Logo du ministère des affaires sociale et de la santé

Base de données publique
des médicaments

Visiter [medicaments.gouv.fr] Visiter [medicaments.gouv.fr]

Sommaire

Onglet fiche informationOnglet résumé des caractéristiques du produitOnglet notice patient
 

IPRATROPIUM TEVA 0,25 mg/1 ml ENFANTS, solution pour inhalation par nébuliseur en récipient unidose - Résumé des caractéristiques du produit

Imprimer le document

ANSM - Mis à jour le : 05/07/2021

1. DENOMINATION DU MEDICAMENT  Retour en haut de la page

IPRATROPIUM TEVA 0,25 mg/1 ml ENFANTS, solution pour inhalation par nébuliseur en récipient unidose

2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE  Retour en haut de la page

Bromure d’ipratropium anhydre........................................................................................... 0,250 mg

Sous forme de bromure d’ipratropium monohydraté............................................................ 0,261 mg

Pour chaque récipient unidose de 1 ml.

Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.

3. FORME PHARMACEUTIQUE  Retour en haut de la page

Solution pour inhalation par nébuliseur, en récipient unidose.

Solution incolore transparente de pH compris entre 3,0 et 4,0 et d'osmolalité comprise entre 245 et 299 mosmol/kg.

4. DONNEES CLINIQUES  Retour en haut de la page

4.1. Indications thérapeutiques  Retour en haut de la page

Traitement des bronchospasmes réversibles associés à une bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO).

Traitement symptomatique de l'asthme en association avec un bêta 2-mimétique inhalé.

Le bromure d’ipratropium est indiqué chez les adultes, les adolescents et les enfants âgés de 0 à 12 ans.

4.2. Posologie et mode d'administration  Retour en haut de la page

Voie inhalée par nébulisation exclusivement.

Posologie

IPRATROPIUM TEVA 0,25 mg/1 ml est utilisé lorsque la dose optimale correspond au contenu d'une ampoule de 1 ml.

La posologie sera adaptée aux besoins individuels du patient. IPRATROPIUM TEVA 0,25 mg/1 ml correspond au dosage adapté à l'enfant de moins de 12 ans.

Doses recommandées :

Adultes (y compris personnes âgées) et adolescents de plus de 12 ans :

0,25 à 0,50 mg (soit 1 ampoule de 0,25 mg/1 ml ou 1 ampoule de 0,50 mg/2 ml) 3 à 4 fois par jour.

Traitement des bronchospasmes aigus : 0,50 mg.

Les nébulisations peuvent être répétées jusqu'à la stabilisation de l'état clinique du patient. L'intervalle entre chaque nébulisation sera déterminé par le médecin.

Il est recommandé de ne pas dépasser la posologie quotidienne recommandée, que ce soit pendant la phase de traitement aiguë ou d'entretien. Les doses quotidiennes supérieures à 2 mg chez les adultes et les adolescents doivent être administrées sous surveillance médicale uniquement.

Population pédiatrique

Asthme

Enfants de 6 à 12 ans :

0,25 mg (soit 1 ampoule de 0,25 mg/1 ml) jusqu'à une dose quotidienne totale de 1 mg (4 ampoules de 0,25 mg/1 ml). L'intervalle entre chaque nébulisation sera adapté par le médecin en fonction de l'état clinique du patient.

Enfants de 0 à 5 ans (traitement de l'asthme aigu uniquement) :

Les données chez l'enfant étant limitées, le traitement sera administré sous surveillance médicale.

La dose préconisée est de : 0,125 mg à 0,250 mg (soit une demie à une ampoule de 0,25 mg/1 ml) jusqu'à une dose quotidienne totale de 1 mg (soit 4 ampoules de 0,25 mg/1 ml).

Chez les enfants de moins de 5 ans, les nébulisations de bromure d'ipratropium doivent être espacées d'au moins 6 heures.

En cas de bronchospasme aigu, les nébulisations peuvent être répétées jusqu'à la stabilisation de l'état clinique du patient.

Si le traitement n'apporte pas d'amélioration satisfaisante ou si l'état clinique du patient se détériore, il convient de réévaluer la conduite thérapeutique.

