de suxaméthonium doit être adaptée à chaque patient. Elle dépend de la méthode d'anesthésie employée, de la durée présumée de l'intervention, des interactions éventuelles avec d'autres médicaments administrés avant ou pendant l'anesthésie et de l'état général du patient.

Les posologies suivantes sont proposées:

L'injection intraveineuse de 1 mg/kg de chlorure de suxaméthonium permet l'intubation endotrachéale 30 à 60 secondes après l'injection chez l'adulte et provoque une paralysie totale de la musculature volontaire pendant 5 à 10 minutes.

Elle nécessite le recours à une ventilation assistée jusqu'au rétablissement de la respiration spontanée efficace.

L'injection intraveineuse de 0,3 à 0,5 mg/kg de chlorure de suxaméthonium provoque une relaxation complète de la musculature périphérique pendant 3 à 5 minutes, notamment lors des électroconvulsivothérapies.

Lors de l'utilisation en électroconvulsivothérapie, il est nécessaire de faire précéder l'injection de suxaméthonium d'une pré-oxygénation.

Population pédiatrique

Chez le nourrisson et le petit enfant, la dose d'intubation est de 1,5 mg/kg de chlorure de suxaméthonium.

Mode d’administration

Ce produit ne doit être administré que par des médecins spécialisés en anesthésie-réanimation ou en médecine d'urgence et familiarisés avec l'utilisation des anesthésiques, ou sous leur contrôle, et disposant de tout le matériel d'anesthésie-réanimation nécessaire.

Les recommandations des sociétés savantes concernées doivent être respectées, notamment en cas d'utilisation en situation extra-hospitalière (situation d'urgence ou transport médicalisé).

Le chlorure de suxaméthonium doit être administré par voie intraveineuse.

Du matériel d'intubation trachéale, d'assistance respiratoire et d'oxygénation artérielle adéquat doit être disponible.

4.3. Contre-indications  Retour en haut de la page

Ce médicament est contre-indiqué dans les situations suivantes :

· hypersensibilité connue au suxaméthonium ou aux curares, ou à l’un des excipients mentionnés à la rubrique 6.1

· antécédent personnel ou familial d'hyperthermie maligne,

· maladies neuro-musculaires: myopathies, myotonie de Steinert,

· hyperkaliémie ou maladies exposant à une fuite potassique majeure (brûlures étendues, traumatismes musculaires graves, paraplégie ou hémiplégie dans la phase subaiguë, syndrome de dénervation, tétanos, immobilisation prolongée, polyneuropathie de réanimation).

· déficit congénital ou acquis en pseudocholinestérases.

Ce médicament est généralement déconseillé dans les situations suivantes :

· terrain atopique,

· troubles du rythme, insuffisance cardiaque,

· chirurgie à globe oculaire ouvert.

4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi  Retour en haut de la page

Lors de la dépolarisation des muscles squelettiques, on observe une sortie extracellulaire immédiate de potassium et une augmentation de la concentration plasmatique en potassium, ce qui peut avoir des conséquences graves chez certains sujets à risques : patients souffrant de brûlures, traumatismes musculaires graves, neuropathies, myopathies, infections intra-abdominales prolongées et sérieuses ou insuffisance rénale.

Le déficit congénital ou acquis en pseudocholinestérase peut être la cause d’un effet prolongé du chlorure de suxaméthonium. En présence d’une curarisation prolongée, il faut poursuivre la ventilation contrôlée jusqu’à réapparition spontanée d’une respiration et la normalisation de la fonction musculaire.

En cas de brûlures, de malnutrition, d’affections hépatiques sévères, d’anémie grave, on peut observer un effet prolongé du chlorure de suxaméthonium dû à une diminution de l’activité des pseudo-cholinestérases.

Etant donné que le suxaméthonium peut être utilisé conjointement à d’autres agents anesthésiques (halogénés) et considérant qu’une hyperthermie maligne en cours d’anesthésie est possible cela même en absence de facteurs déclenchant connus, les praticiens doivent être familiarisés avec les signes précoces, le diagnostic et le traitement de l’hyperthermie maligne.

