Logo du ministère des affaires sociale et de la santé

Base de données publique
des médicaments

Visiter [medicaments.gouv.fr] Visiter [medicaments.gouv.fr]

Sommaire

Onglet fiche informationOnglet résumé des caractéristiques du produitOnglet notice patient
 

APROKAM 50 mg, poudre pour solution injectable - Résumé des caractéristiques du produit

Imprimer le document

ANSM - Mis à jour le : 19/03/2024

1. DENOMINATION DU MEDICAMENT  Retour en haut de la page

APROKAM 50 mg, poudre pour solution injectable

2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE  Retour en haut de la page

Chaque flacon contient 50 mg de céfuroxime (sous forme de 52,6 mg de céfuroxime sodique).

Après reconstitution avec 5 ml de solvant (voir rubrique 6.6), 0,1 ml de solution contient 1 mg de céfuroxime.

Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.

3. FORME PHARMACEUTIQUE  Retour en haut de la page

Poudre pour solution injectable.

Poudre blanche à presque blanche.

4. DONNEES CLINIQUES  Retour en haut de la page

4.1. Indications thérapeutiques  Retour en haut de la page

Antibioprophylaxie des endophtalmies post-opératoires après une chirurgie de la cataracte (voir rubrique 5.1).

Il convient de tenir compte des recommandations officielles concernant l'utilisation appropriée des antibactériens, incluant celles sur l’antibioprophylaxie en chirurgie oculaire.

4.2. Posologie et mode d'administration  Retour en haut de la page

Voie intra-camérulaire. Un flacon pour un usage unique seulement.

Posologie

Adultes :

La posologie recommandée est de 0,1 ml de solution reconstituée (voir rubrique 6.6), c'est-à-dire de 1 mg de céfuroxime.

NE PAS INJECTER UNE DOSE SUPERIEURE A CELLE RECOMMANDEE (voir rubrique 4.9).

Population pédiatrique

La posologie optimale et la sécurité d’emploi d’APROKAM n’ont pas été établies dans la population pédiatrique.

Sujets âgés :

L’adaptation posologique n’est pas nécessaire.

Insuffisants rénaux et hépatiques :

Considérant la faible dose et le passage systémique négligeable de céfuroxime attendu après utilisation d’APROKAM, aucun ajustement posologique n’est nécessaire

Mode d’administration

APROKAM doit être administré après reconstitution, par injection intra-oculaire dans la chambre antérieure de l’œil (voie intra-camérulaire), par un chirurgien ophtalmologiste, dans les conditions d’asepsie recommandées pour la chirurgie de la cataracte. Seule une solution pour injection de chlorure de sodium 9 mg/ml (0,9 %) doit être utilisée lors de la reconstitution de APROKAM (voir rubrique 6.6).

Après reconstitution, APROKAM doit être contrôlé visuellement afin de rechercher la présence de particules ou d’une coloration anormale avant administration.

Injecter lentement 0,1 ml de solution reconstituée dans la chambre antérieure de l’œil en fin de chirurgie de la cataracte.

Pour les instructions concernant la reconstitution d’APROKAM avant l’administration, voir rubrique 6.6.

4.3. Contre-indications  Retour en haut de la page

Hypersensibilité à la céfuroxime ou aux antibiotiques du groupe des céphalosporines.

4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi  Retour en haut de la page

APROKAM doit être utilisé uniquement par voie intra-camérulaire.

En raison d'un possible risque de réaction allergique croisée, une précaution particulière doit être prise chez les patients ayant des antécédents de réactions allergiques aux pénicillines ou aux autres bêta-lactamines.

Chez les patients à risque d’infections dues à des souches résistantes, par exemple les patients ayant eu une infection ou une colonisation avec un SARM (Staphylococcus aureus résistant à la méticilline), un autre traitement antibiotique prophylactique doit être envisagé.

En l’absence de données chez des groupes de patients particuliers (patients à haut risque d’infection, patients avec des cataractes compliquées, patients devant subir des interventions combinées à la chirurgie de la cataracte, patients ayant une maladie sévère de la thyroïde, patients ayant moins de 2000 cellules endothéliales cornéennes), APROKAM doit être uniquement utilisé qu’après une évaluation attentive du rapport bénéfice/risque.

L’utilisation de la céfuroxime ne doit pas être considérée comme une mesure isolée car d’autres précautions sont tout aussi importantes, comme le traitement prophylactique antiseptique.

Aucune toxicité endothéliale cornéenne n’a été rapportée à la concentration recommandée de céfuroxime ; néanmoins, ce risque ne peut être exclu et durant la surveillance post-opératoire, les médecins doivent garder à l’esprit ce risque potentiel.

Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par dose, c-à-d. qu’il est essentiellement « sans sodium ».

4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions  Retour en haut de la page

L’exposition systémique attendue étant négligeable, les interactions systémiques sont peu probables.

Aucune incompatibilité avec les produits les plus fréquemment utilisés dans la chirurgie de la cataracte, n’a été rapportée dans la littérature.

4.6. Fertilité, grossesse et allaitement  Retour en haut de la page

Grossesse

Il existe des données limitées sur l’utilisation de la céfuroxime chez la femme enceinte. Les études chez l’animal n’ont montré aucun effet délétère sur le développement embryonnaire ou fœtale. La céfuroxime atteint l’embryon ou le fœtus au travers du placenta. Aucun effet pendant la grossesse n’est à prévoir, étant donné que l’exposition systémique à la céfuroxime suite à l’utilisation d’APROKAM est négligeable. APROKAM peut être utilisé pendant la grossesse.

Allaitement

La céfuroxime peut être excrétée dans le lait maternel en très faible quantité. Des effets indésirables aux doses thérapeutiques ne sont pas attendus après l’utilisation d’APROKAM. La céfuroxime peut être utilisée pendant l’allaitement.

Fertilité

Il n’y a pas de données sur les effets de la céfuroxime sodique sur la fertilité chez l’Homme. Des études sur la reproduction chez l’animal n’ont montré aucun effet sur la fertilité.

4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines  Retour en haut de la page

Sans objet.

4.8. Effets indésirables  Retour en haut de la page

Aucun effet indésirable particulier n’a été rapporté dans la littérature quand la céfuroxime est administrée par injection intra-oculaire, sauf les suivants :

Affections oculaires

Fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles) : Œdème maculaire

Affections du système immunitaire

Très rare (<1/10 000) : réaction anaphylactique.

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.signalement-sante.gouv.fr.

4.9. Surdosage  Retour en haut de la page

Les cas de surdosage rapportés sont ceux décrits dans la littérature après dilution incorrecte et utilisation non autorisée de céfuroxime destinée à un usage systémique.

Une dose excessive de céfuroxime (3 fois la dose recommandée) a été administrée par inadvertance par voie intra-camérulaire chez 6 patients suite à une erreur de dilution d’une préparation magistrale de céfuroxime. Ces injections n’ont provoqués aucun effet indésirable détectable, chez tous les patients, même au niveau des tissus oculaires.

Des données de toxicité sont disponibles suite à l’injection intra-camérulaire, pendant la chirurgie de la cataracte de doses 40 à 50 fois supérieures à celle recommandée en céfuroxime, chez 6 patients, après des erreurs de dilution. L’acuité visuelle moyenne initiale était de 20/200. Une inflammation sévère du segment antérieur était présente, et la tomographie en cohérence optique de la rétine a montré un important œdème maculaire. Six semaines après la chirurgie, l’acuité visuelle moyenne atteignait 20/25. Le profil maculaire en tomographie en cohérence optique revint à la normale. Une diminution de 30% de l’électrorétinographie scotopique a cependant été observée chez tous les patients.

L’administration de céfuroxime incorrectement diluée (10-100 mg par œil) chez 16 patients a entraîné une toxicité oculaire avec un œdème cornéen qui s’est résorbé en quelques semaines, une augmentation transitoire de la pression oculaire, une perte de cellules endothéliales cornéennes et des modifications à l’électrorétinographie. Un certain nombre de ces patients ont eu une perte de vision sévère et permanente.

5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES  Retour en haut de la page

5.1. Propriétés pharmacodynamiques  Retour en haut de la page

Classe pharmacothérapeutique : Organes sensoriels – Médicaments ophtalmologiques – Anti-infectieux – Antibiotiques, code ATC : S01AA27.

Mécanisme d’action

La céfuroxime inhibe la synthèse de la paroi bactérienne en se fixant aux protéines de liaison aux pénicillines (PLP). Ceci conduit à un arrêt de la biosynthèse de la paroi cellulaire (peptidoglycanes) entrainant une lyse cellulaire et la mort de la bactérie.

Relations pharmacodynamiques/pharmacocinétiques

Pour les céphalosporines, il a été montré que l’index pharmacocinétique/pharmacodynamique le plus prédictif de l’efficacité in vivo était le pourcentage de temps (T%) pendant lequel la concentration de la forme libre en céfuroxime se situe au-dessus la concentration minimale inhibitrice (CMI) pour des bactéries cibles (c'est-à-dire T%>CMI).

Après injection intra-camérulaire de 1 mg de céfuroxime, les taux en céfuroxime dans l’humeur aqueuse étaient supérieurs aux CMI de plusieurs espèces concernées jusqu’à 4 à 5 heures après la chirurgie.