La survenue d'une dyspnée aiguë ou d'une aggravation brutale, doit conduire à une réévaluation de la conduite thérapeutique.

Mode d’administration

Le récipient unidose est exclusivement destiné à une administration par inhalation au moyen d’un nébuliseur adapté ; il ne doit pas être pris par voie orale ni administré par voie parentérale.

IPRATROPIUM TEVA peut être administré à l'aide d'un appareil de nébulisation ultrasonique ou à air comprimé (débit optimal : de 6 à 8 litres par minute). Les doses délivrées peuvent varier en fonction de l'appareil de nébulisation utilisé.

IPRATROPIUM TEVA peut être inhalé sous forme non diluée ou diluée dans du sérum physiologique. Dans ce cas, le volume de sérum physiologique sera adapté en fonction du nébuliseur utilisé.

Si la quantité de produit à administrer en prise unique correspond au dosage d‘IPRATROPIUM TEVA, le contenu de l'ampoule pourra être inhalé en entier.

Modalités de préparation :

1. Préparer le nébuliseur en se conformant aux recommandations du fabricant de l'appareil.

2. Détacher une ampoule comme indiqué sur la Figure 1.

3. Ouvrir l'ampoule en plastique en opérant un mouvement de torsion comme indiqué sur la Figure 2.

4. Remplir la cuve du nébuliseur comme indiqué sur la Figure 3.

5. En fonction de l'appareil utilisé, ajouter du sérum physiologique si nécessaire.

6. Assembler le nébuliseur conformément au mode d'emploi du fabricant. La durée d'inhalation d'une dose complète est généralement comprise entre 5 et 15 minutes.

7. Après inhalation, jeter la solution restant dans la cuve et nettoyer le nébuliseur conformément aux recommandations du fabricant.

Le récipient unidose ne contient pas de conservateur et son contenu doit donc être administré dès ouverture. Une nouvelle ampoule doit être utilisée à chaque administration afin d'éviter toute contamination microbienne.

Procéder à une vérification visuelle du produit avant utilisation, en cas de décoloration ou de solution trouble, jeter la solution (voir rubrique 6.4).

Les récipients unidoses ouverts ou endommagés doivent aussi être jetés (voir rubrique 6.6).

4.3. Contre-indications  Retour en haut de la page

Hypersensibilité à la substance active, à l'atropine, aux dérivés de l'atropine ou à l'un des excipients mentionnés à la rubrique 6.1.

4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi  Retour en haut de la page

Population pédiatrique

Voir rubrique 4.2.

L'ipratropium n'est pas le traitement de première intention des épisodes aigus de bronchospasme qui nécessite en premier lieu un traitement d'action rapide.

Complications oculaires

De rares cas de complications oculaires (mydriase, augmentation de la pression intraoculaire, glaucome par fermeture de l'angle et douleur oculaire) ont été signalés après projection accidentelle intraoculaire de bromure d'ipratropium seul ou associé à un bêta 2-sympathomimétique.

L'apparition d'une douleur ou d'une gêne oculaire, d'une vision trouble, de la perception visuelle d'anneaux ou images colorés associés à une rougeur conjonctivale ou une congestion de la cornée sont des signes annonciateurs d'un glaucome par fermeture de l'angle et nécessite l'instillation d'un collyre myotique et un avis médical spécialisé immédiat.

Par conséquent, le patient devra être clairement informé des modalités d'utilisation adaptées d‘IPRATROPIUM TEVA. La prudence est recommandée afin de parer à la projection intraoculaire du produit. De façon générale, il est préférable d'administrer la solution nébulisée d'ipratropium par l'intermédiaire d'un embout buccal. En cas d'impossibilité, un masque adapté pourra être utilisé s'il est correctement ajusté au patient. Il sera conseillé en particulier chez les patients à risque de glaucome de se protéger les yeux des éventuelles projections.

Autres précautions d'emploi :

IPRATROPIUM TEVA doit être administré avec précautions chez les patients prédisposés au glaucome par fermeture de l'angle, en cas d'adénomes prostatiques, de rétrécissement urétral ou d'occlusion intestinale.

Les patients atteints de fibrose kystique peuvent être sujets à des troubles de la motilité gastro-intestinale.

