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GANIRELIX EG 0,25 mg/0,5 mL, solution injectable en seringue préremplie - Résumé des caractéristiques du produit

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ANSM - Mis à jour le : 28/11/2023

1. DENOMINATION DU MEDICAMENT  Retour en haut de la page

GANIRELIX EG 0,25 mg/0,5 mL, solution injectable en seringue préremplie

2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE  Retour en haut de la page

Chaque seringue pré-remplie contient de l’acétate de ganirélix équivalent à 0,25 mg de ganirélix dans 0,5 mL de solution aqueuse.

La substance active, le ganirélix (sous forme d’acétate) (DCI), est un décapeptide synthétique doté d’une haute activité antagoniste de l’hormone naturelle de libération des gonadotrophines (GnRH). Les acides aminés en position 1, 2, 3, 6, 8 et 10 du décapeptide naturel GnRH ont été substitués, pour donner le [N-Ac-D-Nal (2)1, D-pClPhe2, D-Pal(3)3, D-hArg(Et2)6, L-hArg(Et2)8, D-Ala10]-GnRH d’un poids moléculaire de 1570,3.

Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.

3. FORME PHARMACEUTIQUE  Retour en haut de la page

Solution injectable en seringue préremplie.

Solution aqueuse limpide et incolore avec un pH compris entre 4,5 et 5,5.

4. DONNEES CLINIQUES  Retour en haut de la page

4.1. Indications thérapeutiques  Retour en haut de la page

Le ganirélix est indiqué dans la prévention des pics prématurés d’hormone lutéinisante (LH) chez les femmes en cours d’hyperstimulation ovarienne contrôlée (HOC) dans le cadre des techniques d’assistance médicale à la procréation (AMP).

Dans les études cliniques, le ganirélix a été utilisé en association avec une hormone folliculo-stimulante humaine recombinante (FSH) ou la corifollitropine alfa, un stimulant folliculaire à action prolongée.

4.2. Posologie et mode d'administration  Retour en haut de la page

Le ganirélix ne doit être prescrit que par un spécialiste ayant de l’expérience dans le traitement de l’infertilité.

Posologie

Le ganirélix est utilisé pour prévenir les pics prématurés de LH chez les femmes en cours d’HOC. L’hyperstimulation ovarienne contrôlée par la FSH ou la corifollitropine alfa peut commencer au 2e ou au 3e jour des règles. Le ganirélix (0,25 mg) doit être injecté par voie sous-cutanée une fois par jour, en commençant le 5e ou le 6e jour de l’administration de FSH ou le 5e ou le 6e jour suivant l’administration de la corifollitropine alfa. Le jour de l’instauration du traitement par ganirélix est déterminé en fonction de la réponse ovarienne, c’est-à-dire du nombre et de la taille des follicules en voie de maturation et/ou du taux d’estradiol circulant. Le début du traitement par ganirélix peut être retardé en l’absence de croissance folliculaire, bien que l’expérience clinique soit basée sur un début de traitement par ganirélix au 5e ou au 6e jour de la stimulation.

Le ganirélix et la FSH doivent être administrés approximativement au même moment. Cependant, les préparations ne doivent pas être mélangées et des sites d’injection différents doivent être utilisés.

Les ajustements de dose de FSH doivent être basés sur le nombre et la taille des follicules en voie de maturation, plutôt que sur le taux d’estradiol circulant (voir rubrique 5.1).

Le traitement quotidien par ganirélix doit être poursuivi jusqu’au jour d’obtention d’un nombre suffisant de follicules de taille adéquate. La maturation finale des follicules peut être induite par l’administration de gonadotrophine chorionique humaine (hCG).

Moment de la dernière injection

En raison de la demi-vie du ganirélix, le délai entre deux injections de ganirélix, ainsi que celui entre la dernière injection de ganirélix et l’injection d’hCG ne doivent pas dépasser 30 heures. Dans le cas contraire, un pic prématuré de LH risque de survenir. Par conséquent, lorsque le ganirélix est injecté au cours de la matinée, le traitement par ganirélix doit être poursuivi pendant toute la période du traitement par gonadotrophine, y compris le jour de déclenchement de l’ovulation. Lorsque le ganirélix est injecté au cours de l’après-midi, la dernière injection de ganirélix doit être effectuée dans l’après-midi, la veille du jour de déclenchement de l’ovulation.

