ANSM - Mis à jour le : 17/09/2020
BUPIVACAINE MYLAN 5 mg/ml, solution injectable en flacon
2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE
Chlorhydrate de bupivacaïne................................................................................................ 5,26 mg
Quantité correspondante à chlorhydrate de bupivacaïne anhydre............................................ 5,00 mg
Pour 1 ml.
1 flacon de 20 ml contient 100 mg de chlorhydrate de bupivacaïne anhydre.
Excipient(s) à effet notoire : 62,8 mg de sodium par flacon.
Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.
4.1. Indications thérapeutiques
· Anesthésie chirurgicale chez les adultes et les enfants de plus de 12 ans : Anesthésie loco-régionale lors d'intervention chirurgicale : anesthésie tronculaire, plexique, caudale, péridurale.
· Traitement de la douleur aiguë chez l’adulte :
o Analgésie péridurale :
§ en obstétrique ;
§ dans le traitement de la douleur au cours d'algies diverses: néoplasiques, postopératoires, post-traumatiques, artéritiques ;
§ dans la préparation à certains gestes thérapeutiques douloureux (kinésithérapie post-opératoire, post-traumatique).
· Traitement de la douleur aiguë chez le nourrisson et l’enfant de plus d’un an.
4.2. Posologie et mode d'administration
Le chlorhydrate de bupivacaïne existe sous forme adrénalinée ou non, aux concentrations de 2,5 mg/ml et 5 mg/ml et dans différentes présentations.
La forme, la concentration et la présentation utilisées varient en fonction de l'indication et du but recherché (anesthésie chirurgicale ou analgésie pure), de l'âge et de l'état pathologique du patient.
L'emploi des formes adrénalinées allonge la durée d'action. Les formes les plus concentrées procurent un bloc moteur plus constant et plus intense.
Les posologies suivantes chez l’adulte sont des posologies moyennes données à titre indicatif :
Anesthésie chirurgicale
· Péridurale :
Chez l'adulte : chlorhydrate de bupivacaïne 5 mg/ml : 6 à 8 mg par segment sans dépasser 12 à 24 ml au total.
· Caudale :
Chez l'adulte : chlorhydrate de bupivacaïne 5 mg/ml : 15 à 30 ml.
· Blocs plexiques :
chlorhydrate de bupivacaïne 5 mg/ml avec adrénaline de préférence : 20 à 30 ml.
chlorhydrate de bupivacaïne 2,5 mg/ml avec adrénaline de préférence : 25 à 40 ml.
· Blocs tronculaires :
chlorhydrate de bupivacaïne 2,5 mg/ml ou chlorhydrate de bupivacaïne 5 mg/ml : de quelques ml à 15 ou 20 ml selon le nerf.
· Bloc intercostal :
chlorhydrate de bupivacaïne 2,5 mg/ml : 1 à 2 ml par nerf (ne jamais dépasser la dose de 100 mg, c'est-à-dire 40 ml)
Analgésie obstétricale : chlorhydrate de bupivacaïne 2,5 mg/ml
· en 2 temps :
6 à 10 ml pour la dose haute (dilatation) et 10 à 15 ml pour la dose basse (expulsion).
· en 1 temps :
18 à 20 ml à compléter éventuellement.
Traitement de la douleur : chlorhydrate de bupivacaïne 2,5 mg/ml
· analgésie par voie péridurale :
5 à 15 ml à renouveler toutes les 6 heures environ.
· blocs divers : 8 à 20 ml.
Ne pas dépasser sans prémédication ni surveillance particulière la dose totale de 150 mg de chlorhydrate de bupivacaïne par acte anesthésique (voir rubriques 4.8 et 5.2).
Ne pas réutiliser un flacon entamé.
Patients pédiatriques âgés de 1 à 12 ans
Les procédures d’anesthésie régionale chez les enfants doivent être réalisées par des médecins qualifiés, familiarisés avec cette population et avec la technique.
Les doses indiquées dans le tableau sont à prendre comme des directives pour l’utilisation en pédiatrie. Des variations individuelles sont possibles. Chez les enfants dont le poids corporel est élevé, une diminution progressive de la posologie est fréquemment nécessaire et doit être basée sur le poids corporel idéal. Des manuels standard doivent être consultés pour connaître les facteurs affectant certaines techniques spécifiques de bloc et les exigences particulières de chaque patient.