L'administration d‘IPRATROPIUM TEVA peut entraîner des réactions allergiques immédiates à type rarement d'urticaires, d'angio-œdèmes, d'éruptions cutanées, de bronchospasmes et d'œdèmes oro-pharyngés.

Le bromure d'ipratropium sera utilisé avec prudence en cas de pathologie cardiaque.

Si des doses supérieures aux posologies recommandées sont nécessaires pour contrôler les symptômes de bronchoconstriction (ou bronchospasmes), la conduite thérapeutique devra être réévaluée.

4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions  Retour en haut de la page

Les bêta 2-sympathomimétiques et les dérivés de la xanthine peuvent accroître l'effet bronchodilatateur du bromure d'ipratropium.

L'administration concomitante d'autres agents anticholinergiques peut potentialiser le risque de survenue d'effets indésirables.

IPRATROPIUM TEVA, solution pour inhalation par nébuliseur, NE DOIT PAS être mélangé à d'autres solutions pour inhalation dans le même nébuliseur (voir rubrique 6.2).

4.6. Fertilité, grossesse et allaitement  Retour en haut de la page

Grossesse

Il n’y pas ou peu de données concernant l’utilisation du bromure d'ipratropium chez les femmes enceintes. Les études chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet toxique direct ou indirect sur la reproduction (voir rubrique 5.3).

Le risque potentiel dans l'espèce humaine n'est pas connu. En conséquence, l'utilisation d'IPRATROPIUM TEVA ne doit être envisagée au cours de la grossesse que si nécessaire.

Allaitement

En l'absence de données sur le passage du bromure d'ipratropium et de ses métabolites dans le lait maternel humain et compte tenu de ses propriétés pharmacocinétiques, il est peu probable que le bromure d'ipratropium soit excrété en quantité significative dans le lait maternel.

En conséquence, l'utilisation d'IPRATROPIUM TEVA peut être envisagée si nécessaire au cours de l'allaitement.

4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines  Retour en haut de la page

Le bromure d'ipratropium ne semble pas avoir d'influence sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines. L'attention des conducteurs de véhicules et des utilisateurs de machines est attirée sur le risque de survenue de vertiges et/ou d’apparition d’une vision trouble.

4.8. Effets indésirables  Retour en haut de la page

Les événements indésirables sont énumérés dans le tableau ci-dessous, par classe de système d'organe selon MedDRA et par catégorie de fréquence. Les fréquences sont définies comme suit : très fréquent (≥ 1/10), fréquent (≥ 1/100 à < 1/10), peu fréquent (≥ 1/1 000 à < 1/100), rare (≥ 1/10 000 à ≤1/1 000), très rare (< 1/10 000), fréquence inconnue (estimation impossible à partir des données disponibles).

Classe de systèmes d’organes

Fréquence

Symptômes

Affections du système immunitaire

Peu fréquent

Réactions allergiques, angio-œdème, anaphylaxie

Affections du système nerveux

Fréquent

Vertiges, céphalées

Affections oculaires

Peu fréquent

Douleur oculaire, mydriase, perception d’un halo lumineux, glaucome par fermeture de l’angle, hyperémie conjonctivale, œdème cornéen

Rare

Troubles de l’accommodation visuelle

Affections cardiaques

Peu fréquent

Palpitations, tachycardie supraventriculaire

Rare

Tachycardie, fibrillation auriculaire

Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales

Fréquent

Toux, irritation locale de la gorge

Peu fréquent

Bronchospasme induit par inhalation, laryngospasme, œdème pharyngé, sécheresse de la gorge

Affections gastro-intestinales

Fréquent

Sécheresse de la bouche, troubles de la motilité gastro-intestinale, nausées

Peu fréquent

Vomissements, stomatite, altération du goût

Affections de la peau et du tissu sous-cutané

Peu fréquent

Rash, prurit

Rare

Urticaire

Affections du rein et des voies urinaires

Peu fréquent

Rétention d’urine

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.signalement-sante.gouv.fr.

4.9. Surdosage  Retour en haut de la page

Il n'a pas été observé de symptômes spécifiques après un surdosage.

