Logo du ministère des affaires sociale et de la santé

Base de données publique
des médicaments

Visiter [medicaments.gouv.fr] Visiter [medicaments.gouv.fr]

Sommaire

Onglet fiche informationOnglet résumé des caractéristiques du produitOnglet notice patient
 

ALBUTEIN 50 g/L, solution pour perfusion - Résumé des caractéristiques du produit

Imprimer le document

ANSM - Mis à jour le : 07/02/2024

1. DENOMINATION DU MEDICAMENT  Retour en haut de la page

ALBUTEIN 50 g/L, solution pour perfusion

2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE  Retour en haut de la page

Albutein 50 g/L est une solution contenant 50 g/L (5 %) de protéines totales dont au moins 95 % d’albumine humaine.

Un flacon de 100 mL contient 5 g d’albumine humaine.

Un flacon de 250 mL contient 12,5 g d’albumine humaine.

Un flacon de 500 mL contient 25 g d’albumine humaine.

Une poche de 100 mL contient 5 g d’albumine humaine.

Une poche de 250 mL contient 12,5 g d’albumine humaine.

Une poche de 500 mL contient 25 g d’albumine humaine.

Albutein 50 g/L est légèrement hypo‑oncotique par rapport au plasma.

Excipients à effet notoire : La solution contient entre 130 et 160 mmol/l de sodium et moins de 2 mmol/l de potassium.

Produit à partir de plasma de donneurs humains.

Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.

3. FORME PHARMACEUTIQUE  Retour en haut de la page

Solution pour perfusion.

Liquide clair, légèrement visqueux, quasiment incolore, ou de couleur jaune, ambré ou verte.

4. DONNEES CLINIQUES  Retour en haut de la page

4.1. Indications thérapeutiques  Retour en haut de la page

Restauration et maintien du volume sanguin circulant lorsqu’un déficit volumique a été démontré et que l’utilisation d’un colloïde est appropriée.

Albutein peut être utilisée par toutes les classes d’âge. Pour la population pédiatrique, voir rubrique 4.4.

4.2. Posologie et mode d'administration  Retour en haut de la page

La concentration de la préparation d’albumine, le dosage et le débit de perfusion doivent être individuellement adaptés aux besoins du patient.

Posologie

La dose requise dépend de la corpulence du patient, de la sévérité du traumatisme ou de la maladie et de la persistance de la perte de liquides et de protéines. La dose requise doit être déterminée en fonction de la mesure de l'adéquation du volume circulant et non des taux d'albumine plasmatiques.

Si l’administration d’albumine humaine est nécessaire, les paramètres hémodynamiques doivent être surveillés régulièrement et peuvent inclure :

· Pression artérielle et pouls,

· Pression veineuse centrale,

· Pression artérielle pulmonaire d’occlusion,

· Diurèse,

· Electrolytes,

· Hématocrite/hémoglobine.

Population pédiatrique

La sécurité et l’efficacité d’Albutein 50 g/L chez les enfants n’ont pas été établies dans le cadre d’études cliniques contrôlées. Voir également rubrique 4.4.

Mode d’administration

L’albumine humaine peut être administrée directement par voie intraveineuse.

Le débit de perfusion doit être adapté en fonction des circonstances individuelles et de l’indication.

Lors d’échanges plasmatiques, le débit de perfusion doit être ajusté au taux d’épuration.

Pour plus d’informations, voir rubrique 6.6.

4.3. Contre-indications  Retour en haut de la page

Hypersensibilité aux préparations d’albumine ou à l’un des excipients.

4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi  Retour en haut de la page

Traçabilité

Afin d’améliorer la traçabilité des médicaments biologiques, le nom et le numéro de lot du produit administré doivent être clairement enregistrés.

Toute suspicion d’une réaction de type allergique ou anaphylactique impose l’arrêt immédiat de la perfusion. En cas de choc, le traitement médical habituel d’un choc doit être instauré.

