TAMSULOSINE ZENTIVA LAB LP 0,4 mg, gélule à libération prolongée - Résumé des caractéristiques du produit |
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ANSM - Mis à jour le : 09/09/2024
TAMSULOSINE ZENTIVA LAB LP 0,4 mg, gélule à libération prolongée
2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE
Hydrochlorate de tamsulosine................................................................................................ 0,4 mg
Quantité correspondant à tamsulosine................................................................................ 0,367 mg
Pour une gélule
Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.
Gélule de gélatine de taille n°3 avec un corps orange et une tête olive, qui contient des granules blanches à blanchâtre.
4.1. Indications thérapeutiques
4.2. Posologie et mode d'administration
Une gélule par jour, à heure fixe, de préférence à la fin d’un petit déjeuner consistant (ou à défaut à la fin d’un autre repas).
Insuffisance rénale/hépatique
Aucun ajustement de dose n’est nécessaire en cas d’insuffisance rénale.
Aucun ajustement de dose n’est nécessaire chez les patients avec une insuffisance hépatique peu sévère à modérée (cf rubrique 4.3 « contre-indications »).
Population pédiatrique
L’efficacité et la sécurité d’emploi de la tamsulosine ne sont pas établies chez les enfants de moins de 18 ans. Les données actuellement disponibles sont décrites dans la rubrique 5.1.
Mode d’administration
Voie orale.
La gélule doit être avalée en entier sans être croquée ou mâchée, parce qu’autrement la libération contrôlée du principe actif pourrait être affectée.
Ce produit ne doit pas être administré dans les situations suivantes :
· Hypersensibilité à la substance active ou à l’un des excipients mentionnés à la rubrique 6.1.
· Antécédents d’hypertension orthostatique
· Insuffisance hépatique sévère
4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi
Précautions d’emploi
La prudence s’impose chez les sujets traités par des médicaments antihypertenseurs et notamment avec les antagonistes du calcium qui peuvent provoquer des hypotensions sévères. En cas de symptômes prémonitoires (sensations vertigineuses, fatigue, sueurs), le malade devra être allongé jusqu’à leur disparition complète.
Mise en garde spéciales
Avant de débuter un traitement par tamsulosine, un examen du patient devra être réalisé afin d’exclure d’autres causes à l’origine des mêmes symptômes que ceux de l’hypertrophie bénigne de la prostate. Un toucher rectal ainsi que, si nécessaire, un dosage de l’antigène prostatique spécifique (PSA) devra être réalisé avant l’instauration du traitement et, ensuite à intervalles réguliers.
Insuffisance rénale
La prudence s’impose chez l’insuffisant rénal sévère (clairance créatinine < 10 ml/min) car ces patients n’ont pas été étudiés.
Angioedèmes
Un œdème de la peau ou des muqueuses a été très rarement signalé. Dans ce cas, la tamsulosine doit être immédiatement arrêtée et le patient traité et surveillé jusqu’à disparition de l’œdème. La prescription de tamsulosine ne doit pas être reprise chez ces patients.
Syndrome de l’iris flasque peropératoire (SIFP)
Le « Syndrome de l’iris flasque per-opératoire » (SIFP, une variante du syndrome de pupille étroite) a été observé au cours d’interventions chirurgicales de la cataracte et du glaucome chez certains patients traités ou précédemment traités par le chlorhydrate de tamsulosine.
Le SIFP, peut augmenter le risque de complications oculaires pendant et après l’opération.
Interrompre le chlorhydrate de tamsulosine 1 à 2 semaines avant une intervention chirurgicale de la cataracte ou du glaucome peut être considéré utile mais le bénéfice de l'interruption du traitement n’a pas été établi. Le SIFP a également été rapporté chez des patients qui avaient interrompu la tamsulosine pendant une plus longue période avant la chirurgie.
L’initiation d’un traitement par le chlorhydrate de tamsulosine chez des patients pour lesquels une intervention chirurgicale de cataracte ou du glaucome est programmée n’est pas recommandée. Au cours de la consultation pré-opératoire, les chirurgiens et leur équipe doivent vérifier si les patients qui vont être opérés de la cataracte ou du glaucome sont ou ont été traités par tamsulosine afin de s’assurer que des mesures appropriées seront mises en place pour prendre en charge la survenue d’un SIFP au cours de l’intervention chirurgicale.
Le chlorhydrate de tamsulosine ne doit pas être associé à des inhibiteurs puissants du CYP3A4 chez des métaboliseurs lents avec un phénotype CYP2D6.