Le ganirélix s’est avéré sûr et efficace chez les femmes ayant eu plusieurs cycles de traitement.

La nécessité d’un soutien de la phase lutéale pendant les cycles sous ganirélix n’a pas été étudiée. Dans les études cliniques, le soutien de la phase lutéale a été réalisé selon les pratiques habituelles du centre d’étude ou selon le protocole clinique.

Populations particulières

Insuffisance rénale

Les sujets présentant une insuffisance rénale n’étant pas inclus dans les études cliniques, il n’existe pas de données sur l’utilisation du ganirélix chez ces sujets. Par conséquent, l’utilisation du ganirélix est contre indiquée chez les patientes présentant une insuffisance rénale modérée ou sévère (voir rubrique 4.3).

Insuffisance hépatique

Les sujets présentant une insuffisance hépatique n’étant pas inclus dans les études cliniques, il n’existe pas de données sur l’utilisation du ganirélix chez ces sujets. Par conséquent, l’utilisation du ganirélix est contre indiquée chez les patientes présentant une insuffisance hépatique modérée ou sévère (voir rubrique 4.3).

Population pédiatrique

Il n’existe pas d’utilisation justifiée du ganirélix dans la population pédiatrique.

Mode d’administration

Le ganirélix doit être administré par voie sous-cutanée, de préférence dans la cuisse. Pour éviter une lipodystrophie, le site d’injection doit changer d’une injection à l’autre. La patiente ou son partenaire, peuvent réaliser eux-mêmes les injections de ganirélix, à condition qu’ils aient été convenablement formés et qu’ils aient accès à un avis compétent.

Une/des bulle(s) d'air peuvent apparaître dans la seringue préremplie. Ceci est attendu, et l'élimination de la/des bulle(s) d'air n'est pas nécessaire.

4.3. Contre-indications  Retour en haut de la page

· Hypersensibilité à la substance active ou à l’un des excipients mentionnés à la rubrique 6.1.

· Hypersensibilité à l’hormone de libération des gonadotrophines (GnRH) ou à tout autre analogue de la GnRH.

· Insuffisance rénale ou hépatique modérée ou sévère.

· Grossesse ou allaitement.

4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi  Retour en haut de la page

Réaction d’hypersensibilité

Des précautions particulières doivent être prises chez les femmes présentant des signes et des symptômes de prédisposition allergique. Depuis la commercialisation, des cas de réactions d’hypersensibilité (à la fois généralisées et locales) ont été rapportés avec le ganirélix, dès la première dose. Ces événements ont inclus anaphylaxie (y compris choc anaphylactique), angio-œdème et urticaire (voir rubrique 4.8). Si une réaction d’hypersensibilité est suspectée, le ganirélix doit être arrêté et un traitement approprié doit être administré. En l’absence de données cliniques, un traitement par ganirélix n’est pas recommandé chez les femmes présentant des risques importants d’allergie.

Syndrome d'hyperstimulation ovarienne (SHSO)

Le syndrome d’hyperstimulation ovarienne (SHSO) peut survenir pendant ou à la suite d'une stimulation ovarienne. Le SHSO doit être considéré comme un risque intrinsèque de la stimulation par une gonadotrophine. Le SHSO doit être traité de façon symptomatique, par exemple par du repos, une perfusion par voie intraveineuse d’une solution d’électrolytes ou de colloïdes et de l’héparine.

Grossesse extra-utérine

Etant donné que les femmes infertiles suivant des techniques d’assistance à la procréation, notamment des fécondations in vitro (FIV), présentent souvent des anomalies tubaires, l’incidence des grossesses extra-utérines peut être augmentée. Il est important de confirmer par une échographie précoce que la grossesse est intra-utérine.

Malformations congénitales

L'incidence des malformations congénitales après des techniques d’assistance médicale à la procréation (AMP) peut être plus élevée qu'après des conceptions spontanées. Ceci semble dû à des différences au niveau des caractéristiques des parents (par exemple, âge de la mère, qualité du sperme) et à une augmentation de l'incidence des grossesses multiples. Dans des études cliniques portant sur plus de 1 000 nouveau-nés, il a été démontré que l’incidence des malformations congénitales chez les enfants nés suite à une HOC utilisant le ganirélix était comparable à celle rapportée après HOC utilisant un agoniste de la GnRH.

