ACIDE TRANEXAMIQUE VIATRIS SANTE 0,5 g/5 mL, solution injectable - Résumé des caractéristiques du produit |
||
ANSM - Mis à jour le : 19/08/2024
ACIDE TRANEXAMIQUE VIATRIS SANTÉ 0,5 g/ 5 mL, solution injectable
2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE
Acide tranexamique............................................................................................................. 500 mg
Pour une ampoule de 5 mL.
1 mL de solution contient 100 mg d’acide tranexamique.
Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.
Solution limpide et incolore à pH 6,5-8,0.
4.1. Indications thérapeutiques
Les indications spécifiques incluent :
· Hémorragies causées par une fibrinolyse générale ou locale telles que :
o Ménorragies et métrorragies,
o Hémorragies gastro-intestinales,
o Affections urinaires hémorragiques, suite à une intervention chirurgicale prostatique ou des actes chirurgicaux affectant les voies urinaires,
· Intervention chirurgicale oto-rhino-laryngologique (adénoïdectomie, amygdalectomie, extractions dentaires),
· Intervention chirurgicale gynécologique ou affections d’origine obstétricale,
· Intervention chirurgicale thoracique et abdominale et autres interventions chirurgicales majeures telles qu’une chirurgie cardiovasculaire,
· Prise en charge d’hémorragies dues à l’administration d’un agent fibrinolytique.
4.2. Posologie et mode d'administration
Adultes
Sauf prescription contraire, les doses suivantes sont recommandées :
Traitement standard d’une fibrinolyse locale :
· 0,5 g (1 ampoule de 5 mL) à 1 g (2 ampoules de 5 mL) d’acide tranexamique par injection intraveineuse lente (= 1 mL/minute) deux à trois fois par jour.
Traitement standard d’une fibrinolyse générale :
· 1 g (2 ampoules de 5 mL) d’acide tranexamique par injection intraveineuse lente (= 1 mL/minute) toutes les 6 à 8 heures, équivalent à 15 mg/kg de poids corporel.
Insuffisance rénale
En cas d’insuffisance rénale conduisant à un risque d’accumulation, l’utilisation de l’acide tranexamique est contre indiquée chez les patients atteints d’une insuffisance rénale grave (voir rubrique 4.3). Chez les patients présentant une insuffisance rénale légère à modérée, la posologie de l’acide tranexamique doit être réduite en fonction du taux de créatinine sérique :
Créatinine sérique |
Dose I.V. |
Administration |
|
µmol/L |
mg/10 mL |
|
|
120 à 249 |
1.35 à 2.82 |
10 mg/kg de poids corporel |
Toutes les 12 heures |
250 à 500 |
2.82 à 5.65 |
10 mg/kg de poids corporel |
Toutes les 24 heures |
> 500 |
> 5.65 |
5 mg/kg de poids corporel |
Toutes les 24 heures |
Insuffisance hépatique
Aucun ajustement posologique n’est nécessaire chez les patients insuffisants hépatiques.
Population pédiatrique
Chez l’enfant à partir de 1 an, pour les indications actuellement approuvées et décrites à la rubrique 4.1, la posologie est de l’ordre de 20 mg/kg/jour. Cependant, les données concernant l’efficacité, la posologie et la sécurité d’emploi sont limitées pour ces indications.
L’efficacité, la posologie et la sécurité d’emploi de l’acide tranexamique chez les enfants subissant une intervention chirurgicale cardiaque n’ont pas été établies complètement. Les données actuellement disponibles sont limitées et décrites à la rubrique 5.1.
Population âgée
Aucune réduction de la posologie n’est nécessaire sauf en cas d’insuffisance rénale avérée.
Mode d’administration
L’administration doit être faite strictement par injection intraveineuse lente (voir la rubrique 6.6)
· Hypersensibilité à la substance active ou à l’un des excipients mentionnés à la rubrique 6.1
· Thrombose veineuse ou artérielle aiguë (voir rubrique 4.4),
· Etats fibrinolytiques consécutifs à une coagulopathie de consommation, à l’exception d’états associés à une activation prédominante du système fibrinolytique avec une hémorragie grave aiguë (voir rubrique 4.4),
· Insuffisance rénale grave (risque d’accumulation),
· Antécédents de convulsions,
· Injections intrathécales et intraventriculaires, applications intracérébrales (risque d’œdème cérébral et de convulsions).
4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi
Les indications et le mode d’administration décrits ci-dessus doivent être strictement suivis :
· Les injections intraveineuses doivent être administrées très lentement,
· L’acide tranexamique ne doit pas être administré par voie intramusculaire.
