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ADRENALINE AGUETTANT 0,1 mg/mL sans sulfite, solution injectable en seringue pré-remplie - Résumé des caractéristiques du produit

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ANSM - Mis à jour le : 07/06/2021

1. DENOMINATION DU MEDICAMENT  Retour en haut de la page

ADRENALINE AGUETTANT 0,1 mg/mL sans sulfite, solution injectable en seringue pré-remplie

2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE  Retour en haut de la page

Chaque millilitre de solution injectable contient 0,1 mg d’adrénaline (sous forme d’adrénaline tartrate)

Chaque seringue pré-remplie de 10 mL contient 1 mg d’adrénaline (sous forme d’adrénaline tartrate).

Excipient à effet notoire : sodium

Chaque millilitre de solution injectable contient 3,54 mg de sodium, soit l’équivalent de 0,154 mmole.

Chaque seringue pré-remplie de 10 mL contient 35,4 mg de sodium, soit l’équivalent de 1,54 mmole.

Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.

3. FORME PHARMACEUTIQUE  Retour en haut de la page

Solution injectable en seringue pré-remplie

Solution limpide et incolore dans une seringue pré-remplie de 10 mL

pH = 3,0 à 3,4

Osmolarité : 270 à 300 mOsm/l

4. DONNEES CLINIQUES  Retour en haut de la page

4.1. Indications thérapeutiques  Retour en haut de la page

Réanimation cardio-pulmonaire

Anaphylaxie aiguë chez l’adulte

4.2. Posologie et mode d'administration  Retour en haut de la page

L’adrénaline intraveineuse est réservée aux professionnels de santé expérimentés dans l’administration et la titration des vasopresseurs dans le cadre de leur pratique clinique ordinaire.

Réanimation cardio-pulmonaire :

Administration de 10 mL de solution d’adrénaline au 1:10 000 (1 mg), par voie intraveineuse ou intra‑osseuse, répétée toutes les 3 à 5 minutes jusqu’au rétablissement de la circulation spontanée.

La voie endotrachéale ne doit être utilisée qu’en dernier ressort, si aucune autre voie d’administration n’est accessible, à une dose de 20 à 25 mL de solution au 1:10 000 (soit l’équivalent de 2 à 2,5 mg).

En cas d’arrêt cardiaque suivant une intervention de chirurgie cardiaque, l’adrénaline est administrée par voie intraveineuse à des doses de 0,5 mL ou 1 mL de solution au 1:10 000 (50 ou 100 microgrammes), avec beaucoup de prudence et en dosant jusqu’à obtention de l’effet souhaité.

Anaphylaxie aiguë :

Titrer l’adrénaline intraveineuse en administrant des bolus de 0,5 mL de solution au 1:10 000 (0,05 mg) selon la réponse.

Adrenaline AGUETTANT 0.1 mg/mL sans sulfite, solution injectable en seringue pré-remplie, n’est pas recommandé pour une utilisation par voie intramusculaire dans les cas d’anaphylaxie aiguë. Pour une administration intramusculaire, une solution à 1 mg/mL (1:1000) doit être utilisée.

Population pédiatrique :

Ce médicament n’est pas adapté pour délivrer une dose inférieure à 0,5 mL et ne doit par conséquent pas être utilisé par voie intraveineuse ou intra-osseuse chez les nouveaux nés et les enfants de moins de 5 kg.

Arrêt cardiaque chez l’enfant :

Voie intraveineuse ou intra-osseuse (au-dessus de 5 kgs de poids corporel uniquement) : 0,1 mL/kg de solution d’adrénaline au 1:10 000 (10 microgrammes/kg) jusqu’ à une dose unique maximale de 10 mL de solution au 1:10 000 (soit l’équivalent de 1 mg), répétée toutes les 3 à 5 minutes jusqu’au rétablissement de la circulation spontanée.

La voie endotrachéale ne doit être utilisée, quel que soit le poids, qu’en dernier ressort, si aucune autre voie d’administration n’est accessible, à une dose de 1 mL/kg de solution au 1:10 000 (100 microgrammes/kg) jusqu’à un maximum de 25 mL de solution au 1:10 000, soit l’équivalent de 2,5 mg).

4.3. Contre-indications  Retour en haut de la page

Les patients présentant une hypersensibilité connue à un excipient, lorsqu’il existe une autre présentation d’adrénaline ou un autre vasopresseur est disponible.

4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi  Retour en haut de la page

ADRENALINE AGUETTANT 0,1 mg/mL sans sulfite, solution injectable en seringue pré-remplie, est indiqué comme traitement d’urgence. Un suivi médical est nécessaire après l’administration.