Recommandations posologiques chez les enfants
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Conc mg/ml |
Volume mg/kg |
Dose |
Survenue de l’effet min |
Durée de l’effet heures |
TRAITEMENT DE LA DOULEUR AIGUË (per- et post-opératoire) |
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Administration épidurale caudale |
2.5 |
0.6-0.8 |
1.5-2 |
20-30 |
2-6 |
Administration épidurale lombaire |
2.5 |
0.6-0.8 |
1.5-2 |
20-30 |
2-6 |
Administration épidurale thoraciqueb) |
2.5 |
0.6-0.8 |
1.5-2 |
20-30 |
2-6 |
Bloc de champ (par ex., blocs nerveux mineurs et infiltrations) |
2.5
5.0 |
|
0.5-2.0
0.5-2.0 |
|
|
Blocs nerveux périphériques (par ex., ilio-inguinal – ilio-hypogastrique) |
2.5
5.0 |
|
0.5-2.0
0.5-2.0 |
a)
a) |
|
a) Le délai de survenue et la durée des blocs nerveux périphériques dépendent du type du bloc et de la dose administrée
b) Les blocs épiduraux thoraciques requièrent une dose progressivement croissante jusqu’à l’obtention du niveau d’anesthésie désiré
Chez les enfants, la posologie doit être déterminée à partir du poids jusqu’à 2 mg/kg.
Pour éviter toute injection intravasculaire, une aspiration doit être effectuée avant et pendant l’administration de la dose principale. Celle-ci doit être injectée lentement, par doses croissantes, surtout en cas de voie épidurale lombaire ou thoracique, en en surveillant constamment et attentivement les fonctions vitales du patient.
Une infiltration péri-amygdalienne a été pratiquée chez des enfants de plus de 2 ans, avec de la bupivacaïne à la concentration de 2,5 mg/ml, à des doses de 7,5 à 12,5 mg par amygdale.
Des blocs ilio-inguinaux ou ilio-hypogastriques ont été réalisés chez des enfants âgés au moins d’un an avec de la bupivacaïne à la concentration de 2,5 mg/ml, à raison de 0,1 à 0,5 ml/kg, correspondant à 0,25 à 1,25 mg/kg. Des enfants âgés de 5 ans et plus ont reçu de la bupivacaïne à la concentration de 5 mg/ml, à des doses de 1,25 à 2 mg/kg.
Pour les blocs péniens, la bupivacaïne, à la concentration de 5 mg/ml, a été utilisée à des doses totales de 0,2 à 0,5 mg/kg, correspondant à 1 à 2,5 mg/kg.
La tolérance et l’efficacité de BUPIVACAINE MYLAN 2,5 mg/ml, solution injectable n’ont pas été établies chez les enfants âgés de moins d’un an. Les informations disponibles sont limitées.
La tolérance et l’efficacité de l’injection épidurale en bolus intermittents ou en perfusion continue n’ont pas été établies. Les données disponibles sont limitées.
· voie intraveineuse, y compris l'anesthésie locale intraveineuse.
· hypersensibilité connue aux anesthésiques locaux à liaison amide.
· patients sous anticoagulants.
· porphyries.
· troubles de la conduction auriculo-ventriculaire nécessitant un entraînement électrosystolique permanent non encore réalisé.
· épilepsie non contrôlée par un traitement.
L’injection d’une solution contenant de l’adrénaline et de la bupivacaïne dans les zones parcourues par des artères terminales (par ex., bloc pénien, bloc d’Oberst) peut entraîner une nécrose tissulaire ischémique.
Note : Aucune contre-indication spécifique n’a été identifiée chez les patients pédiatriques.
4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi
L'attention des sportifs sera attirée sur le fait que cette spécialité contient un principe actif pouvant induire une réaction positive des tests pratiqués lors des contrôles antidopage.
Un surdosage ou une injection IV rapide accidentelle peut provoquer des réactions toxiques (voir rubrique 4.8 et 4.9).
Précautions d'emploi
L'utilisation de la bupivacaïne nécessite :
· un interrogatoire destiné à connaître le terrain, les thérapeutiques en cours et les antécédents du patient,
· si nécessaire, une prémédication par une benzodiazépine à dose modérée,
· de disposer d'une voie veineuse et d'un matériel complet de réanimation,
· de disposer de médicaments aux propriétés anticonvulsivantes (thiopental, benzodiazépines), de myorelaxants (benzodiazépines), d'atropine et de vasopresseurs,
· une surveillance électrocardiographique continue (cardioscopie), et tensionnelle,
· de pratiquer une injection test de 5 à 10 % de la dose,
· d'injecter lentement en réaspirant fréquemment,
· de maintenir le contact verbal avec le patient.
