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RANITIDINE MYLAN 150 mg, comprimé pelliculé - Résumé des caractéristiques du produit

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ANSM - Mis à jour le : 04/09/2019

1. DENOMINATION DU MEDICAMENT  Retour en haut de la page

RANITIDINE MYLAN 150 mg, comprimé pelliculé

2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE  Retour en haut de la page

Chaque comprimé pelliculé contient 150 mg de ranitidine sous forme de chlorhydrate de ranitidine.

Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.

3. FORME PHARMACEUTIQUE  Retour en haut de la page

Comprimé pelliculé.

Comprimé blanc à beige, biconvexe, pelliculé, en forme de gélule, avec la gravure « G » sur un côté et « 00 » sur « 30 » sur l’autre côté.

4. DONNEES CLINIQUES  Retour en haut de la page

4.1. Indications thérapeutiques  Retour en haut de la page

Adultes

Ulcère gastrique et duodénal, en prophylaxie de l'ulcère duodénal, dans l'œsophagite par reflux et dans le traitement du syndrome de Zollinger-Ellison.

Enfants (3 à 18 ans)

- Traitement à court terme des ulcères gastroduodénaux,

- Traitement du reflux gastro-œsophagien, y compris les œsophagites par reflux et le soulagement des symptômes liés au reflux gastro-œsophagien.

4.2. Posologie et mode d'administration  Retour en haut de la page

Posologie

Adultes, enfants et jeunes personnes de plus de 12 ans

Traitement de l'ulcère gastrique et duodénal : 150 mg 2 fois par jour ou 300 mg une fois par jour après le dîner ou au coucher. Pour l'ulcère duodénal, la posologie peut être augmentée à 300 mg, 2 fois par jour pendant 4 semaines au maximum.

Chez les personnes âgées et chez les patients présentant une insuffisance rénale et/ou hépatique, la dose sera réduite à 150 mg au coucher pour une période de 4 à 8 semaines.

Traitement prophylactique de l'ulcère duodénal : 150 mg ou 300 mg une fois par jour après le dîner ou au coucher.

Œsophagite par reflux: 300 mg par jour ou 150 mg, 2 fois par jour pendant 4 à 8 semaines ou, si nécessaire, jusqu'à 12 semaines.

Syndrome de Zollinger-Ellison : 150 mg 3 à 4 fois par jour. La posologie peut être augmentée à 300 mg 4 fois par jour. Des doses plus élevées peuvent être administrées. Des traitements utilisant des doses allant jusqu'à 6 g/jour ont été tolérés.

Patients insuffisants rénaux

La posologie devra être réduite chez les patients présentant une insuffisance rénale.

Selon les valeurs de la clairance de la créatinine (mL/min) ou de la créatinine sérique, les posologies suivantes sont recommandées:

Clairance de la créatinine (mL/min)

Créatinine sérique (approx*) (mg/100 mL)

Posologie de ranitidine par jour (orale)

jusqu'à 30
supérieure à 30

supérieure à 2,6
inférieure à 2,6

150 mg
300 mg

*Les teneurs en créatinine sérique sont présentées à titre indicatif et ne reflètent pas le même degré d'insuffisance chez tous les patients chez lesquels la fonction rénale est réduite. Ceci concerne notamment les patients âgés, chez lesquels la fonction rénale est surestimée par les concentrations en créatinine sérique.

La formule suivante peut être utilisée pour estimer la clairance de la créatinine à partir des teneurs en créatinine sérique mesurées (mg/100 mL), l'âge (en année) et le poids corporel (en kg). Chez les femmes, le résultat doit être multiplié par le facteur 0,85.

Les patients dialysés devront recevoir la dose de ranitidine la plus basse à l'issue de la dialyse, car la ranitidine n'est pas éliminée par ce processus.

Population pédiatrique

Enfants de 12 ans et plus

Pour les enfants de 12 ans et plus, la posologie adulte est donnée.

Enfants de 3 à 11 ans et de plus de 30 kg

Voir rubrique 5.2 -Populations spéciales de patients.