Il convient d’être prudent en cas d’administration de chlorhydrate de tamsulosine en association avec des inhibiteurs puissants ou modérés du CYP3A4 (voir rubrique 4.5).
Il convient d’être prudent dans le traitement de patients ayant des antécédents de syncope mictionnelle.
Excipient
Ce médicament contient moins de 1 mmol de sodium (23 mg) par gélule, c'est-à-dire qu’il est essentiellement « sans sodium ».
4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions
Des études d’interactions ont été menées uniquement chez les adultes.
Aucune interaction n’a été observée lors de l’administration concomitante du chlorhydrate de tamsulosine avec de l’aténolol, ou de l’énalapril ou de la théophylline.
La prise concomitante de cimétidine augmente les concentrations plasmatiques de tamsulosine, la prise de furosémide diminue cette concentration, cependant les concentrations restent dans la fenêtre posologique, aucune adaptation n’est nécessaire.
Lors des tests in vitro, ni le diazépam, ou le propranolol, le trichlorméthiazide, le chlormadinone, l’amitriptyline, le diclofénac, le glibenclamide, la simvastatine ou la warfarine, ne modifient la fraction libre de tamsulosine dans le plasma humain.
De même, la tamsulosine ne modifie pas la fraction libre du diazépam, du propranolol, du trichlorméthiazide et de la chlormadinone.
Cependant le diclofénac et la warfarine peuvent augmenter l’élimination de la tamsulosine.
L’administration concomitante de chlorhydrate de tamsulosine avec des inhibiteurs forts du CYP3A4 peut conduire à une augmentation de l’exposition au chlorhydrate de tamsulosine. L’administration concomitante avec le kétoconazole (connu comme un inhibiteur puissant du CYP3A4) a entrainé une augmentation de l’ASC et de la Cmax du chlorhydrate de tamsulosine d’un facteur 2,8 et 2,2 respectivement. Le chlorhydrate de tamsulosine ne doit pas être administré de façon concomitante avec un inhibiteur puissant du CYP3A4 chez les patients métaboliseurs lents avec un phénotype CYP2D6.
Le chlorhydrate de tamsulosine doit être utilisé avec précaution en association avec des inhibiteurs modérés et puissants du CYP3A4.
L’administration concomitante du chlorhydrate de tamsulosine avec la paroxétine, un inhibiteur puissant du CYP2D6 a entrainé une augmentation de la Cmax et de l’ASC du chlorhydrate de tamsulosine d’un facteur 1,3 et 1,6 respectivement, mais ces augmentations ne sont pas considérées comme étant cliniquement significatives.
L’administration concomitante avec d’autres alpha1-bloquants peut entrainer des effets hypotenseurs.
4.6. Fertilité, grossesse et allaitement
La tamsulosine n’est pas indiqué chez la femme.
Fertilité
Des troubles de l’éjaculation ont été observés dans des études cliniques à court terme et à long terme avec la tamsulosine.
Des troubles de l’éjaculation, une éjaculation rétrograde et une diminution ou une absence d’éjaculat ont été rapportés après commercialisation.
4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines
Les effets indésirables sont classés par fréquence comme suit : Très fréquent (≥1/10) ; fréquent (≥1/100, <1/10) ; peu fréquent (≥1/1000, <1/100) ; rare (≥1/10000, <1/1000) ; très rare (<1/10000), non déterminé (ne peut être estimée d’après les données disponibles).
Les effets indésirables observés sont repris dans le tableau suivant :
Classification MedDRA |
Fréquence |
Effet indésirable |
Affection du système nerveux |
Fréquent |
Etourdissements (1,3%) |
Peu fréquent |
Céphalées |
|
Rare |
Syncope |
|
Affections oculaires |
Non déterminé |
Vision trouble* Troubles de la vision* |
Affection cardiaques |
Peu fréquent |
Palpitations |
Affections vasculaires |
Peu fréquent |
Hypotension orthostatique |
Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales |
Peu fréquent |
Rhinites |
Non déterminé |
Epistaxis* |
|
Affections gastro-intestinales |
Peu fréquent |
Constipation, diarrhées, nausées, vomissement |
Non déterminé |
Sécheresse buccale* |
|
Affections de la peau et du tissu sous-cutané |
Peu fréquent |
Rash prurit, urticaire |
Rare |
Angioedème |
|
Très rare |
Syndrome de Stevens Johnson |
|
Non déterminé |
Erythème polymorphe*, dermatite exfoliative* |
|
Affection des organes de reproduction et du sein |
Fréquent |
Troubles de l’éjaculation incluant éjaculation rétrograde et diminution ou absence d’éjaculat |
Très rare |
Priapisme |
|
Troubles généraux et anomalies au site d’administration |
Peu fréquent |
Asthénie |
* Observés après commercialisation
Au cours d'interventions chirurgicales de la cataracte et du glaucome, des cas de pupille étroite, connue sous le nom de syndrome de l'iris flasque per-opératoire (SIFP), ont été associés à la tamsulosine (voir également la rubrique 4.4).