L’albumine doit être utilisée avec précaution dans les situations où une hypervolémie et ses conséquences, ou une hémodilution pourraient représenter un risque particulier pour le patient. Ces situations sont par exemple :

· Insuffisance cardiaque décompensée,

· Hypertension,

· Varices œsophagiennes,

· Œdème pulmonaire,

· Diathèse hémorragique,

· Anémie sévère,

· Anurie rénale et post‑rénale.

Dans un essai contrôlé randomisé comparant une solution saline à l'albumine en tant que liquide de réanimation chez des patients en état critique, l’analyse post-hoc du sous-groupe de patients atteints d'un traumatisme crânien a montré que l’albumine était associée à une augmentation de la pression intracrânienne et à un taux de mortalité plus élevé par rapport à la solution saline. L’albumine doit donc être utilisée avec prudence chez les patients atteints d’un traumatisme crânien.

Les solutions d’albumine humaine à 200-250 g/L sont relativement pauvres en électrolytes comparativement aux solutions à 40 ou 50 g/L d’albumine humaine. Lors de l’administration d’albumine, le bilan électrolytique du patient doit être surveillé (voir rubrique 4.2) et des mesures appropriées doivent être mises en œuvre pour restaurer ou maintenir l’équilibre électrolytique.

Si des volumes relativement importants doivent être remplacés, il est nécessaire de contrôler les tests de coagulation et l’hématocrite. Il convient de veiller à une substitution adéquate des autres composants du sang (facteurs de coagulation, électrolytes, plaquettes et érythrocytes).

Une hypervolémie peut survenir si la posologie et le débit de perfusion ne sont pas adaptés à l’état circulatoire du patient. La perfusion doit être immédiatement interrompue dès les premiers signes cliniques d’une surcharge cardiovasculaire (céphalées, dyspnée, congestion de la veine jugulaire) ou d’élévation de la pression artérielle, ou veineuse et d’œdème pulmonaire.

Agents transmissibles

Les mesures standard de prévention du risque de transmission d’agents infectieux par les médicaments préparés à partir de sang ou de plasma humain comprennent la sélection clinique des donneurs, le dépistage des dons individuels et des pools de plasma pour rechercher des marqueurs spécifiques d’infection ainsi que la mise en œuvre dans le procédé de fabrication d’étapes efficaces pour l’inactivation/l’élimination virale. Cependant, lorsque des médicaments préparés à partir de sang ou de plasma humain sont administrés, le risque de transmission d’agents infectieux ne peut pas être totalement exclu. Ceci s’applique également aux virus inconnus ou émergents ou à d’autres types d’agents infectieux.

Aucun cas de contamination virale n’a été rapporté avec l’albumine fabriquée conformément aux spécifications de la Pharmacopée Européenne selon des procédés établis.

Il est fortement recommandé que chaque fois qu’Albutein 50 g/L est administrée à un patient, le nom et le numéro de lot du produit soient enregistrés afin de conserver un lien entre le patient et le numéro de lot du produit.

Population pédiatrique

La sécurité et l’efficacité d’Albutein 50 g/L chez les enfants n’ont pas été établies dans le cadre d’études cliniques contrôlées.

Cependant, l’expérience clinique acquise avec l’albumine chez les enfants suggère qu’aucun effet délétère n’est attendu sous réserve qu’une attention particulière soit apportée à la dose pour éviter toute surcharge cardiovasculaire.

Mises en garde spéciales concernant certains excipients

Ce médicament contient 333,5 mg de sodium par flacon/poche de 100 mL, 833,8 mg de sodium par flacon/poche de 250 mL et 1 667,5 mg de sodium par flacon/poche de 500 mL, ce qui équivaut respectivement à 16,7 %, 41,7 % et 83,4 % de l’apport alimentaire quotidien maximal recommandé par l’OMS de 2 g de sodium pour un adulte.