Traitement de l’ulcère gastroduodénal aigu

La posologie par voie orale recommandée pour le traitement de l’ulcère gastroduodénal chez les enfants est de 4 mg /kg /jour à 8 mg/kg/jour administrés en deux doses séparées, avec une dose maximale de 300 mg par jour de ranitidine durant 4 semaines.

Pour les patients ayant une guérison incomplète, 4 semaines supplémentaires de traitement sont indiquées, étant donné que la guérison survient généralement après 8 semaines de traitement.

Reflux gastro-œsophagien

La posologie par voie orale recommandée pour le traitement du reflux gastro- œsophagien chez les enfants est de 5 mg/kg/jour à 10 mg/kg/jour administrés en deux doses séparées, avec une dose maximale de 600 mg par jour (posologie maximale susceptible de s’appliquer aux enfants et aux adolescents de poids élevé et ayant des symptômes sévères).

Nouveau-nés

La sécurité et l’efficacité chez les nouveau-nés n’ont pas été établies.

Patients âgés (plus de 50 ans)

Voir rubrique 5.2, -Populations spéciales de patients.

Insuffisance hépatique

Réduction de la dose.

Mode d’administration

Voie orale.

4.3. Contre-indications  Retour en haut de la page

· Hypersensibilité à la substance active ou à l’un des excipients mentionnés à la rubrique 6.1.

· De rares cas cliniques ont évoqué un lien entre porphyrie aiguë et traitement par la ranitidine. Il convient de ne pas traiter les patients ayant des antécédents de porphyrie aiguë avec RANITIDINE MYLAN.

4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi  Retour en haut de la page

La possibilité de pathologie maligne doit être exclue avant de commencer un traitement chez des patients souffrant d’ulcère gastrique, car un traitement par la ranitidine peut masquer les symptômes d’un carcinome gastrique.

La ranitidine est excrétée par voie rénale ; par conséquent, les taux plasmatiques du médicament sont plus élevés chez les patients atteints d’insuffisance rénale sévère. La prudence s’impose chez les patients âgés, chez lesquels la fonction rénale peut être diminuée.

Pour les patients insuffisants rénaux et/ou hépatiques aussi bien que chez les patients âgés, la posologie doit être ajustée de la manière décrite ci-dessus (voir rubrique 4.2.).

De rares rapports cliniques indiquent que la ranitidine peut accélérer la survenue de crises de porphyrie aiguë. L’utilisation de ranitidine doit donc être évitée chez les patients ayant des antécédents de porphyrie aiguë (voir rubrique 4.3).

Chez des patients tels que des personnes âgées, des personnes souffrant d’une pathologie pulmonaire chronique, les patients diabétiques ou immunodéprimés, il peut y avoir un risque accru de développement d’une pneumonie extrahospitalière. Une vaste étude épidémiologique a mis en évidence un risque accru de développement d’une pneumonie extrahospitalière chez les utilisateurs actuels de ranitidine seule par rapport à ceux qui ont arrêté le traitement, avec une augmentation de 1,82 (IC 95 % : 1,26-2,64) du risque relatif ajusté observé.

Une surveillance régulière des patients qui prennent des anti-inflammatoires non stéroïdiens en association avec la ranitidine est recommandée, en particulier chez les patients âgés et chez ceux ayant des antécédents d’ulcère peptique.

Par rapport au sucralfate, la ranitidine augmente nettement les complications infectieuses associées aux antagonistes des récepteurs histaminiques administrés en prophylaxie aux patients gravement malades. Ce fait a été démontré lors d’une étude randomisée chez 98 patients. L’augmentation des complications infectieuses est très probablement associée à l’inhibition de la sécrétion acide et non au médicament lui-même.

4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions  Retour en haut de la page

La ranitidine peut modifier l’absorption, le métabolisme ou l’excrétion rénale d’autres médicaments. L’altération de la pharmacocinétique peut nécessiter un ajustement posologique du médicament affecté ou l’arrêt du traitement.

