ANSM - Mis à jour le : 01/12/2023
FLECAINIDE BIOGARAN 100 mg, comprimé sécable
2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE
Pour un comprimé sécable.
Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.
4.1. Indications thérapeutiques
· prévention des récidives des tachycardies supraventriculaires documentées lorsque la nécessité d’un traitement est établie et en l’absence d’altération de la fonction ventriculaire gauche ;
· prévention des chocs cardiaques électriques chez certains patients porteurs de défibrillateurs implantables.
4.2. Posologie et mode d'administration
Réservé à l’adulte
En cas de tachycardies supraventriculaires documentées :
La posologie initiale usuelle est de 50 mg deux fois par jour (100 mg par 24 heures).
Les augmentations éventuelles de posologie ne seront envisagées qu’après un délai de 4 à 5 jours.
La posologie moyenne est de 200 mg par jour.
La posologie maximale est de 300 mg par jour.
En cas de tachycardies ventriculaires documentées :
La posologie usuelle est de 200 mg par jour.
Les augmentations éventuelles de posologie ne seront envisagées qu’après un délai de 4 à 5 jours.
La posologie maximale est de 300 mg par jour.
Chez les patients fragilisés :
· sujet âgé ;
· antécédents ou symptômes faisant craindre le développement d’une insuffisance cardiaque ;
· insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine inférieure ou égale à 20 ml/min/m2).
La dose initiale ne doit pas dépasser 100 mg par 24 heures : elle varie de 50 à 100 mg/24 heures en fonction de l’état du patient. La posologie peut être augmentée ou diminuée par paliers de 50 mg par jour en tenant compte qu’un délai de 4 à 5 jours minimum est nécessaire au rétablissement d’un nouvel état d’équilibre du taux plasmatique après chaque modification. Une surveillance clinique et électrocardiographique est nécessaire.
FLECAINIDE BIOGARAN n’est pas recommandée chez l’enfant de moins de 12 ans, en raison du manque de preuve concernant son utilisation dans cette population.
Ce médicament NE DOIT PAS ETRE UTILISE dans les cas suivants :
· hypersensibilité à la substance active ou à l’un des excipients mentionnés à la rubrique 6.1 ;
· infarctus du myocarde (aigu ou ancien) sauf en cas de tachycardie ventriculaire menaçant le pronostic vital ;
· insuffisance cardiaque, quel que soit le trouble rythmique ;
· bloc de branche gauche complet, bloc bifasciculaire, bloc auriculo‑ventriculaire du 2ème et du 3ème degré, dysfonctionnement sinusal et maladie de l’oreillette, en l’absence d’appareillage ;
· choc cardiogénique ;
· syndrome de Brugada connu.
4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi
L’acétate de flécaïnide a été testé dans un essai randomisé multicentrique en double aveugle (essai CAST) dans les troubles du rythme ventriculaire asymptomatiques et ne menaçant pas le pronostic vital chez des sujets ayant présenté un infarctus du myocarde de plus de 6 jours et de moins de 2 ans. L’incidence de la mortalité et des arrêts cardiaques non mortels sous flécaïnide a été supérieure à celle observée dans le groupe sous contrôle placebo. Comme pour les autres antiarythmiques de classe I, il n’existe pas d’essai contrôlé mettant en évidence un effet bénéfique de l’acétate de flécaïnide en termes de survie ou de mort subite. |
Le traitement par flécaïnide doit être initié par un médecin ayant la compétence de la prise en charge des patients atteints de cardiopathies.
Toute instauration ou changement dans la prescription nécessite en effet une surveillance clinique et électrocardiographique permettant d’évaluer l’effet du traitement.
En raison des risques liés aux antiarythmiques de classe I, particulièrement au risque arythmogène, le strict respect des conditions d’utilisation de flécaïnide est nécessaire, notamment, les indications, la posologie, les contre‑indications, les mises en gardes et les précautions d’emploi.
Lors du changement d’un médicament contenant du flécaïnide à un autre, il est recommandé pour les patients à risque d’effectuer une surveillance étroite.