Ce médicament contient moins de 1 mmol (39 mg) de potassium par flacon/poche, c’est‑à‑dire qu’il est essentiellement « sans potassium ».

4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions  Retour en haut de la page

Il n’existe aucune interaction spécifique connue entre l’albumine humaine et d’autres médicaments.

4.6. Fertilité, grossesse et allaitement  Retour en haut de la page

Grossesse

La sécurité d’emploi d’Albutein 50 g/L chez la femme enceinte n’a pas été établie dans le cadre d’études cliniques contrôlées. Cependant, sur la base de l’expérience clinique avec l’albumine, aucun effet délétère n’est attendu sur le déroulement de la grossesse, ni sur le fœtus ou le nouveau‑né.

Allaitement

On ignore si Albutein 50 g/L est excrétée dans le lait maternel. L’excrétion de l’albumine humaine dans le lait n’a pas été étudiée chez les animaux. La décision de poursuivre/interrompre l'allaitement maternel ou de poursuivre/interrompre le traitement par Albutein 50 g/L doit être prise en prenant en compte le bénéfice de l’allaitement pour l’enfant au regard du bénéfice du traitement par Albutein pour la mère.

Fertilité

Aucune étude sur la reproduction animale n’a été effectuée avec Albutein 50 g/L.

Toutefois, l’albumine humaine est un constituant normal du sang humain.

4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines  Retour en haut de la page

Aucun effet n’a été observé sur l’aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines.

4.8. Effets indésirables  Retour en haut de la page

Résumé du profil de sécurité

Des réactions d’intensité légère telles que bouffées congestives, urticaire, fièvre et nausées se produisent dans de rares cas. En règle générale, ces effets disparaissent rapidement lorsque le débit de perfusion est ralenti ou à l’arrêt de la perfusion.

Dans de très rares cas, des réactions sévères telles qu’un choc anaphylactique peuvent se produire. Dans ce cas, la perfusion doit être arrêtée et un traitement approprié doit être instauré.

Pour la sécurité relative aux agents transmissibles, voir la rubrique 4.4.

Liste tabulée des effets indésirables

Dans le tableau ci‑après, les effets indésirables sont présentés conformément à la classification des systèmes d’organes MedDRA (SOC et terme préférentiel) et comprennent les évènements indésirables associés à l’utilisation de solutions d’albumine humaine.

Il n’existe pas de données concordantes sur la fréquence des effets indésirables issues des études cliniques.

Les données suivantes concordent avec le profil de sécurité de la solution d’albumine humaine Grifols et confirment les données issues de l’expérience post‑commercialisation. Dans la mesure où la notification des effets indésirables dans le cadre de la pharmacovigilance repose sur le volontariat et où ces notifications concernent une population dont la taille n’est pas connue, il n’est pas possible d’estimer de manière fiable la fréquence de ces effets :

Classe de systèmes d’organes (SOC) MedDRA

Effet indésirable

Fréquence

Affections du système immunitaire

Choc anaphylactique Réaction anaphylactique

Hypersensibilité

Fréquence indéterminée

Affections vasculaires

Bouffées congestives

Fréquence indéterminée

Affections gastro‑intestinales

Nausée

Fréquence indéterminée

Affections de la peau et du tissu sous-cutané

Urticaire

Fréquence indéterminée

Troubles généraux et anomalies au site d’administration

Fièvre

Fréquence indéterminée

Population pédiatrique

Il n’existe pas de données spécifiques qui permettent d’évaluer le risque d’observer des effets indésirables différents dans cette population.

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : https://signalement.social-sante.gouv.fr/.

4.9. Surdosage  Retour en haut de la page

Une hypervolémie peut survenir si la dose et le débit de perfusion sont trop élevés.

Dès les premiers signes cliniques de surcharge cardiovasculaire (céphalées, dyspnée, congestion de la veine jugulaire) ou d’élévation de la pression artérielle ou veineuse centrale et d’œdème pulmonaire, la perfusion doit être immédiatement interrompue et les paramètres hémodynamiques du patient doivent être étroitement surveillés.