Convulsions
Des cas de convulsions ont été rapportés en association avec un traitement par l’acide tranexamique. Lors d’une chirurgie de pontage aortocoronarien (PAC), la plupart de ces cas ont été signalés après une injection intraveineuse (IV) d’acide tranexamique à des doses élevées. Lorsque les doses plus faibles recommandées d’acide tranexamique étaient utilisées, l’incidence des crises post-opératoires était similaire à celle constatée chez des patients non traités.
Troubles visuels
Il faut prêter attention aux troubles visuels possibles, notamment une déficience visuelle, une vision trouble, une perturbation de la vision des couleurs. Si nécessaire, le traitement doit être interrompu. Des examens ophtalmologiques réguliers (examens de l’œil et notamment acuité visuelle, vision des couleurs, fond de l’œil, champ visuel, etc.) sont indiqués lors d’une utilisation continue et prolongée d’une solution injectable d’acide tranexamique. Si des changements ophtalmiques pathologiques sont observés, particulièrement en présence de maladies de la rétine, le médecin doit consulter un spécialiste afin de décider de la nécessité d’utiliser à long terme une solution injectable d’acide tranexamique dans chaque cas individuel.
Hématurie
En cas d’hématurie provenant des voies urinaires supérieures, il y a un risque d’obstruction urinaire aux niveaux inférieurs des voies urinaires.
Si elle n'est pas traitée, l'obstruction urinaire peut entraîner des conséquences graves telles qu'une insuffisance rénale, une infection des voies urinaires, une hydronéphrose et une anurie. Par conséquent, une surveillance étroite est recommandée pour les patients présentant une hématurie ou un risque d'hématurie des voies urinaires supérieures.
Evénements thromboemboliques
Les facteurs de risque de maladie thromboembolique doivent être pris en compte avant l’utilisation d’acide tranexamique. Chez les patients présentant des antécédents de maladies thromboemboliques ou chez les patients ayant une incidence accrue d’événements thromboemboliques dans leurs antécédents familiaux (patients à haut risque de thrombophilie), l’acide tranexamique solution injectable ne doit être administré qu’en présence d’une forte indication médicale, après consultation d’un spécialiste de l’hémostase et sous une stricte surveillance médicale (voir rubrique 4.3).
L’acide tranexamique doit être administré avec prudence chez les patientes recevant des contraceptifs oraux en raison du risque accru de thrombose (voir rubrique 4.5).
Coagulation intravasculaire disséminée
Dans la majorité des cas, les patients souffrant de coagulation intravasculaire disséminée ne doivent pas être traités par l’acide tranexamique (voir rubrique 4.3). L’administration d’acide tranexamique doit être restreinte aux personnes présentant une activation prédominante du système fibrinolytique avec hémorragie grave aiguë. Le profil hématologique se caractérise approximativement comme suit : diminution du temps de lyse des euglobulines; allongement du temps de Quick ; réduction des taux plasmatiques de fibrinogène, facteurs V et VIII, fibrinolysine issue du plasminogène et alpha 2 macroglobuline ; taux plasmatiques normaux de P et du complexe P (complexe prothrombinique), c’est à dire les facteurs II (prothrombine), VIII et X ; taux plasmatiques accrus de produits de dégradation du fibrinogène ; une numération normale des plaquettes sanguines. Ce qui précède suppose que l’état pathologique sous-jacent ne modifie pas lui-même les divers éléments de ce profil. En présence de tels cas aigus, une dose unique de 1 g d’acide tranexamique est souvent suffisante pour contrôler l’hémorragie. L’administration de l’acide tranexamique en cas de coagulation intravasculaire disséminée ne doit être envisagée que si des installations de laboratoire d’analyses hématologiques appropriées et un personnel qualifié sont disponibles.
4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions
Les médicaments qui agissent sur l’hémostase doivent être administrés avec précaution aux patients traités par l’acide tranexamique. Il existe un risque théorique d’augmentation de la formation de thrombus, tel qu’avec les œstrogènes. Par ailleurs, l’effet antifibrinolytique du médicament peut être antagonisé avec des thrombolytiques.
4.6. Fertilité, grossesse et allaitement
Les femmes en âge de procréer
Les femmes en âge de procréer doivent utiliser une contraception efficace pendant le traitement.
Grossesse
Il n’existe pas de données cliniques suffisantes sur l’utilisation de l’acide tranexamique chez la femme enceinte.
En conséquence, bien que les études effectuées chez l’animal n’aient pas mis en évidence d’effets tératogènes et en précaution d’emploi, l’acide tranexamique n’est pas recommandé pendant le premier trimestre de grossesse.