Précautions particulières d'emploi
Effets pro‑arythmiques
L’acétate de flécaïnide, comme d’autres agents anti‑arythmiques, peut provoquer la survenue d’une forme plus sévère d’arythmie, augmenter la fréquence d’une arythmie précédemment diagnostiquée ou aggraver la sévérité des symptômes (voir rubrique 4.8). Une variation spontanée du trouble du rythme propre au patient peut se révéler difficile à distinguer d’une aggravation secondaire à l’administration du médicament.
L’apparition d’extrasystoles ventriculaires plus nombreuses ou polymorphes doit faire interrompre le traitement.
Antécédents d’insuffisance cardiaque
En raison de son action inotrope négative, l’acétate de flécaïnide sera prescrit sous stricte surveillance de la fonction cardiaque chez les malades ayant des antécédents ou des symptômes faisant craindre le développement d’une insuffisance cardiaque.
Modifications électrocardiographiques
· L’acétate de flécaïnide doit être administré avec précaution chez les patients ayant des anomalies de la conduction pré‑existantes ;
· la survenue sous traitement d’un bloc auriculo‑ventriculaire, d’un bloc de branche complet permanent ou d’un bloc sino‑auriculaire doit faire arrêter l’usage de l’acétate de flécaïnide ;
· un élargissement du complexe QRS supérieur à 25 % des valeurs de base amènera à réduire la posologie.
En cas de modification de la posologie de l’acétate de flécaïnide ou des traitements associés pouvant affecter la conduction cardiaque, les patients, notamment ceux présentant des anomalies de la conduction, seront étroitement surveillés par électrocardiogramme.
Le flécaïnide prolonge l’intervalle QT et élargit le complexe QRS de 12 à 20 %. Il n’y a pas d’effet notable sur l’intervalle JT.
Un syndrome de Brugada peut être révélé suite au traitement par flécaïnide. Si des modifications de l’ECG évoquant un syndrome de Brugada apparaissent pendant le traitement par le flécaïnide, il faudra considérer un arrêt éventuel du traitement.
Perturbations électrolytiques
L’hypokaliémie, l’hyperkaliémie ou encore l’hypomagnésémie peuvent favoriser les effets proarythmiques des anti‑arythmiques de classe I et doivent donc être corrigées avant l’administration d’acétate de flécaïnide.
Utilisation dans l’indication flutter auriculaire
Du fait du risque de transformation en flutter 1/1, il est recommandé d’associer à l’acétate de flécaïnide un ralentisseur nodal.
Insuffisance rénale, sujet âgé
En cas d’insuffisance rénale et/ou chez le sujet âgé, la vitesse d’élimination de l’acétate de flécaïnide peut être ralentie. Il en résulte un risque d’accumulation plasmatique et tissulaire du médicament qui peut être responsable d’effets indésirables. L’existence de ce risque justifie une adaptation de posologie dans l’insuffisance rénale sévère (voir rubrique 4.2) et un contrôle du traitement est recommandé.
Enfants de moins de 12 ans
Le flécaïnide n’est pas recommandé chez l’enfant de moins de 12 ans, en raison du manque de preuve concernant son utilisation dans cette population.
Manifestations pulmonaires
Très rarement des pneumopathies interstitielles peuvent survenir lors d’un traitement chronique par le flécaïnide dont le mécanisme est vraisemblablement immuno‑allergique. Devant des symptômes évocateurs de pneumopathie interstitielle (apparition d’une dyspnée ou d’une toux sèche isolée ou associée à une altération de l’état général), le diagnostic devra être recherché par un contrôle radiologique. Si le diagnostic est confirmé, l’arrêt du traitement devra être envisagé et l’intérêt d’une corticothérapie brève pris en considération (voir rubrique 4.8).
Les produits laitiers (lait, les préparations pour nourrissons et peut‑être les yaourts) peuvent réduire l’absorption du flécaïnide chez les enfants et les nourrissons. Le flécaïnide n’est pas approuvé pour une utilisation chez les enfants de moins de 12 ans, cependant, la toxicité du flécaïnide a été rapportée pendant le traitement par flécaïnide chez des enfants ayant réduit leur consommation de lait, et chez les nourrissons étant passés d’une préparation lactée à une nourriture à base de dextrose.