Insuffisance hépatique : la bupivacaïne étant métabolisée par le foie, les doses doivent être limitées chez l'insuffisant hépatique sévère et un renouvellement éventuel des injections, par exemple pour l'anesthésie péridurale, doit être strictement surveillé chez de tels sujets pour éviter un surdosage relatif par insuffisance de métabolisation.
La bupivacaïne doit être utilisée avec précaution chaque fois qu'une pathologie (état de choc, insuffisance cardiaque) ou une thérapeutique concomitante (bêta-bloquants) diminue le débit sanguin hépatique.
L'hypoxie, l'hyperkaliémie ou l'acidose majorent le risque de toxicité cardiaque de la bupivacaïne et peuvent nécessiter l'adaptation des doses.
En raison de sa toxicité cardiaque, la bupivacaïne doit être utilisée avec précaution chez les patients présentant un allongement du QT ; l'indication, la posologie et le mode d'administration doivent être discutés pour éviter tout risque de concentration plasmatique trop élevée, qui pourrait être à l'origine de troubles du rythme ventriculaire sévères.
Ce médicament contient 62,8 mg de sodium par flacon ce qui équivaut à 3,14% de l’apport alimentaire quotidien maximal recommandé par l’OMS de 2 g de sodium par adulte. En tenir compte chez les personnes suivant un régime hyposodé strict.
Population pédiatrique
L’utilisation de la bupivacaïne pour la réalisation de bloc intra-articulaire chez les enfants âgés de 1 à 12 ans n’a pas été documentée.
L’utilisation de la bupivacaïne pour la réalisation de bloc nerveux majeur chez les enfants âgés de 1 à 12 ans n’a pas été documentée.
Pour une anesthésie épidurale, les enfants doivent recevoir des doses croissantes, en rapport avec leur âge et leur poids, car l’anesthésie épidurale, surtout au niveau thoracique, peut induire une hypotension artérielle sévère et une insuffisance respiratoire.
4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions
Sans objet.
4.6. Fertilité, grossesse et allaitement
Grossesse
Les études effectuées chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène mais une fœtotoxicité. En l'absence d'effet tératogène chez l'animal, un effet malformatif dans l'espèce humaine n'est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l'espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l'animal au cours d'études bien conduites sur deux espèces.
En clinique, il n'existe pas actuellement de données suffisamment pertinentes pour évaluer un éventuel effet malformatif de la bupivacaïne administrée pendant le premier trimestre de la grossesse.
En conséquence, l'utilisation de la bupivacaïne ne doit être envisagée au cours de la grossesse que si nécessaire.
Au cours de l'accouchement, une bradycardie, accompagnée éventuellement d'acidose fœtale, cyanose, baisse transitoire des réponses neurocomportementales néonatales (atonie, réflexe de succion) ont été retrouvées, essentiellement avec la lidocaïne et la mépivacaïne. Ces effets sont d'autant plus manifestes que l'anesthésie est proche de la délivrance. En conséquence, on surveillera les fonctions vitales du nouveau-né.
Par mesure de prudence, il est souhaitable d'interrompre quelques heures (environ 4 heures) l'allaitement après l'anesthésie.
4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines
La survenue d'un effet indésirable doit faire suspecter un surdosage.
Les réactions toxiques, témoins d'un surdosage en anesthésique local peuvent apparaître dans deux conditions : soit immédiatement, par surdosage relatif dû à un passage intra-veineux accidentel, soit plus tardivement par surdosage vrai dû à l'utilisation d'une trop grande quantité d'anesthésique.
Les signes de toxicité peuvent être :
· sur le plan du système nerveux central : nervosité, agitation, bâillements, tremblements, appréhension, nystagmus, logorrhée, céphalées, nausées, bourdonnements d'oreille. Ces signes d'appel nécessitent une surveillance attentive pour prévenir une éventuelle aggravation: convulsions puis dépression du S.N.C.
· sur le plan respiratoire : tachypnée puis apnée.
· sur le plan cardiovasculaire : tachycardie, bradycardie, dépression cardiovasculaire avec hypotension artérielle pouvant aboutir à un collapsus, troubles du rythme (extrasystoles ventriculaires, fibrillation ventriculaire), trouble de la conduction (bloc auriculo-ventriculaire). Ces manifestations cardiaques peuvent aboutir à un arrêt cardiaque.
Population pédiatrique
Les effets indésirables observés chez les enfants sont les mêmes que chez les adultes. Cependant, chez les enfants, les signes annonciateurs d’une toxicité de l’anesthésie locale peuvent être difficiles à détecter quand le bloc est réalisé au cours d’une sédation ou d’une anesthésie générale.
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.signalement-sante.gouv.fr.