Femmes pesant moins de 50 kg ou plus de 90 kg

La sécurité et l’efficacité du ganirélix n’ont pas été établies chez les femmes pesant moins de 50 kg ou plus de 90 kg (voir également rubriques 5.1 et 5.2).

Sodium

Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par injection, c’est-à-dire qu’il est essentiellement « sans sodium ».

4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions  Retour en haut de la page

Aucune étude d’interaction n’a été réalisée.

La possibilité d’interactions avec des médicaments fréquemment utilisés, y compris les médicaments libérant de l’histamine, ne peut être exclue.

4.6. Fertilité, grossesse et allaitement  Retour en haut de la page

Grossesse

Il n'existe pas de données pertinentes concernant l'utilisation du ganirélix chez la femme enceinte.

Chez les animaux, une exposition au ganirélix au moment de l’implantation a abouti à une résorption de la portée (voir rubrique 5.3). On ignore la pertinence de ces données chez l’être humain.

Allaitement

On ignore si le ganirélix est excrété dans le lait maternel.

L’utilisation de ganirélix est contre-indiquée pendant la grossesse et l’allaitement (voir rubrique 4.3).

Fertilité

Le ganirélix est utilisé pour traiter les femmes sous hyperstimulation ovarienne contrôlée dans le cadre des programmes de procréation médicalement assistée. Le ganirélix est utilisé pour prévenir les pics prématurés de LH qui pourraient autrement survenir chez ces femmes pendant la stimulation ovarienne.

Pour la posologie et la méthode d'administration, voir rubrique 4.2.

4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines  Retour en haut de la page

Les effets sur l’aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines n’ont pas été étudiés.

4.8. Effets indésirables  Retour en haut de la page

Résumé du profil de sécurité

Le tableau ci-dessous présente tous les effets indésirables rapportés dans les études cliniques chez les femmes traitées par ganirélix en association avec la FSHrec pour la stimulation ovarienne. Des effets indésirables similaires sont attendus avec le ganirélix utilisé en association avec la corifollitropine alfa pour la stimulation ovarienne.

Tableau listant les effets indésirables

Les effets indésirables sont classés conformément à la classe de systèmes d’organes MedDRA et à la fréquence : très fréquent (≥ 1/10), fréquent (≥ 1/100, < 1/10), peu fréquent (≥ 1/1 000, < 1/100). La fréquence des réactions d’hypersensibilité (très rare, < 1/10 000) est issue de l’expérience post-commercialisation.

Classe de systèmes d’organes

Fréquence

Effet indésirable

Affections du système immunitaire

Très rare

Réactions d’hypersensibilité (incluant rash, gonflement du visage, dyspnée, anaphylaxie [y compris choc anaphylactique], angio-œdème et urticaire)1

Aggravation d'un eczéma préexistant2

Affections du système nerveux

Peu fréquent

Céphalées

Affections gastro-intestinales

Peu fréquent

Nausées

Troubles généraux et anomalies au site d’administration

Très fréquent

Réaction cutanée locale au site d’injection (principalement rougeur, avec ou sans gonflement)3

Peu fréquent

Malaise

1 Des cas ont été rapportés, dès la première dose, chez des patients recevant le ganirélix.

2 Rapporté chez un sujet après la première dose de ganirélix.

3 Dans les études cliniques, une heure après l'injection, 12 % des patientes traitées par ganirélix et 25 % des patientes traitées par un agoniste de la GnRH par voie sous cutanée ont rapporté une réaction cutanée locale modérée ou sévère survenue au moins une fois par cycle de traitement. Les réactions locales disparaissent en général dans les 4 heures suivant l’administration.

Description d’effets indésirables sélectionnés

Les autres effets indésirables rapportés sont liés à l’hyperstimulation ovarienne contrôlée dans le cadre des techniques d’AMP, notamment douleur pelvienne, distension abdominale, SHSO (voir rubrique 4.4), grossesse extra-utérine et avortement spontané.

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : https://signalement.social-sante.gouv.fr.