L'administration par voie locale et la marge thérapeutique large n'expose pas le patient à un risque de survenue d'effets indésirables anticholinergiques graves en cas de surdosage. Des effets indésirables d'intensité modérée liés à l'effet anticholinergique peuvent apparaître tels que sécheresse buccale, troubles de l'accommodation visuelle et tachycardie.

Les symptômes d'un surdosage sévère correspondent à une majoration des effets atropiniques tels que tachycardie, tachypnée, hyperthermie et effets sur le système nerveux central à type d'agitation, confusion et hallucinations. Il conviendra alors d'instaurer un traitement symptomatique adapté. En cas de troubles respiratoires, une assistance respiratoire doit être mise en œuvre. L'administration de physiostigmine n'est généralement pas recommandée en raison de ses effets cardiotoxiques et des risques de convulsions ; elle nécessitera une surveillance électrocardiographique par ECG et les moyens d'assurer une ventilation assistée si besoin.

5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES  Retour en haut de la page

5.1. Propriétés pharmacodynamiques  Retour en haut de la page

Classe pharmacothérapeutique : autres médicaments pour les syndromes obstructifs des voies aériennes par inhalation, anticholinergiques, code ATC : R03BB01.

Mécanisme d’action

Le bromure d’ipratropium est un ammonium quaternaire aux propriétés anticholinergiques (parasympatholytiques). Les études précliniques ont montré qu’il inhibe les réflexes à médiation vagale par un effet antagoniste sur l’action de l’acétylcholine, l’agent transmetteur libéré du nerf vagal. Les anticholinergiques empêchent l’augmentation de la concentration intracellulaire de Ca++, qui est causée par l’interaction entre l’acétylcholine et le récepteur muscarinique situé sur le muscle lisse bronchique.

Effets pharmacodynamiques

Le bromure d'ipratropium inhalé exerce un effet bronchodilatateur local au niveau des bronches.

Les études précliniques et cliniques n'ont pas mis en évidence d'effet du bromure d'ipratropium sur la sécrétion de mucus, la clairance mucociliaire ou les échanges gazeux.

Efficacité et sécurité clinique

Dans une étude contrôlée de 90 jours menée chez des patients présentant une bronchoconstriction associée à une bronchopneumopathie chronique obstructive (bronchite chronique et emphysème), une augmentation du VEMS et du DEF25-75 % d'au moins 15 % a été observée dans un délai de 15 minutes. Le pic de l'effet était atteint en 1 à 2 heures et l'effet était maintenu durant 6 heures maximum.

L'effet bronchodilatateur du bromure d'ipratropium au cours du traitement de la crise aiguë d'asthme a été observé dans des études portant sur des patients adultes. Dans la plupart de ces études, le bromure d'ipratropium était associé à des bêta 2-sympathomimétiques en inhalation.

5.2. Propriétés pharmacocinétiques  Retour en haut de la page

Absorption

Le principe actif est très rapidement absorbé, avec un pic de concentration plasmatique atteint 10 à 20 minutes après l'inhalation. La biodisponibilité estimée est de l'ordre de 7 % de la dose inhalée.

Distribution

Le volume de distribution (Vz) est de 338 l (soit ± 4,6 l/kg). Le taux de fixation du bromure d'ipratropium dans le plasma est faible (moins de 20 %). Compte tenu de sa structure d'ammonium quaternaire, l'ipratropium sous forme ionisée ne traverse pas la barrière hémato-encéphalique.

Biotransformation

Les métabolites les plus significatifs se lient au récepteur muscarinique avec une faible affinité.

Élimination

Les paramètres pharmacocinétiques du principe actif ont été établis après administration par voie intraveineuse. Le produit est éliminé rapidement de façon biphasique. La demi-vie d'élimination terminale est de l'ordre de 3,6 heures. La demi-vie d'élimination de l'ipratropium et de ses métabolites radiomarqués est de l'ordre de 1,6 heure. Les métabolites majeurs sont éliminés dans l’urine. La clairance totale de l’ingrédient actif est de 2,3 l/minute. Environ 40 % de la clairance est rénale (0,9 l/min) et 60 % est non rénale, c’est-à-dire essentiellement hépatométabolique. 46 % de la dose est excrétée par voie rénale après administration intraveineuse et 3 % de la dose est excrétée par voie rénale après inhalation buccale.