Le spasme des masséters peut survenir isolement et gêner l’intubation alors que les autres muscles sont relâchés, mais il peut être un signe d’une hyperthermie maligne débutante et doit faire rechercher d’autres signes d’une crise d’hyperthermie maligne.

Compte tenu que les effets indésirables du suxaméthonium chez l’enfant sont importants et plus fréquents (arrêt cardiaque, spasme des masséters, rhabdomyolyses, hyperthermie maligne), notamment en association avec l’halothane (par exemple en cas de myopathie non diagnostiquée), il convient d'être particulièrement vigilant.

Des fasciculations transitoires peuvent être observées lors de l’installation de la paralysie induite par le suxaméthonium. Elles peuvent être prévenues par l’administration préalable d’une faible dose de curare non dépolarisant.

La stimulation du nerf pneumogastrique (X) et des ganglions parasympathiques peut provoquer une bradycardie, une arythmie et une hypotension, phénomènes qui peuvent être aggravés par l’hyperkaliémie. La bradycardie sinusale est plus fréquente chez l’enfant et peut être prévenue par l’administration d’atropine.

Des cas de tachycardie et d’hypertension artérielle par stimulation des ganglions sympathiques ont également été rapportés.

Le chlorure de suxaméthonium peut également, par l’effet muscarinique, augmenter les sécrétions salivaires, bronchiques et gastriques. Cet effet peut être limité par l’administration, à titre préventif, d’un antimuscarinique, comme l’atropine.

Des réactions anaphylactiques allergiques ou non allergiques sont décrites en cours d’induction, parfois chez des sujets n’ayant jamais été exposés aux curares. Elles se manifestent le plus souvent par une éruption cutanée (de type érythème) ou rash, généralisée ou limitée au point d’injection, souvent inaugurale, puis compliquée d’état de choc anaphylactique et/ou de bronchospasme. Dans certains cas le bronchospasme et/ou l’état de choc ne s’accompagnent pas de manifestation cutanée. Des oedèmes de Quincke ont été également rapportés.

L’apparition des premiers signes impose l’arrêt définitif de l’administration de CÉLOCURINE, si elle n’a pas été entièrement réalisée, et l’administration d’un traitement symptomatique.

Selon les recommandations de la Société Française d’Anesthésie-Réanimation, il est nécessaire de réaliser des prélèvements immédiats à visée étiologique, ainsi que des tests cutanés à distance pour vérifier l’imputabilité de CÉLOCURINE.

4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions  Retour en haut de la page

Association faisant l’objet de précautions d’emploi

Une adaptation posologique du chlorure de suxaméthonium est nécessaire en cas d'une administration concomitante de médicament appartenant aux classes suivantes :

· inhibiteurs de l'acétylcholinestérase ou de la pseudocholinestérase (renforcent et prolongent l'effet du suxaméthonium) notamment: écothiopate, édrophonium, bambutérol, hexafluorénium, phénelzine, cyclophosphamide, thiotépa, anticonceptionnels oraux, procaïne, chlorpromazine, métoclopramide.

· substances qui augmentent ou prolongent l'effet neuromusculaire du chlorure de suxaméthonium notamment azathioprine, kétamine, halothane, aminosides, lincosamides, polymixines, sulfate de magnésium, carbonate de lithium.

4.6. Fertilité, grossesse et allaitement  Retour en haut de la page

Grossesse

Premier trimestre :

Les études chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène.

En clinique, aucun effet malformatif ou fœtotoxique particulier n'est apparu à ce jour.

Toutefois, le suivi de grossesses exposées au suxaméthonium est insuffisant pour exclure tout risque.

En conséquence, l'utilisation de suxaméthonium ne doit être envisagée au cours de la grossesse que si nécessaire.

Fin de grossesse :

La fin de grossesse, d'un point de vue anesthésique, expose au syndrome de Mendelson (pneumopathie acide par inhalation de suc gastrique) et à des difficultés d'intubation.

Dans ces conditions, l'intubation doit être rapide et il importe de privilégier un curare d'action rapide (inférieur à 1,5 minutes) et de durée d'action courte.

Le relais peut être pris par un curare non dépolarisant.

Le passage transplacentaire des curares est faible et le risque de curarisation néonatal est exceptionnel.