Expérience après commercialisation : des cas de fibrillation auriculaire, arythmie, tachycardie et dyspnée ont également été rapportés lors de l'utilisation de la tamsulosine. Ces cas ont été rapportés spontanément au cours de la commercialisation de la tamsulosine, ainsi leur fréquence et le rôle de la tamsulosine ne peuvent être déterminés précisément.
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : https://signalement.social-sante.gouv.fr
Un surdosage pourrait donner lieu à une hypotension systémique.
Dans ce cas, mettre le patient en position déclive afin de restaurer la pression artérielle et normaliser le rythme cardiaque et, éventuellement, mettre en place une surveillance des paramètres cardio-vasculaires et rénaux avec restauration de la volémie et utilisation de sympathomimétiques.
En cas de surdosage, la résorption digestive du médicament peut être diminuée par des vomissements provoqués, un lavage gastrique, l'utilisation de charbon activé et par un laxatif osmotique tel que le sulfate de sodium.
Il semble inutile, par contre, de procéder à la mise sous dialyse, compte-tenu de la liaison pratiquement totale de la tamsulosine aux protéines plasmatiques.
5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES
5.1. Propriétés pharmacodynamiques
Mécanisme d’action
La tamsulosine est un antagoniste des récepteurs α1-adrénergiques post-synaptiques sélectif des sous-types de récepteurs α 1A et α 1D .Ces propriétés se traduisent par une relaxation du muscle lisse de la prostate et de l’urètre.
Effets pharmacodynamiques
La tamsulosine augmente le débit urinaire et améliore les syndromes obstructifs par la relaxation exercée sur les muscles lisses prostatiques et urétraux, ce qui conduit à la reduction des symptômes irritants.
La tamsulosine soulage aussi les symptômes de stockage dans lesquels l’instabilité de la vessie joue un rôle important dans leur développement. Les effets de la tamsuloine sur l’obstruction et la miction sont maintenus lors du traitement à long terme. La nécessité d’un traitement chirurgical ou d’une cathétérisation sont significativement repoussés grâce à ces effets.
Les alpha1-bloquants peuvent entraîner une diminution de la pression artérielle par un mécanisme de diminution des résistances vasculaires périphériques. Au cours des essais cliniques avec la tamsulosine, il n’a pas été rapporté de diminution de la pression artérielle cliniquement significative.
Population pédiatrique
Une étude en double aveugle, randomisée, de recherche de doses et contrôlée par placebo, a été réalisée chez des enfants porteurs d’une vessie neurologique. Un total de 161 enfants (âgés de 2 à 16 ans) a été randomisé et traité soit par l’une des 3 posologies de tamsulosine (faible [0,001 à 0,002 mg/kg], moyenne [0,002 à 0,004 mg/kg], et forte [0,004 à 0,008 mg/kg]), soit par un placebo. Le critère principal était le nombre de patients qui ont eu une diminution de leur « pression détrusorienne de fuite » (PDF) à une valeur <40 cm d’eau, lors de deux évaluations effectuées le même jour. Les critères secondaires étaient : la valeur et le pourcentage de la variation de la pression détrusorienne de fuite par rapport au début du traitement, l’amélioration ou la stabilisation de l’hydronéphrose et de l’hydro-uretère, la variation du volume urinaire mesuré par cathétérisme et le nombre de fois où les protections étaient humides au moment des cathétérismes, comme rapporté par le calendrier colligeant les cathétérismes. Aucune différence statistiquement significative n’a été trouvée entre le groupe placebo et l’un des 3 groupes de posologie de tamsulosine, que ce soit pour le critère principal ou pour les critères secondaires. Aucune réponse n’a été observée quelle que soit la posologie utilisée.
5.2. Propriétés pharmacocinétiques
La tamsulosine est absorbée par le tractus intestinal et sa biodisponibilité est presque complète. L’absorption de la tamsulosine diminue si le produit est administré peu après le repas. Cette absorption peut être rendue uniforme en utilisant toujours la tamsulosine après le même repas de la journée.
La pharmacocinétique de la tamsulosine est linéaire.