Les interactions reposent sur plusieurs mécanismes, parmi lesquels :

1) Inhibition du système d’oxygénase à fonction mixte liée au cytochrome P450 : la ranitidine aux doses thérapeutiques usuelles ne potentialise pas l’activité des médicaments qui sont inactivés par ce système enzyme, comme le diazépam, la lidocaïne, la phénytoïne, le propranolol et la théophylline.

Une modification du temps de prothrombine a été signalée avec les anticoagulants coumariniques (p. ex., la warfarine). Du fait de la marge thérapeutique étroite, il est recommandé de surveiller soigneusement l’augmentation ou la diminution du temps de prothrombine lors d’un traitement concomitant par la ranitidine.

2) Compétition pour la sécrétion tubulaire rénale : La ranitidine étant partiellement éliminée par le système cationique, elle peut affecter la clairance d’autres médicaments éliminés par cette voie. De fortes doses de ranitidine (telles que celles utilisées pour le traitement du syndrome de Zollinger-Ellison) pourraient diminuer l’excrétion de procaïnamide et de N-acétyl-procaïnamide, ce qui se traduirait par une augmentation des taux plasmatiques de ces médicaments.

3) Altération du pH gastrique : La biodisponibilité de certains médicaments peut être affectée. Cela peut avoir pour conséquence soit une augmentation de l’absorption (p. ex., triazolam, midazolam, glipizide), soit une diminution de l’absorption (p. ex., kétoconazole, atazanavir, délavirdine, gefitinib). L’administration concomitante de 300 mg de ranitidine à de l’erlotinib a diminué l’aire sous la courbe (ASC) et la concentration maximale (Cmax) de l’erlotinib respectivement de 33 % et 54 %. Cependant, lorsque l’erlotinib a été dosé de façon espacée, 2 heures avant ou 10 heures après l’administration de ranitidine 150 mg deux fois par jour, l’aire sous la courbe (ASC) et la concentration maximale (Cmax) de l’erlotinib ont seulement diminué respectivement de 15 % et 17 %.

Il n’y a pas de mise en évidence d’une interaction entre la ranitidine et l’amoxicilline et le métronidazole. Si des doses élevées de sucralfate (2 g) sont administrées avec la ranitidine, l’absorption de ce dernier peut être réduite. Cet effet n’est pas vu si le sucralfate est pris après un intervalle de 2h.

4.6. Fertilité, grossesse et allaitement  Retour en haut de la page

Grossesse

La ranitidine traverse la barrière placentaire. Comme d’autres médicaments, la ranitidine ne doit être utilisée pendant la grossesse qu’en cas de nécessité absolue.

Allaitement

La ranitidine est excrétée dans le lait maternel humain. Comme d’autres médicaments, la ranitidine ne doit être utilisée pendant l’allaitement qu’en cas de nécessité absolue.

Fertilité

Il n’existe pas de données sur les effets de la ranitidine sur la fertilité humaine. Il n’y a pas eu d’effets sur la fertilité mâle et femelle au cours des études chez les animaux (voir rubrique 5.3).

4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines  Retour en haut de la page

Pas d’effets rapportés, cependant des maux de tête, des étourdissements, une confusion, des hallucinations peuvent survenir comme des effets indésirables, qui sont susceptibles d'affecter la conduite et l'utilisation de machines.

4.8. Effets indésirables  Retour en haut de la page

Les conventions suivantes ont été utilisées pour la classification des effets indésirables : très fréquent (≥1/10), fréquent (≥1/100 à <1/10), peu fréquent (≥1/1 000 à <1/100), rare (≥1/10 000 à <1/1 000), très rare (<1/10 000), fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).

Les fréquences des effets indésirables ont été estimées sur la base des rapports spontanés émanant des données issues de la surveillance postérieure à la mise sur le marché.

Système Classe-organe

Très fréquent

Fréquent

Peu Fréquent

Rare

Très rare

Fréquence indéterminée

Infections et infestations

Utilisée chez des patients gravement blessés, la ranitidine est associée – par rapport au sucralfate – à une augmentation statistiquement significative des complications infectieuses générales

Méningite aseptique

Affections hématologiques et du système lymphatique

Modifications de la numération des cellules sanguines (leucopénie, thrombocytopénie). Ces effets sont habituellement réversibles. Agranulocytose ou pancytopénie, s’accompagnant parfois d’hypoplasie ou d’aplasie médullaire.