Les manifestations toxiques neurologiques sont, en règle générale, contemporaines des manifestations cardiaques. Le traitement comporte intubation après emploi de myorelaxants, ventilation assistée, benzodiazépines. La surveillance doit être de longue durée en raison de la forte fixation tissulaire de la bupivacaïne.
Les concentrations plasmatiques auxquelles peuvent apparaître les premiers signes de toxicité neurologique et cardiaque sont de 1,6 µg/ml (voir rubrique 5.2).
5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES
5.1. Propriétés pharmacodynamiques
Classe pharmacothérapeutique : ANESTHESIQUE LOCAL, code ATC : N01BB01.
(N : système nerveux central).
La bupivacaïne fait partie du groupe des anesthésiques à liaison amide.
L'activité anesthésique de la bupivacaïne se caractérise par :
· un délai lent de l'installation de l'anesthésie,
· une longue durée d'action (allongée lors de l'utilisation de la forme adrénalinée),
· l'obtention d'un bloc sensitif presque exclusif avec la concentration à 2,5 mg/ml ou associé à un bloc moteur plus ou moins important avec la concentration à 5 mg/ml.
5.2. Propriétés pharmacocinétiques
L'absorption et la diffusion de la bupivacaïne dépendent de très nombreux paramètres :
· type d'injection,
· profil du patient,
· concentration, dose totale injectée,
· caractéristiques physico-chimiques de cet anesthésique: solubilité dans les graisses élevée (fixation préférentielle sur les tissus riches en graisse: cœur, poumon, cerveau) ; pKa de 8,1; au pH de 7,4 83 % de la fraction libre du produit est sous forme ionisée.
Distribution
Fixation aux protéines plasmatiques (préférentiellement les alpha 1 glucoprotéines) très élevée : de l'ordre de 95 pour cent aux doses utilisées en thérapeutique.
La demi-vie de distribution tissulaire est d'environ 30 minutes et le volume de distribution est de 72 litres.
Il existe une diffusion placentaire: le rapport sang fœtal/sang maternel est de l'ordre du tiers.
Élimination
La bupivacaïne est presque exclusivement métabolisée par le foie par dégradation par le système mono-oxygénasique dépendant du cytochrome P.450. La presque totalité de la bupivacaïne injectée est éliminée sous forme de métabolites.
Environ 5 à 10 % du produit sont éliminés par voie urinaire sous forme active.
La demi-vie apparente d'élimination est de 3h30.
Concentrations plasmatiques
Lors d'une anesthésie péridurale réalisée avec une dose totale de 150 mg de bupivacaïne, la concentration plasmatique maximale est obtenue en 10 à 30 minutes et atteint environ 1 µg/ml.
Après anesthésie péridurale en obstétrique réalisée avec des doses de 50 mg à 100 mg de bupivacaïne, les concentrations plasmatiques chez la mère varient entre 0,4 à 0,8 µg/ml.
Après bloc du plexus brachial réalisé avec 150 mg de bupivacaïne la concentration plasmatique maximale est obtenue en 15 à 20 minutes et atteint de l'ordre de 1,50 à 1,70 µg/ml.
Les concentrations plasmatiques auxquelles peuvent apparaître les premiers signes de toxicité neurologique et cardiaque sont de 1,6 µg/ml.
Chez les enfants, la pharmacocinétique est la même que chez les adultes.
5.3. Données de sécurité préclinique
Chlorure de sodium, eau pour préparations injectables.
Avant ouverture : 3 ans.
Après ouverture, le produit doit être utilisé immédiatement.
6.4. Précautions particulières de conservation
Avant ouverture : A conserver à une température inférieure à 25°C.
6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur
20 ml en flacon (verre). Boîte de 1.
20 ml en flacon (verre). Boîte de 5.
20 ml en flacon (verre). Boîte de 10.
6.6. Précautions particulières d’élimination et de manipulation
Pas d’exigences particulières.
7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE
117 ALLEE DES PARCS
69800 SAINT PRIEST
FRANCE
8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE
· CIP 557 409-4 ou 34009 557 409 4 0 : 20 ml en flacon (verre). Boîte de 1.
· CIP 557 410-2 ou 34009 557 410 2 2 : 20 ml en flacon (verre). Boîte de 5.
· CIP 562 605-2 ou 34009 562 605 2 2 : 20 ml en flacon (verre). Boîte de 10.
9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DE L’AUTORISATION
[à compléter ultérieurement par le titulaire]
10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE
[à compléter ultérieurement par le titulaire]
Sans objet.
12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACEUTIQUES
Liste II.
Médicament réservé à l’usage hospitalier.
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