5.3. Données de sécurité préclinique  Retour en haut de la page

Les effets précliniques n'ont été observés qu'à des expositions très supérieures à l'exposition maximale retrouvée aux doses thérapeutiques chez l'homme ce qui ne permet pas de leur attribuer une valeur prédictive pour l'homme en clinique.

Les études chez l’animal n'ont pas mis en évidence d'effet toxique direct ou indirect sur la reproduction.

6. DONNEES PHARMACEUTIQUES  Retour en haut de la page

6.1. Liste des excipients  Retour en haut de la page

Chlorure de sodium, acide chlorhydrique pour ajustement du pH, eau pour préparations injectables.

6.2. Incompatibilités  Retour en haut de la page

IPRATROPIUM TEVA NE DOIT PAS être mélangé dans le même nébuliseur avec d'autres solutions pour inhalation contenant du chlorure de benzalkonium comme conservateur. La formation d'un dépôt est possible.

6.3. Durée de conservation  Retour en haut de la page

2 ans

6.4. Précautions particulières de conservation  Retour en haut de la page

A conserver à une température ne dépassant pas 25°C.

A conserver dans l'emballage extérieur, à l'abri de la lumière.

Ne pas mettre au réfrigérateur, ne pas congeler.

Utiliser le contenu d'une ampoule d'IPRATROPIUM TEVA immédiatement après ouverture. Ne jamais utiliser une ampoule déjà ouverte ou contenant une solution décolorée ou trouble. Jeter toute ampoule d'IPRATROPIUM TEVA partiellement utilisée, ouverte ou endommagée.

6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur   Retour en haut de la page

Ampoules transparentes (PEBD) à embout sécable contenant 1 ml de solution pour inhalation par nébuliseur, conditionnées en sachet de 5 ampoules.

Boîtes de 5, 10, 15, 20, 25, 30, 40, 50 et 60 ampoules.

Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées.

6.6. Précautions particulières d’élimination et de manipulation  Retour en haut de la page

Une fois l'inhalation terminée, la solution inutilisée restant dans la cuve doit être jetée et le nébuliseur doit être nettoyé conformément au mode d'emploi.

Tout médicament non utilisé ou déchet doit être éliminé conformément à la réglementation en vigueur.

7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE  Retour en haut de la page

Teva SANTE

100-110, Esplanade du Général de Gaulle

92931 Paris La Défense cedex

8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE  Retour en haut de la page

· 34009 389 396 1 3: 1 ml en récipient unidose (PEBD). Boîte de 5 ampoules.

· 34009 389 397 8 1: 1 ml en récipient unidose (PEBD). Boîte de 10 ampoules.

· 34009 389 398 4 2: 1 ml en récipient unidose (PEBD). Boîte de 15 ampoules.

· 34009 385 233 0 0: 1 ml en récipient unidose (PEBD). Boîte de 20 ampoules.

· 34009 389 399 0 3: 1 ml en récipient unidose (PEBD). Boîte de 25 ampoules.

· 34009 389 400 9 1: 1 ml en récipient unidose (PEBD). Boîte de 30 ampoules.

· 34009 389 401 5 2: 1 ml en récipient unidose (PEBD). Boîte de 40 ampoules.

· 34009 389 402 1 3: 1 ml en récipient unidose (PEBD). Boîte de 50 ampoules.

· 34009 389 403 8 1: 1 ml en récipient unidose (PEBD). Boîte de 60 ampoules.

9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DE L’AUTORISATION  Retour en haut de la page

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE  Retour en haut de la page

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

11. DOSIMETRIE  Retour en haut de la page

Sans objet.

12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACEUTIQUES  Retour en haut de la page

Sans objet.

CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE

Liste I

Médicament à prescription réservée aux spécialistes en pneumologie ou en pédiatrie.

Médicament pouvant être administré par tout médecin intervenant en situation d'urgence ou dans le cadre d'une structure d'assistance médicale mobile ou de rapatriement sanitaire (article R.5143-5-8 du code de la santé publique).


Retour en haut de la page Retour en haut de la page

 
Plan du site |  Accessibilité |  Contact |  Téléchargement |  Declaration de confidentialité |  Service-Public.fr |  Legifrance |  Gouvernement.fr