4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions
De nombreux antiarythmiques sont dépresseurs de l’automatisme, de la conduction et de la contractilité cardiaques. L’association d’antiarythmiques de classes différentes peut apporter un effet thérapeutique bénéfique, mais s’avère le plus souvent très délicate, nécessitant une surveillance clinique étroite et un contrôle ECG. L’association d’antiarythmiques de même classe est déconseillée sauf cas exceptionnels en raison du risque accru d’effets indésirables cardiaques. L’association à des médicaments ayant des propriétés inotropes négatives bradycardisantes et/ou ralentissant la conduction auriculo‑ventriculaire est délicate et nécessite une surveillance clinique et un contrôle de l’ECG.
Associations déconseillées
+ Anti‑arythmiques de classe I (quinidine, hydroquinidine, disopyramide, mexilétine, lidocaïne, propafénone, cibenzoline).
L’acétate de flécaïnide ne doit pas être associé avec les autres anti‑arythmiques de la classe I, sauf cas exceptionnels, en raison du risque accru d’effets cardiaques indésirables.
4.6. Fertilité, grossesse et allaitement
Grossesse
Les données animales sont contradictoires et ne permettent pas de conclure sur le potentiel embryotoxique et tératogène (voir section 5.3). En clinique, il n’existe pas actuellement de données suffisamment pertinentes pour évaluer un éventuel effet malformatif ou fœtotoxique de l’acétate de flécaïnide lorsqu’il est administré pendant la grossesse.
En conséquence, l’utilisation de l’acétate de flécaïnide est déconseillée pendant la grossesse.
Le flécaïnide est excrété dans le lait maternel. Les concentrations plasmatiques obtenues chez un nourrisson allaité sont 5 à 10 fois inférieures aux concentrations thérapeutiques. Bien que le risque d’effets indésirables soit très faible, le flécaïnide ne devra être utilisé pendant l’allaitement que si le bénéfice pour la mère l’emporte sur les risques encourus par l’enfant.
4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines
Il est également susceptible d’entraîner des effets indésirables, à type de vertiges, de tremblements et de troubles de la vision, exerçant une influence mineure sur l’aptitude à conduire des véhicules ou à utiliser des machines.
Les patients doivent donc être informés de ces risques.
De plus, il est rappelé que les troubles du rythme pouvant entraîner une défaillance du système cardio‑vasculaire imposent de prendre un avis spécialisé sur l’aptitude à conduire des véhicules.
· très fréquent (≥ 1/10) ;
· fréquent (≥ 1/100, < 1/10) ;
· peu fréquent (≥ 1/1 000, < 1/100) ;
· rare (≥ 1/10 000, < 1/1 000) ;
· très rare (< 1/10 000) ;
· fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
Affections hématologiques et du système lymphatique :
Peu fréquent : diminution du nombre de globules rouges, diminution du nombre de globules blancs et diminution du nombre de plaquettes.
Affections du système immunitaire :
Très rare : augmentation des anticorps antinucléaires avec ou sans inflammation systémique.
Affections psychiatriques :
Rare : hallucination, dépression, confusion, anxiété, amnésie, insomnie.
Affections du système nerveux :
Très fréquent : étourdissements, généralement transitoires.
Rare : fourmillements, troubles de la coordination, diminution de la sensibilité, hyperhidrose, syncope, tremblements, bouffées vasomotrices, somnolence, céphalée, neuropathie périphérique, convulsion, dyskinésie.
Affections oculaires :
Très fréquent : troubles visuels, comme diplopie et vision trouble.
Très rare : dépôts cornéens.
Affections de l’oreille et du labyrinthe :
Rare : bourdonnements, vertiges.
Affections cardiaques :
Fréquent : effets pro‑arythmiques (principalement chez des patients présentant des anomalies cardiaques structurelles).
Fréquence indéterminée : une augmentation dose‑réponse des intervalles PR et QRS peut être observée (voir rubrique 4.4), modifications électrographiques (voir rubrique 4.4).
Peu fréquent : les patients présentant un flutter auriculaire peuvent développer un flutter 1/1 avec augmentation du rythme cardiaque.
Fréquence indéterminée : bloc auriculo‑ventriculaire du second degré et du troisième degré, arrêt cardiaque, bradycardie, insuffisance cardiaque/insuffisance cardiaque congestive, douleurs thoraciques, hypotension, infarctus du myocarde, palpitations, arrêt sinusal, et tachycardie (auriculaire et ventriculaire) ou fibrillation ventriculaire. Révélation d’un syndrome de Brugada pré‑existant.
Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales :
Fréquent : dyspnée.
Rare : pneumopathie.
Fréquence indéterminée : fibrose pulmonaire, pneumopathie interstitielle.
Affections gastro‑intestinales :
Peu fréquent : nausées, vomissements, constipation, douleur abdominale, diminution de l’appétit, diarrhées, dyspepsie, flatulence.
Affections hépatobiliaires :
Rare : augmentation des enzymes hépatiques avec ou sans jaunisse.
Fréquence indéterminée : anomalies fonctionnelles hépatiques.
Affections de la peau et du tissu sous‑cutané :
Peu fréquent : dermatite allergique, dont éruption cutanée, alopécie.
Rare : urticaire sévère.
Très rare : réaction de photosensibilité.
Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif :
Fréquence indéterminée : arthralgie et myalgie.
Troubles généraux et anomalies au site d’administration :
Fréquent : asthénie fatigue, fièvre, œdème.
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : https://signalement.social-sante.gouv.fr/.
Le traitement est essentiellement symptomatique et peut consister à éliminer la fraction de médicament non‑absorbée du tractus gastro‑intestinal. L’administration par voie intraveineuse d’une solution de bicarbonate de sodium à 8,4 % diminue l’activité du flécainide. D’autres mesures peuvent être l’introduction d’agents inotropes ou de stimulants cardiaques comme la dopamine, dobutamine ou isoprotérénol ou bien une ventilation mécanique et une assistance circulatoire (par exemple par un ballon de contre‑pulsion aortique). La pose d’une sonde d’entrainement cardiaque temporaire peut être envisagée en cas de trouble de la conduction. Au regard de la demi‑vie plasmatique d’environ 20 h, ces traitements doivent être maintenus pendant une période prolongée. Une diurèse forcée avec acidification des urines favorise théoriquement l’élimination du médicament.
La circulation extracorporelle peut être considérée au cas par cas.
5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES
5.1. Propriétés pharmacodynamiques
Classe pharmacothérapeutique : ANTI‑ARYTHMIQUE, CLASSE IC, code ATC : C01BC04.
Mécanisme d’action
Les propriétés anti‑arythmiques de l’acétate de flécaïnide sont similaires à celles des anti‑arythmiques de classe I de la classification de Vaughan‑Williams, sous classe IC.
L’acétate de flécaïnide possède un effet inotrope négatif.
Chez l’homme, l’acétate de flécaïnide :
· allonge les temps de conduction intra‑auriculaire, nodal et intra‑ventriculaire ;
· augmente légèrement les périodes réfractaires effectives auriculaires et ventriculaires ;
· augmente la période réfractaire effective du nœud auriculo‑ventriculaire ;
· augmente la période réfractaire des voies accessoires antérogrades et rétrogrades ;
· n’entraîne pas de modifications significatives de la fréquence cardiaque sauf chez les patients présentant un dysfonctionnement sinusal.
5.2. Propriétés pharmacocinétiques
Le taux sanguin maximal est atteint en 2,4 heures.
Pour une dose de 200 mg par voie orale, le pic plasmatique moyen est de 341 ng/ml. L’acétate de flécaïnide diffuse largement et rapidement dans les tissus. Le volume apparent de distribution est en moyenne de 8,3 l/kg.
Chez l’homme sain, la demi‑vie de l’acétate de flécaïnide par voie orale est de l’ordre de 14 heures, ce qui implique une durée d’action prolongée et la possibilité de recourir à seulement 2 prises orales par 24 heures.
Après administration par voie orale, il a été constaté une bonne proportionnalité entre les pics sanguins et les doses.
Le taux de liaison protéique est bas (environ 40 %).
L’élimination de l’acétate de flécaïnide est essentiellement urinaire : le quart de la dose administrée est éliminé au bout de 24 heures sous forme inchangée.
L’hémodialyse ne paraît pas être un moyen efficace pour épurer l’acétate de flécaïnide.
L’administration prolongée n’a pas mis en évidence de phénomène d’induction enzymatique ni d’accumulation.
5.3. Données de sécurité préclinique
Aucun effet sur la fertilité n’a été observé chez l’animal.