Après administration d’une dose unique au moment d’un repas standard, le pic plasmatique (C max) est atteint 6 heures après la prise. Après administrations réitérées, l’état d’équilibre plasmatique est atteint au 5ème jour et la concentration maximale est environ supérieure de 2/3 à la concentration maximale initiale. Bien que cela ait seulement été démontré dans la population âgée, les mêmes résultats seraient également attendus chez des patients jeunes.
Il existe une importante variation interindividuelle des concentrations plasmatiques atteintes, que ce soit après prise unique ou prises répétées.
Distribution
Chez l’homme, le chlorhydrate de tamsulosine est presque totalement lié aux protéines plasmatiques et a donc un faible volume de distribution (environ 0,2 L/kg).
Biotransformation
L’effet de premier passage du chlorhydrate de tamsulosine est faible ; la molécule est en grande quantité présente dans le plasma sous forme inchangée et est métabolisée lentement au niveau du foie.
Chez le rat, pratiquement aucune induction des enzymes hépatiques microsomales liée à la tamsulosine n’a été observée.
Les résultats in vitro suggèrent que le CYP3A4 et le CYP2D6 sont impliqués dans le métabolisme du chlorhydrate de tamsulosine, avec l’intervention possible mineure d'autres isoenzymes CYP. L'inhibition des enzymes CYP3A4 et CYP2D6 responsables du métabolisme des médicaments pourrait entraîner une augmentation de l'exposition au chlorhydrate de tamsulosine (voir rubriques 4.4 et 4.5).
Aucun ajustement de dose n’est nécessaire dans l’insuffisance hépatique légère.
Aucun des métabolites obtenus n’est plus actif ou plus toxique que la molécule initiale.
Élimination
Le chlorhydrate de tamsulosine et ses métabolites sont principalement éliminés dans les urines.
Environ 9% de la dose absorbée sont excrétés sous forme inchangée.
Chez les patients, après prise unique d’une gélule de tamsulosine au moment d’un repas, d’une part, et à l’état d’équilibre plasmatique, d’autre part, la demi-vie d’élimination est respectivement d’environ 10 et 13 heures.
En cas d’affections rénales, une réduction des doses de tamsulosine n’est pas justifiée.
5.3. Données de sécurité préclinique
La toxicité à des doses uniques et multiples a été évaluée chez les souris, les rats et les chiens. La reprotoxicité chez des rats, la carcinogénicité chez les souris et les rats, et la génotoxicité in vivo et in vitro ont également été évalués. Le profil commun de toxicité à fortes doses de tamsulosine est équivalent aux effets pharmacologiques associés aux alpha-bloquants.
Des modifications ont été observées à la lecture des ECG suite à de fortes doses administrées chez des chiens. Toutefois, cela n’a pas de signification clinique. La tamsulosine n’a montré aucune propriété génotoxique significative.
Une augmentation de l’incidence de troubles proliferatifs dans les glandes mammaires de rats et de souris femelles ont été trouvées. Ces découvertes, probablement liées à une hyprolactininémie et apparaissant seulement à forte doses, sont considérées comme peu significatives cliniquement.
Corps de la gélule : gélatine, dioxyde de titane (E171), oxyde de fer jaune (E172), oxyde de fer rouge (E172).
Tête de la gélule : gélatine, dioxyde de titane (E171), oxyde de fer jaune (E172), oxyde de fer noir (E172), indigotine (E132).
3 ans.
6.4. Précautions particulières de conservation
A conserver à une température ne dépassant pas 25°C.
6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur
Boîte de 10, 20, 30, 50, 90 et 100 gélules sous plaquettes (PVC/PVDC-Aluminium).
Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées.
6.6. Précautions particulières d’élimination et de manipulation
Pas d’exigences particulières.
7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE
35 RUE DU VAL DEMARNE
75013 PARIS
8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE
· 34009 301 119 4 9 : 10 gélules sous plaquettes (PVC/PVDC/Aluminium).
· 34009 301 119 5 6 : 20 gélules sous plaquettes (PVC/PVDC/Aluminium).
· 34009 301 119 6 3 : 30 gélules sous plaquettes (PVC/PVDC/Aluminium).
· 34009 550 404 3 9 : 50 gélules sous plaquettes (PVC/PVDC/Aluminium).
· 34009 550 404 4 6 : 90 gélules sous plaquettes (PVC/PVDC/Aluminium).
· 34009 550 404 5 3 : 100 gélules sous plaquettes (PVC/PVDC/Aluminium).
9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DE L’AUTORISATION
[à compléter ultérieurement par le titulaire]
10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE
[à compléter ultérieurement par le titulaire]
Sans objet.
12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACEUTIQUES
Liste I.
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