Affections du système immunitaire1

Réactions laryngées d’hypersensibilité aiguë (p. ex., éosinophilie, urticaire, œdème angioneurotique, fièvre, hypotension, bronchospasme, spasme , et douleur au niveau de la poitrine).

Choc anaphylactique.

Affections psychiatriques

Confusion mentale réversible, dépression et hallucinations

Ces effets ont été décrits principalement chez des patients gravement malades, chez des patients âgés et chez les patients néphrotiques et ont disparu après l’arrêt du traitement par ranitidine.

Affections du système nerveux

Maux de tête (parfois sévères), étourdissements et problèmes réversibles de mouvements involontaires

Affections oculaires

Vision floue réversible.

Des cas de vision floue ont été rapportés, évoquant une altération de l’accommodation.

Affections cardiaques

Comme avec les autres antagonistes des récepteurs H2, arythmies, p. ex., tachycardie, bradycardie et bloc auriculo-ventriculaire

Affections vasculaires

Vasculite

Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales

Dyspnée

Affections gastro-intestinales

Douleur abdominale, diarrhée, constipation, nausées (ces symptômes s’améliorent généralement avec la poursuite du traitement), vomissements, crampes abdominales

Pancréatite aiguë,

Affections hépatobiliaires

Modifications transitoires et réversibles des tests de la fonction hépatique

Hépatite (hépatocellulaire, hépatocanaliculaire ou mixte) avec ou sans jaunisse, généralement réversible après l’arrêt du traitement par la ranitidine.

Affections de la peau et du tissu sous-cutané

Éruption cutanée

Érythème polymorphe, alopécie, syndrome de Stevens-Johnson, nécrolyse épidermique toxique, photosensibilité

Affections musculo-squelettiques et systémiques

Symptômes musculo-squelettiques tels qu’arthralgies et myalgies

Affections du rein et des voies urinaires

Élévation de la créatinine plasmatique (généralement peu marquée, se normalise avec la poursuite du traitement).

Néphrite interstitielle aiguë.

Affections des organes de la reproduction et du sein

Impuissance réversible, perte de la libido, diminution de la virilité, symptômes et anomalies au niveau des seins (tels que gynécomastie et galactorrhée).

1 Ces événements ont été rapportés après l’administration d’une dose unique

Population pédiatrique

La sécurité de la ranitidine a été évaluée chez les enfants de 0 à 16 ans atteints de maladie associée à un excès d’acide et ce médicament a généralement été bien toléré, avec un profil d’événements indésirables ressemblant à celui observé chez les adultes. Les données de sécurité à long terme sont limitées, notamment en ce qui concerne la croissance et le développement.

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.signalement-sante.gouv.fr.

4.9. Surdosage  Retour en haut de la page

Symptômes

L’action de la ranitidine est extrêmement spécifique et aucun problème particulier n’est anticipé après un surdosage des formulations de ranitidine.

Traitement

Un traitement symptomatique et de soutien doit être administré si nécessaire.

5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES  Retour en haut de la page

5.1. Propriétés pharmacodynamiques  Retour en haut de la page

Classe pharmacothérapeutique: Antagoniste des récepteurs H2, Code ATC : A02BA02.

Mécanisme d’action

Antagoniste sélectif et à action rapide sur les récepteurs histaminiques H2, qui bloque les récepteurs à l'histamine au niveau des cellules pariétales de la muqueuse du ventricule. Ce blocage entraîne une diminution de la sécrétion d'acide gastrique, à la fois en termes de volume et de teneur en acide et en pepsine. La période d'action est relativement longue puisqu'une dose de 150 mg réduit de façon efficace l'acidité gastrique pendant 12 heures.