Allaitement

L'allaitement peut être poursuivi au décours d'une anesthésie par suxaméthonium.

4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines  Retour en haut de la page

CELOCURINE 50 mg/ml, solution injectable a une influence importante sur l’aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines.

Il est déconseillé d'utiliser une machine potentiellement dangereuse ou de conduire un véhicule au cours des 24 heures qui suivent la complète disparition de l'action curarisante du suxaméthonium.

4.8. Effets indésirables  Retour en haut de la page

Les effets indésirables suivants ont été observés lors de l’utilisation de CÉLOCURINE et sont listés ci-dessous selon la convention suivante : fréquent (>1/100); rare (<1/1000); fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).

Investigations :

Fréquent : augmentation de la kaliémie.

Affections du système immunitaire :

Fréquent : Réactions anaphylactiques allergiques ou non allergiques (histaminolibération non spécifique) : prurit, réactions érythémateuses au site de l’injection et/ou réactions systémiques telles que érythème généralisé, (souvent inaugural), troubles cardio-vasculaires, bronchospasme, choc anaphylactique pouvant être sévère (voire d’évolution fatale).

Fréquence indéterminée : œdème de Quincke.

Affections cardiaques :

Fréquent : Bradycardie, troubles du rythme.

Fréquence indéterminée : arrêt cardiaque.

Affections vasculaires :

Fréquent : hypotension artérielle.

Affections du système nerveux :

Fréquent : augmentation transitoire de la pression intracrânienne*.

Affections oculaires :

Fréquent : Augmentation transitoire de la pression intraoculaire*.

Affections musculosquelettiques :

Fréquent : douleurs musculaires, sensation de courbatures (surtout chez les personnes musclées). Jusqu’à 60% des patients ont rapporté cet effet indésirable post-opératoire.

Rare : spasme des masséters.

Fréquence indéterminée : rhabdomyolyse.

Affections gastro-intestinales :

Fréquent : augmentation transitoire de la pression intragastrique*.

Troubles généraux et anomalies au site d’administration :

Rare : hyperthermie maligne.

En cas de réaction allergique, des mesures symptomatiques s’imposent. La réalisation de prélèvements immédiats et de tests cutanés à distance est nécessaire pour déterminer l’étiologie de la réaction.

*L’augmentation initiale des pressions intracrânienne, intraoculaire et intragastrique se normalise en quelques minutes.

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.ansm.sante.fr.

4.9. Surdosage  Retour en haut de la page

Il se caractérise par la persistance de signes de curarisation en l'absence d'injection d'un autre type de curare.

Le patient doit alors être maintenu intubé, ventilé, jusqu'à reprise d'une respiration spontanée efficace et réapparition d'une force musculaire normale.

5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES  Retour en haut de la page

5.1. Propriétés pharmacodynamiques  Retour en haut de la page

Classe pharmacothérapeutique : MYORELAXANT A ACTION PERIPHERIQUE, code ATC : M03AB01.

Mécanisme d’action

Le chlorure de suxaméthonium est un ammonium quaternaire composé de deux molécules d'acétylcholine réunies. Les effets neuromusculaires sont pratiquement identiques à ceux de l'acétylcholine, mais le chlorure de suxaméthonium a un effet plus prolongé. Le chlorure de suxaméthonium réagit avec les récepteurs nicotiniques, ouvre les canaux et dépolarise les plaques motrices et les structures membranaires voisines, ce qui produit une contraction générale et anarchique des unités musculaires (bloc de phase I). Les inhibiteurs de cholinestérase (physostigmine et néostigmine) augmentent les blocages de phase I.

Le chlorure de suxaméthonium n'étant pas dégradé par les acétylcholinestérases, la dépolarisation se prolonge et les membranes deviennent non réceptives aux nouvelles impulsions. On obtient ainsi une paralysie musculaire atone.

C'est en cela que le mode d'action diffère des autres curares, qui au contraire inhibent la dépolarisation.