Pour une administration intramusculaire, une solution à 1 mg/mL (1:1000) doit être utilisée.

Dans le traitement de l’anaphylaxie et chez d’autres patients ayant une circulation spontanée, l’adrénaline intraveineuse peut provoquer une hypertension menaçant le pronostic vital, une tachycardie, des arythmies et une ischémie myocardique.

L’utilisation d’adrénaline intraveineuse est réservée aux professionnels de santé expérimentés dans l’administration et la titration des vasopresseurs dans le cadre de leur pratique clinique ordinaire. Les patients qui reçoivent de l’adrénaline IV nécessitent au minimum une surveillance continue de l’ECG, de l’oxymétrie de pouls et mesures fréquentes de la tension artérielle.

Le risque de toxicité est augmenté dans les situations suivantes :

· Hyperthyroïdie

· Hypertension

· Maladies cardiaques structurelles, arythmies cardiaques, cardiomyopathie obstructive sévère

· Insuffisance coronarienne

· Phéochromocytome

· Hypokaliémie

· Hypercalcémie

· Insuffisance rénale sévère

· Maladie vasculaire cérébrale, lésions cérébrales organiques ou artériosclérose

· Patients prenant des inhibiteurs de la monoamine oxydase (IMAO) (voir rubrique 4.5)

· Patients prenant des médicaments concomitants qui produisent des effets additifs ou sensibilisent le myocarde aux actions des agents sympathomimétiques (voir rubrique 4.5)

L’utilisation prolongée d’adrénaline peut entraîner une acidose métabolique sévère en raison des concentrations sanguines élevées d’acide lactique.

L’adrénaline peut augmenter la pression intraoculaire chez les patients atteints de glaucome à angle fermé.

L’adrénaline doit être utilisée avec prudence chez les patients atteints d’hyperplasie prostatique avec rétention urinaire.

L’adrénaline pouvant causer ou aggraver l’hyperglycémie, la glycémie doit être surveillée, en particulier chez les patients diabétiques.

L’adrénaline doit être utilisée avec prudence chez les patients âgés.

L’adrénaline ne doit pas être utilisée au cours du deuxième stade du travail (voir rubrique 4.6).

Ce médicament contient 35,4 mg de sodium par seringue pré-remplie, ce qui équivaut à 1,77% de l’apport alimentaire quotidien maximal recommandé par l’OMS de 2 g de sodium par adulte.

4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions  Retour en haut de la page

Anesthésiques halogénés volatils : arythmie ventriculaire grave (augmentation de l’excitabilité cardiaque).

Antidépresseurs imipraminiques : hypertension paroxystique avec possibilité d’arythmie (inhibition de l’entrée des sympathomimétiques dans les fibres sympathiques).

Antidépresseurs sérotoninergiques-adrénergiques : hypertension paroxystique avec possibilité d’arythmie (inhibition de l’entrée des sympathomimétiques dans les fibres sympathiques).

Agents sympathomimétiques : l’administration concomitante d’autres sympathomimétiques pourrait augmenter la toxicité en raison des effets additifs possibles.

IMAO non sélectifs : augmentation de l’action vasopressive de l’adrénaline, habituellement modérée.

IMAO-A sélectifs, linézolide (par extrapolation à partir des IMAO non sélectifs) : Risque d’aggravation de l’action vasopressive.

Alpha-bloquants adrénergiques : Les alphabloquants antagonisent les effets vasopressifs et hypertenseurs de l’adrénaline, ce qui augmente le risque d’hypotension et de tachycardie.

Bêta-bloquants adrénergiques : Une hypertension artérielle sévère et une bradycardie réflexe peuvent survenir avec des agents bêtabloquants non-cardiosélectifs. Les bêtabloquants, en particulier les agents non-cardiosélectifs, antagonisent également les effets cardiaques et bronchodilatateurs de l’adrénaline.

Insuline ou hypoglycémiants oraux : L’hyperglycémie provoquée par l’adrénaline peut conduire à une perte de la maîtrise de la glycémie chez les patients diabétiques traités par insuline ou par hypoglycémiants oraux.

4.6. Fertilité, grossesse et allaitement  Retour en haut de la page

Grossesse

Un effet tératogène a été démontré lors des expériences chez l’animal.

L’adrénaline ne doit être utilisée pendant la grossesse que si les avantages potentiels l’emportent sur les risques éventuels pour le fœtus. En cas d’administration pendant la grossesse, l’adrénaline peut provoquer une anoxie chez le fœtus.