Les données cliniques limitées sur l’utilisation de l’acide tranexamique dans différentes situations cliniques hémorragiques pendant les deuxième et troisième trimestres n’ont pas mis en évidence d’effet délétère sur le foetus. L’acide tranexamique ne doit être utilisé pendant la grossesse que si le bénéfice escompté justifie le risque potentiel.
L’acide tranexamique est excrété dans le lait maternel. Par conséquent, l’allaitement n’est pas recommandé.
Fertilité
Il n’existe pas de données cliniques sur les effets de l’acide tranexamique sur la fécondité.
4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines
Aucune étude n’a été réalisée sur l’aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines.
Les effets indésirables, rapportés par les études cliniques et la pharmacovigilance post-commercialisation, sont repris ci-dessous par classe de systèmes d’organes.
Tableau reprenant la liste des effets indésirables
Les effets indésirables signalés sont présentés dans le tableau ci-dessous.
Les effets indésirables sont repris selon les classes principales de systèmes d’organes MedDRA. Au sein de chaque classe de systèmes d’organes, les effets indésirables sont présentés par fréquence. Au sein de chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sont présentés par ordre décroissant de gravité. Les fréquences ont été définies comme suit : très fréquent (≥1/10) ; fréquent (≥1/100 à <1/10) ; peu fréquent (≥1/1000 à <1/100) ; fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
Classe de systèmes d’organes MedDRA |
Fréquent ≥ 1/100 à < 1/10
|
Peu fréquent ≥ 1/1,000 à < 1/100
|
Fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles) |
Affections du système immunitaire |
/ |
/ |
Réactions d’hypersensibilité, dont une anaphylaxie |
Affections du système nerveux |
/ |
/ |
Convulsions, particulièrement en cas de mésusage (voir les rubriques 4.3 et 4.4) |
Affections oculaires |
/ |
/ |
Troubles visuels, dont des troubles de la perception des couleurs |
Affections vasculaires |
/ |
/ |
Malaise avec hypotension, avec ou sans perte de conscience (généralement après une injection intraveineuse trop rapide, exceptionnellement après une administration par voie orale) Thrombose artérielle ou veineuse susceptible de survenir dans n’importe quel site |
Affections gastrointestinales |
Diarrhée Vomissement Nausées |
/ |
/ |
Affections de la peau et du tissu sous-cutané |
/ |
Dermite allergique |
/ |
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : https://signalement.social-sante.gouv.fr/.
Aucun cas de surdosage n’a été rapporté.
Les signes et symptômes peuvent inclure nausées, diarrhée, vertiges, céphalées, symptômes orthostatiques, hypotension, augmentation du risque de thrombose chez les personnes prédisposées, et convulsions. Il a été démontré que les convulsions tendent à survenir à une fréquence plus élevée lorsque la dose augmente.
La prise en charge d’un surdosage consiste en un traitement symptomatique.
5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES
5.1. Propriétés pharmacodynamiques
Classe pharmacothérapeutique : antihémorragiques, antifibrinolytiques, amino-acides ;
Code ATC : B02AA02.
L'acide tranexamique développe une action antihémorragique par inhibition des activités fibrinolytiques de la plasmine.
Il se forme ainsi un complexe entre l'acide tranexamique et le plasminogène, l'acide tranexamique étant lié au plasminogène lors de sa transformation en plasmine.
L’activité du complexe entre l’acide tranexamique et la plasmine sur l’activité de la fibrine est moins forte que l’activité de la plasmine libre seule.
Les études in vitro ont démontré que l’acide tranexamique administré à des doses élevées réduit l’activité du complément.
Population pédiatrique
Chez l’enfant à partir d’un an :
Un examen de la littérature a permis d’identifier 12 études d’efficacité en chirurgie cardiaque pédiatrique, ayant inclus 1073 enfants, dont 631 ont reçu l’acide tranexamique. La plupart d’entre elles étaient des études contrôlées contre placebo. La population étudiée était hétérogène en termes d’âge, de type d’intervention chirurgicale et de schémas posologiques.
Les résultats des études suggèrent que l‘acide tranexamique réduit les saignements et les besoins transfusionnels en chirurgie cardiaque pédiatrique sous circulation extracorporelle(CEC), et à haut risque d’hémorragie, en particulier chez les patients cyanosés ou réopérés.
Le schéma posologique le plus adapté semble être le suivant :
· Un premier bolus de 10 mg/kg après induction de l’anesthésie et avant l’incision cutanée,
· Une perfusion continue de 10 mg/kg/h,
· Une dernière injection de 10 mg/kg à la fin de la CEC.