Effets pharmacodynamiques

L'effet du chlorure de suxaméthonium est généralement de courte durée. Sous un apport prolongé de chlorure de suxaméthonium, la dépolarisation initiale des plaques motrices décroît, et il se produit une repolarisation des membranes, ce qui ressemble à un blocage compétitif. L'acétylcholine ne peut donc pas dépolariser les membranes tant que le chlorure de suxaméthonium reste présent (bloc de phase II).

L'administration de chlorure de suxaméthonium donne fréquemment, après 20 à 30 secondes, une augmentation passagère de la pression intra-oculaire, reposant en partie sur la contraction de la musculature entourant l'œil. Cet accroissement de la pression oculaire est toutefois moins important que celui qui se produit par la simple intubation trachéale.

Le métabolite succinylmonocholine exerce un léger effet de relaxation musculaire de nature compétitive.

5.2. Propriétés pharmacocinétiques  Retour en haut de la page

Absorption/ Distribution

Le chlorure de suxaméthonium agit environ 30 à 60 secondes après administration par voie intraveineuse et produit un effet pendant quelques minutes (6 à 13).

Biotransformation

Il est rapidement hydrolysé par la pseudocholinestérase (cholinestérase plasmatique) en succinylmonocholine en 2 à 4 minutes.

Ce métabolite est ensuite lentement hydrolysé en choline et en acide succinique.

Élimination

Un faible pourcentage (< 10 %) du chlorure de suxaméthonium est retrouvé inchangé dans les urines.

Linéarité/ Non linéarité

Des altérations d'origine génétique dans la production de la pseudocholinestérase existent chez 3 à 4% de la population occidentale et conduisent à une prolongation faible à modérée de l'effet du chlorure de suxaméthonium et parfois à une prolongation significative de la durée de l'apnée (rare).

Relations pharmacocinétique/pharmacodynamique

Un déficit acquis en pseudocholinestérase ou une diminution de l'activité enzymatique peut être dû à une atteinte hépatique, une malnutrition, une anémie sévère, des brûlures, un cancer, des maladies du collagène, une déshydratation importante, un infarctus, un myxœdème, une plasmaphérèse, une exsanguino-transfusion ainsi qu'au cours de la grossesse (même au cours de l'accouchement).

Certains médicaments diminuent la synthèse de la pseudocholinestérase ou son activité (voir rubrique 4.5).

5.3. Données de sécurité préclinique  Retour en haut de la page

Sans objet.

6. DONNEES PHARMACEUTIQUES  Retour en haut de la page

6.1. Liste des excipients  Retour en haut de la page

Acide succinique

Hydroxyde de sodium

Eau pour préparations injectables

6.2. Incompatibilités  Retour en haut de la page

Ne pas mélanger dans la même seringue cette solution de chlorure de suxaméthonium à des barbituriques ou à tout autre produit alcalin.

6.3. Durée de conservation  Retour en haut de la page

Avant ouverture: 2 ans.

Après ouverture : le produit doit être utilisé immédiatement.

6.4. Précautions particulières de conservation  Retour en haut de la page

A conserver entre + 2°C et + 8 °C (au réfrigérateur).

Pour les conditions de conservation du médicament après première ouverture, voir la rubrique 6.3.

6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur   Retour en haut de la page

2 ml en ampoule (verre); boîte de 10.

6.6. Précautions particulières d’élimination et de manipulation  Retour en haut de la page

Pas d’exigences particulières.

7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE  Retour en haut de la page

NEURAXPHARM FRANCE

84, RUE DE GRENELLE

75007 PARIS

FRANCE

8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE  Retour en haut de la page

563 044-4:2 ou 34009 563 044 4 8 ml en ampoule (verre); boîte de 10.

9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DE L’AUTORISATION  Retour en haut de la page

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE  Retour en haut de la page

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

11. DOSIMETRIE  Retour en haut de la page

Sans objet.

12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACEUTIQUES  Retour en haut de la page

Sans objet.

CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE

Liste I

Médicament réservé à l’usage hospitalier

Médicament pouvant être administré par tout médecin spécialisé en anesthésie-réanimation ou en médecine d'urgence dans les cas où il intervient en situation d'urgence ou dans le cadre d'une structure d'assistance médicale mobile ou de rapatriement sanitaire (article R. 5121-96 du code de la santé publique).


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