5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES  Retour en haut de la page

5.1. Propriétés pharmacodynamiques  Retour en haut de la page

Classe pharmacothérapeutique : Substituts du plasma et fractions protéiques plasmatiques, code ATC : B05AA01

L’albumine humaine représente quantitativement plus de la moitié des protéines plasmatiques totales et environ 10 % de l’activité de synthèse protéique du foie.

Données physico‑chimiques : l’albumine humaine à la concentration de 50 g/L est légèrement hypooncotique par rapport au plasma normal.

Les fonctions physiologiques les plus importantes de l’albumine résultent de sa contribution à la pression oncotique du sang et de sa fonction de transporteur. L’albumine stabilise le volume sanguin circulant et transporte des hormones, des enzymes, des médicaments et des toxines.

5.2. Propriétés pharmacocinétiques  Retour en haut de la page

Dans les conditions normales, la teneur totale en albumine échangeable est de 4 à 5 g/kg de poids corporel, dont 40 à 45 % sont présents dans le compartiment intravasculaire et 55 à 60 % dans le compartiment extravasculaire. Une augmentation de la perméabilité des capillaires peut altérer la cinétique de l’albumine et une distribution anormale peut survenir dans certaines conditions telles que des brûlures sévères ou lors d’un choc septique.

Dans les conditions normales, la demi‑vie moyenne de l’albumine est d’environ 19 jours. L’équilibre entre la synthèse et la dégradation est normalement obtenu par un mécanisme de rétrocontrôle. L’élimination est principalement intracellulaire et est assurée par les protéases lysosomiales.

Chez les sujets sains, moins de 10 % de l’albumine perfusée quitte le compartiment intravasculaire au cours des deux premières heures suivant la perfusion. L’effet sur le volume plasmatique varie considérablement d’un individu à l’autre. Dans certains cas, le volume plasmatique peut persister pendant plusieurs heures. Cependant, chez les patients en état critique, l’albumine peut quitter le compartiment vasculaire en quantités importantes et de façon non prédictible.

5.3. Données de sécurité préclinique  Retour en haut de la page

L’albumine humaine est un constituant normal du plasma humain et agit comme l’albumine physiologique.

Chez les animaux, les essais de toxicité aiguë sont peu pertinents et ne permettent pas de déterminer les doses toxiques ou létales ou d’établir une relation dose‑effet.

Les essais de toxicité par administration répétée ne peuvent être réalisés en raison du développement d’anticorps dirigés contre les protéines hétérologues dans les modèles animaux.

A ce jour, l’albumine humaine n’a pas été associée à un cas de toxicité embryonnaire ou fœtale, ou à un potentiel oncogène ou mutagène.

Aucun signe de toxicité aiguë n’a été décrit dans les modèles animaux.

6. DONNEES PHARMACEUTIQUES  Retour en haut de la page

6.1. Liste des excipients  Retour en haut de la page

Un mL contient :

Chlorure de sodium (qsp ion sodium).............................................................................. 0,145 mmol

Caprylate de sodium...................................................................................................... 0,004 mmol

N‑acétyltryptophanate de sodium.................................................................................... 0,004 mmol

Eau pour préparations injectables............................................................................................... qsp

La solution contient entre 130 et 160 mmol/l de sodium et moins de 2 mmol/l de potassium.

6.2. Incompatibilités  Retour en haut de la page

Albutein 50 g/L ne doit pas être mélangé avec d’autres médicaments, ni avec le sang total ou les concentrés érythrocytaires.

6.3. Durée de conservation  Retour en haut de la page

Flacon : 3 ans.

Poche : 2 ans

Après une première ouverture, le produit doit être utilisé immédiatement.

6.4. Précautions particulières de conservation  Retour en haut de la page

A conserver à une température ne dépassant pas 30 °C.

Ne pas congeler.