Chez des lapines gravides blanches de Nouvelle‑Zélande l’administration orale de flécaïnide à fortes doses a entraîné des effets embryotoxiques et tératogènes. Cependant aucun effet embryotoxique et tératogène n’a été observé après administration orale chez des lapines gravides Dutch‑Belted. Aucun effet n’a non plus été observé chez les souris (voie orale et intraveineuse) et les rats (voie orale).
6.4. Précautions particulières de conservation
Ce médicament ne nécessite pas de précautions particulières de conservation.
6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur
20, 28, 30, 50, 56, 60, 84, 90, 100, 112, 120, 168 ou 180 comprimés sous plaquettes (Aluminium/PVC/PVDC).
20, 28, 30, 50, 56, 60, 84, 90, 100, 112, 120, 168 ou 180 comprimés en pilulier (Polypropylène) avec bouchon (Polyéthylène).
Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées.
6.6. Précautions particulières d’élimination et de manipulation
Pas d’exigences particulières.
7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE
15, BOULEVARD CHARLES DE GAULLE
92700 COLOMBES
8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE
· 34009 382 413 8 9 : 20 comprimés sous plaquettes Aluminium/PVC/PVDC).
· 34009 382 414 4 0 : 28 comprimés sous plaquettes (Aluminium/PVC/PVDC).
· 34009 382 415 0 1 : 30 comprimés sous plaquettes (Aluminium/PVC/PVDC).
· 34009 382 416 7 9 : 50 comprimés sous plaquettes (Aluminium/PVC/PVDC).
· 34009 382 417 3 0 : 56 comprimés sous plaquettes (Aluminium/PVC/PVDC).
· 34009 382 419 6 9 : 60 comprimés sous plaquettes (Aluminium/PVC/PVDC).
· 34009 571 585 0 7 : 84 comprimés sous plaquettes (Aluminium/PVC/PVDC).
· 34009 571 586 7 5 : 90 comprimés sous plaquettes (Aluminium/PVC/PVDC).
· 34009 571 587 3 6 : 100 comprimés sous plaquettes (Aluminium/PVC/PVDC).
· 34009 571 589 6 5 : 112 comprimés sous plaquettes (Aluminium/PVC/PVDC).
· 34009 571 590 4 7 : 120 comprimés sous plaquettes (Aluminium/PVC/PVDC).
· 34009 571 591 0 8 : 168 comprimés sous plaquettes (Aluminium/PVC/PVDC).
· 34009 571 592 7 6 : 180 comprimés sous plaquettes (Aluminium/PVC/PVDC).
· 34009 382 421 0 2 : 20 comprimés en pilulier (Polypropylène) avec bouchon (Polyéthylène).
· 34009 382 422 7 0 : 28 comprimés en pilulier (Polypropylène) avec bouchon (Polyéthylène).
· 34009 382 423 3 1 : 30 comprimés en pilulier (Polypropylène) avec bouchon (Polyéthylène).
· 34009 382 425 6 0 : 50 comprimés en pilulier (Polypropylène) avec bouchon (Polyéthylène).
· 34009 382 426 2 1 : 56 comprimés en pilulier (Polypropylène) avec bouchon (Polyéthylène).
· 34009 382 427 9 9 : 60 comprimés en pilulier (Polypropylène) avec bouchon (Polyéthylène).
· 34009 571 593 3 7 : 84 comprimés en pilulier (Polypropylène) avec bouchon (Polyéthylène).
· 34009 571 595 6 6 : 90 comprimés en pilulier (Polypropylène) avec bouchon (Polyéthylène).
· 34009 571 596 2 7 : 100 comprimés en pilulier (Polypropylène) avec bouchon (Polyéthylène).
· 34009 571 597 9 5 : 112 comprimés en pilulier (Polypropylène) avec bouchon (Polyéthylène).
· 34009 571 598 5 6 : 120 comprimés en pilulier (Polypropylène) avec bouchon (Polyéthylène).
· 34009 571 599 1 7 : 168 comprimés en pilulier (Polypropylène) avec bouchon (Polyéthylène).
· 34009 571 601 6 6 : 180 comprimés en pilulier (Polypropylène) avec bouchon (Polyéthylène).
9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DE L’AUTORISATION
[à compléter ultérieurement par le titulaire].
10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE
[à compléter ultérieurement par le titulaire].
12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACEUTIQUES
Liste I.
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