Bien qu’ayant été étudiées sur un très petit nombre de patients, les données limitées, suggèrent que la perfusion maintient une concentration plasmatique thérapeutique tout au long de l’intervention.
Aucune étude effet dose spécifique n’a été conduite chez l’enfant.
5.2. Propriétés pharmacocinétiques
Les concentrations plasmatiques maximales d’acide tranexamique sont obtenues rapidement après une brève perfusion intraveineuse, ensuite les concentrations plasmatiques diminuent de manière multi-exponentielle.
Distribution
La liaison aux protéines plasmatiques de l’acide tranexamique est de l’ordre de 3 % aux niveaux plasmatiques thérapeutiques et semble résulter entièrement de sa liaison au plasminogène. L’acide tranexamique ne se lie pas à l’albumine sérique. Le volume de distribution initial est approximativement compris entre 9 et 12 litres.
L’acide tranexamique traverse le placenta. Après une injection intraveineuse de 10 mg/kg à 12 femmes enceintes, la concentration de l’acide tranexamique dans le sérum variait de 10 à 53 microgramme/mL alors que celle du sang du cordon ombilical variait de 4 à 31 microgramme/mL.
L’acide tranexamique diffuse rapidement dans le liquide articulaire et la membrane synoviale. Après une injection intraveineuse de 10 mg/kg à 17 patients subissant une chirurgie du genou, les concentrations dans les liquides articulaires étaient similaires aux concentrations observées dans les échantillons sériques correspondants.
La concentration de l’acide tranexamique dans un certain nombre d’autres tissus représente une fraction de la concentration observée dans le sang (lait maternel, un centième ; liquide céphalorachidien, un dixième ; humeur aqueuse, un dixième).
L’acide tranexamique a été détecté dans le sperme où il inhibe l’activité fibrinolytique mais n’a aucune répercussion sur la migration du sperme.
Élimination
L’acide tranexamique est excrété principalement dans l’urine sous forme inchangée. L’excrétion urinaire par filtration glomérulaire est la voie d’élimination principale. La clairance rénale est équivalente à la clairance plasmatique (110 à 116 ml/min). L’excrétion de l’acide tranexamique est d’environ 90 % dans les 24 premières heures qui suivent l’administration intraveineuse de 10 mg/kg poids corporel. La demi-vie d’élimination de l’acide tranexamique est approximativement de 3 heures.
Populations particulières
Insuffisance rénale
Les concentrations plasmatiques augmentent chez les patients souffrant d’insuffisance rénale.
Aucune étude de pharmacocinétique spécifique n’a été conduite chez l’enfant.
5.3. Données de sécurité préclinique
Une activité épileptogène a été observée chez l’animal lors d’utilisations intrathécales de l’acide tranexamique.
Eau pour préparations injectables.
3 ans.
Après ouverture :
La solution injectable est à usage unique.
Le produit doit être utilisé immédiatement, d'un point de vue microbiologique. La solution injectable inutilisée doit être jetée. En cas d'utilisation non immédiate, les durées et conditions de conservation avant utilisation relèvent de la responsabilité de l'utilisateur.
6.4. Précautions particulières de conservation
Ce médicament ne nécessite pas de précautions particulières de conservation.
Ne pas congeler.
Pour les conditions de conservation du médicament après première ouverture, voir la rubrique 6.3.
6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur
Boîte de 1, 5, 6 ou 10 ampoule(s) de 5 mL en verre de type I.
Chaque ampoule contient 500 mg d’acide tranexamique.
Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées.
6.6. Précautions particulières d’élimination et de manipulation
Ce médicament est à usage unique.
Tout médicament non utilisé ou déchet doit être éliminé conformément à la réglementation en vigueur.
7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE
1 RUE DE TURIN
69007 LYON
8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE
· 34009 301 315 2 7 : Ampoule (verre) de 5 mL. Boîte de 1.
· 34009 301 315 3 4 : Ampoule (verre) de 5 mL. Boîte de 5.
· 34009 301 315 4 1 : Ampoule (verre) de 5 mL. Boîte de 6.
· 34009 550 488 7 9 : Ampoule (verre) de 5 mL. Boîte de 10.
9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DE L’AUTORISATION
[à compléter ultérieurement par le titulaire]
10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE
[à compléter ultérieurement par le titulaire]
Sans objet.
12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACEUTIQUES
Liste I.
|
Plan du site | Accessibilité | Contact | Téléchargement | Declaration de confidentialité | Service-Public.fr | Legifrance | Gouvernement.fr |