4.9. Surdosage  Retour en haut de la page

Un surdosage peut aboutir à une durée d’action prolongée.

Aucune donnée sur la toxicité aiguë du ganirélix chez l’être humain n’est disponible. Les études cliniques portant sur l’administration sous-cutanée de ganirélix à des doses uniques allant jusqu’à 12 mg n’ont pas révélé d'effet indésirable systémique. Au cours des études de toxicité aiguë chez le rat et le singe, seuls des symptômes de toxicité non spécifique, tels que hypotension et bradycardie, ont été observés après administration intraveineuse de ganirélix à plus de 1 et 3 mg/kg, respectivement.

En cas de surdosage, le traitement par ganirélix doit être (temporairement) arrêté.

5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES  Retour en haut de la page

5.1. Propriétés pharmacodynamiques  Retour en haut de la page

Classe pharmacothérapeutique : Hormones hypophysaires, hypothalamiques et analogues, anti-hormones entraînant la libération de gonadotrophine, code ATC : H01CC01.

Mécanisme d’action

Le ganirélix est un antagoniste de la GnRH, qui module l’axe hypothalamo-hypophyso-gonadique en se liant de façon compétitive aux récepteurs de la GnRH dans l’hypophyse. De ce fait, une suppression rapide, profonde et réversible des gonadotrophines endogènes survient, sans la stimulation initiale que l’on constate avec les agonistes de la GnRH. A la suite de l’administration de multiples doses de 0,25 mg de ganirélix à des femmes volontaires, les concentrations sériques en LH diminuaient au maximum de 74 %, 4 heures après l’injection et celles en FSH et E2 respectivement de 32 % et de 25 %, 16 heures après l’injection. Les taux hormonaux sériques revenaient aux valeurs de pré-traitement dans les deux jours suivant la dernière injection.

Effets pharmacodynamiques

Chez les patientes en cours de stimulation ovarienne contrôlée, la durée médiane du traitement par ganirélix était de 5 jours. Pendant le traitement par ganirélix, l’incidence moyenne des élévations de LH (> 10 UI/L) avec une élévation concomitante de la progestérone (> 1 ng/mL) a été de 0,3–1,2 % par rapport à 0,8 % pendant le traitement par agoniste de la GnRH. Une tendance à l’augmentation de l’incidence des élévations de LH et de la progestérone a été observée chez les femmes présentant un poids corporel élevé (> 80 kg), mais aucun effet sur les résultats cliniques n’a été observé. Cependant, étant donné le faible nombre de patientes traitées à ce jour, un effet ne peut être exclu.

En cas de réponse ovarienne importante, résultant soit d’une forte exposition aux gonadotrophines au début de la phase folliculaire soit d’une haute réactivité ovarienne, des pics prématurés de LH peuvent survenir plus tôt que le 6e jour de stimulation. L’instauration du traitement par ganirélix au 5e jour de la stimulation peut empêcher ces pics prématurés de LH sans compromettre les résultats cliniques.

Efficacité et sécurité clinique

Dans les études contrôlées portant sur le ganirélix associé à la FSH, utilisant un protocole long avec un agoniste de la GnRH comme référence, le traitement par ganirélix a permis une croissance folliculaire plus rapide pendant les premiers jours de stimulation, mais la cohorte de follicules en voie de maturation finale était légèrement plus réduite et a sécrété en moyenne des taux moindres d’estradiol. Ce profil différent de la croissance folliculaire nécessite que les ajustements des doses de FSH soient basés sur le nombre et la taille des follicules en voie de maturation, plutôt que sur le taux d’estradiol circulant. Des études cliniques comparatives similaires avec la corifollitropine alfa utilisant soit un antagoniste de la GnRH soit un protocole agoniste long n’ont pas été réalisées.

5.2. Propriétés pharmacocinétiques  Retour en haut de la page

Les paramètres pharmacocinétiques après administrations sous-cutanées répétées de ganirélix (injection quotidienne) sont comparables à ceux observés après une dose unique sous-cutanée. Des taux plasmatiques à l’équilibre d’environ 0,6 ng/mL sont atteints en 2 à 3 jours, après administration répétée de 0,25 mg/jour.

L'analyse pharmacocinétique indique une relation inverse entre le poids corporel et les concentrations sériques de ganirélix.