L’adrénaline inhibe habituellement les contractions spontanées (ou celles induites par l’ocytocine) de l’utérus chez la femme enceinte et peut retarder le deuxième stade du travail. À une dose suffisante pour réduire les contractions utérines, l’adrénaline peut provoquer une période prolongée d’atonie utérine avec hémorragie. Pour cette raison, l’adrénaline parentérale ne doit pas être utilisée au cours du deuxième stade du travail.

Allaitement

L’adrénaline passe dans le lait maternel. L’allaitement doit être évité chez les mères qui reçoivent de l’adrénaline.

Fertilité

On ne dispose d’aucune information concernant les répercussions de l’adrénaline sur la fertilité.

4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines  Retour en haut de la page

Sans objet dans les conditions normales d’utilisation.

4.8. Effets indésirables  Retour en haut de la page

Troubles du métabolisme et de la nutrition :

Fréquence indéterminée : hyperglycémie, hypokaliémie, acidose métabolique.

Affections psychiatriques :

Fréquence indéterminée : anxiété, nervosité, peur, hallucinations.

Affections du système nerveux :

Fréquence indéterminée : maux de tête, tremblements, vertiges, syncope.

Affections oculaires :

Fréquence indéterminée : mydriase.

Affections cardiaques :

Fréquence indéterminée : palpitations, tachycardie. Takotsubo cardiomyopathie (cardiomyopathie de stress) peut survenir. À haute dose ou chez les patients sensibles à l’adrénaline : arythmie cardiaque (tachycardie sinusale, fibrillation ventriculaire/arrêt cardiaque), crises angineuses et risque d’infarctus aigu du myocarde.

Affections vasculaires :

Fréquence indéterminée : pâleur, refroidissement des extrémités. À haute dose ou chez les patients sensibles à l’adrénaline : hypertension (avec risque d’hémorragie cérébrale), vasoconstriction (par exemple cutanée, au niveau des extrémités ou des reins).

Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales :

Fréquence indéterminée : dyspnée.

Affections gastro-intestinales :

Fréquence indéterminée : nausées, vomissements.

Troubles généraux et anomalies au site d’administration :

Fréquence indéterminée : transpiration, faiblesse.

Des injections locales répétées peuvent produire une nécrose au niveau des sites d’injection résultant d’une constriction vasculaire.

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.signalement-sante.gouv.fr.

4.9. Surdosage  Retour en haut de la page

Un surdosage ou l’administration intraveineuse accidentelle d’adrénaline pourrait entraîner une hypertension sévère. Des accidents cérébraux, cardiaques ou vasculaires potentiellement mortels pourraient ainsi se produire (hémorragie cérébrale, troubles du rythme tels que bradycardie transitoire suivie d’une tachycardie susceptible de conduire à une arythmie, une nécrose myocardique, un œdème pulmonaire aigu ou une insuffisance rénale).

Les effets de l’adrénaline peuvent être antagonisés, en fonction de l’état du patient, par l’administration de vasodilatateurs à action rapide, de médicaments alpha-bloquants adrénergiques à action rapide (comme la phentolamine) ou de médicaments bêta-bloquants adrénergiques (comme le propranolol). Cependant, la demi-vie de l'adrénaline étant très brève, il n'est pas toujours nécessaire d'avoir recours à ces médicaments. En cas de réaction hypotensive prolongée, l’administration d’un autre agent vasopresseur comme la noradrénaline pourrait s’avérer nécessaire.

5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES  Retour en haut de la page

5.1. Propriétés pharmacodynamiques  Retour en haut de la page

Classe pharmacothérapeutique : agents adrénergiques et dopaminergiques, adrénaline, code ATC : C01 CA 24.

L’adrénaline est un agent sympathomimétique à action directe, qui agit sur les deux types, α et β, de récepteurs adrénergiques. Elle a des effets plus prononcés sur les récepteurs adrénergiques β que sur les récepteurs α, même si les effets sur les récepteurs α prévalent aux doses élevées.

Les effets de l’adrénaline comprennent une augmentation de la fréquence et de la force des contractions cardiaques, une vasoconstriction cutanée et une bronchodilatation. Aux doses plus élevées, la stimulation des récepteurs α périphériques conduit à une augmentation des résistances périphériques et de la pression artérielle.

5.2. Propriétés pharmacocinétiques  Retour en haut de la page

Les concentrations pharmacologiquement actives en adrénaline ne sont pas atteintes après administration par voie orale car elle est rapidement oxydée et conjuguée dans la muqueuse gastro-intestinale et le foie. L’absorption à partir du tissu sous-cutané est lente en raison de la vasoconstriction locale ; les effets se produisent dans les 5 minutes. L’absorption est plus rapide après injection intramusculaire qu’après injection sous-cutanée.