Conserver le flacon/la poche dans l’emballage extérieur, à l’abri de la lumière.

6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur   Retour en haut de la page

Albutein 50 g/L peut être conditionné :

- En flacons de verre de type II munis d’un bouchon en caoutchouc chlorobutyle, d’une capsule en aluminium, d’un couvercle en plastique et d’un manchon rétractable en plastique qui garantissent l'intégrité de l'emballage. Les flacons contiennent 100 mL, 250 mL ou 500 mL d’albumine humaine.Ne pas utiliser le médicament si le manchon rétractable est absent ou s’il présente des signes d’altération.

- En poche FlexBag) en polyéthylène avec suremballage de protection en polypropylène. Les poches contiennent 100 mL, 250 mL ou 500 mL d’albumine humaine.

Présentations :

- 1 flacon de 100 mL, 250 mL ou 500 mL par boîte.

- 1 poche de 100 mL, 250 mL ou 500 mL par boîte.

6.6. Précautions particulières d’élimination et de manipulation  Retour en haut de la page

La solution peut être administrée directement par voie intraveineuse.

Les solutions d’albumine ne doivent pas être diluées dans de l’eau pour préparations injectables, car cela pourrait provoquer une hémolyse chez le patient.

Si des volumes importants sont administrés, le médicament doit être amené à température ambiante ou à température corporelle avant utilisation.

Ne pas utiliser les solutions troubles ou qui contiennent des dépôts. Ceci peut indiquer que la protéine est instable ou que la solution a été contaminée.

Après ouverture du flacon ou de la poche pour assemblage du set de perfusion, le contenu doit être utilisé immédiatement.

Tout médicament non utilisé ou déchet doit être éliminé conformément à la réglementation locale en vigueur.

Poche :

Ne retirer le suremballage qu’immédiatement avant utilisation. Une légère humidité ou condensation peut être visible dans le suremballage. Cela est normal et n’a pas d’effet sur la qualité ou la sécurité de la solution d’albumine.

Vérifier l’absence de fuites en pressant fermement la poche. Si des fuites sont détectées, éliminer la solution.

Pour brancher le set de perfusion, briser la valve en la tournant.

Ne pas connecter les poches en série. Cela pourrait provoquer une embolie gazeuse due à l’air résiduel aspiré à partir de la première poche avant que l’administration de la solution contenue dans la deuxième poche soit terminée.

7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE  Retour en haut de la page

INSTITUTO GRIFOLS, S.A.

Poligono levante calle CAN GUASCH, 2

PARETS DEL VALLÈS

08150 BARCELONE

ESPAGNE

8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE  Retour en haut de la page

· 34009 550 832 7 6 : 100 mL en flacon (verre).

· 34009 550 832 8 3 : 250 mL en flacon (verre).

· 34009 550 833 0 6 : 500 mL en flacon (verre).

· 34009 550 994 4 4 : 100 mL en poche

· 34009 550 994 5 1 : 250 mL en poche

· 34009 550 994 6 8 : 500 mL en poche

9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DE L’AUTORISATION  Retour en haut de la page

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

Date de première autorisation:{JJ mois AAAA}

10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE  Retour en haut de la page

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

{JJ mois AAAA}

11. DOSIMETRIE  Retour en haut de la page

Sans objet.

12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACEUTIQUES  Retour en haut de la page

Sans objet.

CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE

Liste I.

Médicament soumis à prescription hospitalière. La prescription par un médecin exerçant dans un établissement de transfusion sanguine autorisé à dispenser des médicaments aux malades qui y sont traités est autorisée. L’administration doit être effectuée dans un établissement de santé ou dans un établissement de transfusion sanguine autorisé à dispenser des médicaments aux malades qui y sont traités.


Retour en haut de la page Retour en haut de la page

 
Plan du site |  Accessibilité |  Contact |  Téléchargement |  Declaration de confidentialité |  Service-Public.fr |  Legifrance |  Gouvernement.fr