Absorption

Après une administration unique sous-cutanée de 0,25 mg, les taux sériques de ganirélix augmentent rapidement et atteignent un pic (Cmax) d’environ 15 ng/mL en 1 à 2 heures (tmax). La biodisponibilité du ganirélix après administration sous-cutanée est d'environ 91 %.

Biotransformation

Le composant principal circulant dans le plasma est le ganirélix. Le ganirélix est aussi le composant principal retrouvé dans l’urine. Les fèces ne contiennent que des métabolites. Les métabolites sont des petits fragments peptidiques formés par hydrolyse enzymatique du ganirélix survenant en des sites limités. Le profil métabolique du ganirélix chez l’être humain est similaire à celui observé chez l’animal.

Elimination

La demi-vie d'élimination (t½) est d'environ 13 heures et la clairance est d'environ 2,4 L/h. L'excrétion se fait par les fèces (environ 75 %) et l'urine (environ 22 %).

5.3. Données de sécurité préclinique  Retour en haut de la page

Les données précliniques, basées sur des études de sécurité pharmacologique, de toxicité et de génotoxicité à doses répétées, n’ont pas révélé de risque particulier pour l’être humain.

Des études de reproduction réalisées avec le ganirélix chez le rat à des doses allant de 0,1 à 10 µg/kg/jour par voie sous-cutanée et chez le lapin à des doses allant de 0,1 à 50 µg/kg/jour par voie sous-cutanée ont révélé une augmentation du taux de résorption des portées dans les groupes de dose les plus élevées. Aucun effet tératogène n’a été observé.

6. DONNEES PHARMACEUTIQUES  Retour en haut de la page

6.1. Liste des excipients  Retour en haut de la page

Acide acétique glacial, mannitol, eau pour préparations injectables, hydroxyde de sodium (pour ajustement du pH), acide acétique glacial (pour ajustement du pH).

6.2. Incompatibilités  Retour en haut de la page

En l’absence d’études de compatibilité, ce médicament ne doit pas être mélangé avec d’autres médicaments.

6.3. Durée de conservation  Retour en haut de la page

4 ans

6.4. Précautions particulières de conservation  Retour en haut de la page

Ce médicament ne nécessite pas de précautions particulières de conservation.

6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur  Retour en haut de la page

Seringues préremplies en verre incolore de type I contenant 0,5 mL de solution aqueuse stérile, prête à l’emploi, fermée par un bouchon-piston et une tige de piston en caoutchouc chlorobutyle ou bromobutyle. Chaque seringue préremplie est munie d’une aiguille d’injection (27G) recouverte d’un capuchon d’aiguille en caoutchouc synthétique qui entre en contact avec l’aiguille. Le capuchon de l’aiguille est protégé par un protège-aiguille rigide en plastique.

Fournies en boîtes contenant 1 ou 5 seringues préremplies comme spécifié ci-dessous :

· 1 seringue préremplie

· 5 seringues préremplies

Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées.

6.6. Précautions particulières d’élimination et de manipulation  Retour en haut de la page

Examiner la seringue avant utilisation. Utiliser la seringue uniquement si la solution est limpide, exempte de particules et si son conditionnement n’a pas été endommagé.

Tout médicament non utilisé ou déchet doit être éliminé conformément à la réglementation en vigueur.

7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE  Retour en haut de la page

EG LABO – LABORATOIRES EUROGENERICS

Central Park

9-15 rue Maurice Mallet

92130 Issy les Moulineaux

8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE  Retour en haut de la page

· 34009 302 689 8 8 : 0,5 mL en seringue préremplie (verre). Boîte de 1.

· 34009 302 689 9 5 : 0,5 mL en seringue préremplie (verre). Boîte de 5.

9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DE L’AUTORISATION  Retour en haut de la page

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE  Retour en haut de la page

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

11. DOSIMETRIE  Retour en haut de la page

Sans objet.

12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACEUTIQUES  Retour en haut de la page

Sans objet.

CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE

Liste I

Médicament soumis à une prescription réservée aux spécialistes en gynécologie et/ou en gynécologie-obstétrique et/ou en endocrinologie et métabolisme.

Médicament nécessitant une surveillance particulière pendant le traitement.


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