L’adrénaline est rapidement distribuée dans le cœur, la rate, plusieurs tissus glandulaires et le système nerveux adrénergiques. Elle traverse facilement le placenta et est liée à 50 % environ aux protéines plasmatiques.

L’adrénaline est rapidement inactivée dans l’organisme, principalement dans le foie par les enzymes catéchol-O-méthyltransférase (COMT) et monoamine oxydase (MAO). La majeure partie d’une dose d’adrénaline est excrétée sous forme de métabolites dans les urines.

Après administration intraveineuse, la demi-vie plasmatique est d’environ 2 à 3 minutes.

5.3. Données de sécurité préclinique  Retour en haut de la page

Il n’y a pas de données précliniques pertinentes pour le prescripteur, qui viennent s’ajouter à celles déjà incluses dans d’autres rubriques du RCP.

6. DONNEES PHARMACEUTIQUES  Retour en haut de la page

6.1. Liste des excipients  Retour en haut de la page

Chlorure de sodium

Acide chlorhydrique (pour l’ajustement du pH)

Hydroxyde de sodium (pour l’ajustement du pH)

Eau pour préparations injectables

6.2. Incompatibilités  Retour en haut de la page

En l’absence d’études de compatibilité, ce médicament ne doit pas être mélangé avec d’autres médicaments.

6.3. Durée de conservation  Retour en haut de la page

Avant ouverture : 2 ans.

6.4. Précautions particulières de conservation  Retour en haut de la page

À conserver à une température ne dépassant pas 25°C.

Ne pas congeler.

À conserver dans le sachet en aluminium à l’abri de la lumière et de l’oxygène.

6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur   Retour en haut de la page

10 mL de solution en seringue pré-remplie en polypropylène, sans aiguille, conditionnée individuellement dans un blister transparent et suremballée dans un sachet en aluminium contenant un sachet absorbant l’oxygène ; boîtes de 1 ou 10.

Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées.

6.6. Précautions particulières d’élimination et de manipulation  Retour en haut de la page

N’ouvrir le sachet en aluminium et la plaquette thermoformée de la seringue qu’immédiatement avant l’administration.

Après l’ouverture du sachet, le produit doit être utilisé immédiatement.

La surface externe de la seringue et son contenu sont stériles si le blister est non-ouvert et en bon état.

Respecter scrupuleusement le protocole ci-dessous

La seringue pré-remplie est à utiliser chez un seul patient. Jetez la seringue après usage. Ne pas réutiliser.

Inspectez visuellement le produit avant l’administration pour déceler la présence de particules ou d’une coloration anormale. Seule une solution limpide et incolore dépourvue de particules ou de précipités doit être utilisée.

Ne pas utiliser le produit si le sachet ou le blister ont été ouverts ou si la bande d’inviolabilité sur la seringue (film plastique à la base du capuchon) est rompue.

1) Déchirez le sachet en aluminium à la main uniquement le long des encoches préformées.

Ne pas utiliser d’instruments tranchants pour ouvrir le sachet.

2) Retirez la seringue pré-remplie du blister stérile.

3) Enfoncez le piston pour libérer le bouchon. Le procédé de stérilisation peut avoir fait adhérer le bouchon au corps de la seringue.

4) Enlevez le capuchon en le dévissant pour rompre la bande d’inviolabilité. Ne pas toucher le raccord Luer nu afin d’éviter toute contamination.

5) Vérifiez que la bande d’inviolabilité à la pointe de la seringue a été complètement retirée. Si ce n’est pas le cas, remettez le capuchon en place et dévissez à nouveau.

6) Chassez l’air en enfonçant doucement le piston.

7) Connectez la seringue au dispositif d’accès vasculaire ou à l’aiguille.

Enfoncez le piston pour injecter le volume requis.

Tout médicament non utilisé ou déchet doit être éliminé conformément à la réglementation en vigueur.

7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE  Retour en haut de la page

LABORATOIRE AGUETTANT

1, RUE ALEXANDER FLEMING

69007 LYON

8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE  Retour en haut de la page

· 34009 300 466 1 6 : 10 mL de solution en seringue préremplie (polypropylène) ; boite de 1.

· 34009 300 549 7 0 : 10 mL de solution en seringue préremplie (polypropylène) ; boite de 10.

9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DE L’AUTORISATION  Retour en haut de la page

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE  Retour en haut de la page

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

11. DOSIMETRIE  Retour en haut de la page

Sans objet.

12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACEUTIQUES  Retour en haut de la page

Sans objet.

CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE

Liste I


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