5.2. Propriétés pharmacocinétiques  Retour en haut de la page

Après une administration par voie orale, la biodisponibilité est de l'ordre de 50 %. Le pic de concentration plasmatique est normalement compris entre 300-550 ng/ml, 2 à 3 heures après administration d'une dose de 150 mg.

Ce médicament est principalement excrété par sécrétion tubulaire avec peu de métabolisme.

La demi-vie d'élimination est de 2 à 3 heures. 60 à 70 % de la dose est excrétée dans les urines et 25 % dans les fèces.

Populations spéciales de patients

Enfants de 3 ans et plus

Les données parcellaires de pharmacocinétique ont montré, après correction de la masse corporelle, qu’il n’y avait pas de différence significative relative à la demi-vie (comprise entre 1,7h et 2,2h pour les enfants de 3 ans et plus) ou à la clairance plasmatique (comprise entre 9 et 22 ml/min/kg pour les enfants de 3 ans et plus) entre les enfants et les adultes sains recevant la ranitidine par voie orale.

Patients de plus de 50 ans

Chez les patients de plus de 50 ans, la demi-vie est prolongée (3 à 4 heures) et la clairance plasmatique est réduite, en partie à cause de l'insuffisance rénale liée à l'âge et en raison de l'augmentation de la biodisponibilité liée à l'âge, qui est indépendant de toute diminution de la fonction rénale.

5.3. Données de sécurité préclinique  Retour en haut de la page

Les données non cliniques issues des études conventionnelles de pharmacologie de sécurité, toxicologie en administration répétée, génotoxicité, cancérogénèse, et des fonctions de reproduction et de développement, n’ont pas révélé de risque particulier pour l’homme.

6. DONNEES PHARMACEUTIQUES  Retour en haut de la page

6.1. Liste des excipients  Retour en haut de la page

Noyau du comprimé : Cellulose microcristalline, stéarate de magnésium.

Pelliculage : hypromellose (E464), dioxyde de titane (E171), polydextrose, triéthylcitrate, macrogol 800.

6.2. Incompatibilités  Retour en haut de la page

Sans objet.

6.3. Durée de conservation  Retour en haut de la page

3 ans pour les flacons en PEHD.

4 ans pour les blisters en aluminium/aluminium.

6.4. Précautions particulières de conservation  Retour en haut de la page

Flacons en PEHD :

À conserver dans l'emballage d’origine, à l'abri de la lumière et à une température ne dépassant pas 25 °C.

Blisters en aluminium/aluminium :

À conserver dans l’emballage d’origine. Conserver les blisters dans la boîte en carton à l’abri de la lumière à une température ne dépassant pas 25 °C.

6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur   Retour en haut de la page

Flacon en PEHD avec bouchon en PP ou boîte de blisters en aluminium/aluminium contenant 10, 12, 14, 20, 28, 30, 50, 56, 60, 90 ou 100 comprimés pelliculés.

Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées.

6.6. Précautions particulières d’élimination et de manipulation  Retour en haut de la page

Pas d’exigences particulières.

7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE  Retour en haut de la page

MYLAN SAS

117 ALLÉE DES PARCS

69800 SAINT-PRIEST

8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE  Retour en haut de la page

· 342 349-7: 20 comprimés en flacon (PE).

· 342 350-5: 50 comprimés en flacon (PE).

· 560 169-0: 100 comprimés en flacon (PE).

· 346 710-6: 14 comprimés sous film thermosoudé (Aluminium/Aluminium).

· 342 351-1: 20 comprimés sous film thermosoudé (Aluminium/Aluminium).

· 346 600-6: 30 comprimés sous film thermosoudé (Aluminium/Aluminium).

· 342 352-8: 50 comprimés sous film thermosoudé (Aluminium/Aluminium).

· 560 170-9: 100 comprimés sous film thermosoudé (Aluminium/Aluminium).

9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DE L’AUTORISATION  Retour en haut de la page

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE  Retour en haut de la page

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

11. DOSIMETRIE  Retour en haut de la page

Sans objet.

12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACEUTIQUES  Retour en haut de la page

Sans objet.

CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE

Liste II.


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