Mécanismes de résistance

La résistance bactérienne à la céfuroxime peut être due à un ou plusieurs des mécanismes suivants :

· Hydrolyse par des bêta-lactamases. La céfuroxime peut être hydrolysée efficacement par certaines bêta-lactamases à spectre étendu (BLSE) et par des bêta-lactamases chromosomiques (AmpC) qui peuvent être induites ou déréprimées de façon stable chez certaines espèces de bactéries aérobies à Gram négatif.

· Diminution de l’affinité des protéines de liaison aux pénicillines pour la Céfuroxime.

· Imperméabilité de la paroi externe, qui restreint l’accès de la céfuroxime aux protéines de liaison aux pénicillines chez des bactéries Gram négatif.

· Pompes à efflux bactériennes.

Les Staphylococcus résistants à la méticilline (SARM) sont résistants aux bêta-lactamines actuellement disponibles, dont la céfuroxime.

Les Streptococcus pneumoniae résistants à la pénicilline ont une résistance croisée aux céphalosporines comme la céfuroxime, par une altération des protéines de liaison aux pénicillines.

Des souches d’H. influenzae résistantes à l’ampicilline sans production de bêta-lactamase (BLNAR) devraient être considérées résistantes à la céfuroxime malgré une apparente sensibilité in vitro.

Concentrations critiques

La liste des micro-organismes présentés ci-après a tenu compte de l’indication (voir rubrique 4.1).

APROKAM doit être utilisé uniquement par voie intra-camérulaire et ne doit pas être utilisé pour traiter des infections systémiques (voir rubrique 5.2); les concentrations critiques cliniques ne sont pas transposables à cette voie d’administration. Les valeurs des seuils épidémiologiques (ECOFF), distinguant la population des souches sauvages des souches isolées avec des résistances acquises sont les suivantes :

ECOFF (mg/L)

Staphylococcus aureus

≤ 4

Streptococcus pneumoniae

≤ 0,125

E. coli

≤ 8

Proteus mirabilis

≤ 4

H. influenzae

≤ 2

La sensibilité des staphylococcus à la céfuroxime est déduite de la sensibilité à la méticilline.

La sensibilité des streptococcus de groupes A, B, C et G peut être déduite de leur sensibilité à la benzylpénicilline.

Informations issues des essais cliniques

Une étude prospective randomisée, dont l’aveugle n’a été que partiel, multicentrique, menée dans la chirurgie de la cataracte, a été réalisée sur 16 603 patients. Vingt-neuf patients (24 dans le groupe « sans céfuroxime » et 5 dans le groupe « céfuroxime par injection intra-camérulaire ») ont présentés une endophtalmie dont 20 (17 dans le groupe « sans céfuroxime » et 3 dans le groupe « céfuroxime par injection intra-camérulaire » furent considérés comme ayant une endophtalmie infectieuse prouvée. Parmi ces 20 endophtalmies prouvées : 10 patients sont dans le groupe « collyre de placebo et sans céfuroxime", 7 patients dans le groupe « levofloxacine collyre et sans céfuroxime », 2 patients dans le groupe « collyre de placebo et céfuroxime intra-camérulaire » et 1 patient dans le groupe « levofloxacine collyre et céfuroxime intra-camérulaire ». L’administration prophylactique d’une solution à 1 mg de céfuroxime par 0,1 ml de chlorure de sodium 9 mg/ml (0,9%) par voie intra-camérulaire a permis de diminuer le risque d’endophtalmies post-opératoires d’un facteur égal à 4.92.

Deux études prospectives (Wedje 2005 et Lundström 2007) et 5 études rétrospectives sont en support de l’étude pivotale ESCRS permettant d’étayer d’avantage l’efficacité de la céfuroxime administrée en intra-camérulaire dans la prévention des endophtalmies post-opératoires.

5.2. Propriétés pharmacocinétiques  Retour en haut de la page

L’exposition systémique suite à une injection intra-camérulaire n’a pas été étudiée, mais devrait être négligeable.

Après injection unique intra-camérulaire, de la dose recommandée de 0,1 ml d’une solution à 10 mg/ml de céfuroxime chez des patients atteints de cataracte, la concentration moyenne intra-camérulaire était de 2614 ± 209 mg/l (10 patients) à 30 secondes et de 1027 ± 43 mg/l (9 patients) à 60 minutes après administration de la solution.

5.3. Données de sécurité préclinique  Retour en haut de la page

Lors d’études précliniques, des effets ont été observés chez l’animal uniquement à des expositions largement supérieures à l’exposition maximale observée chez l’Homme, et ont eu peu de traduction clinique.

Trente minutes suivant l’injection intra-vitréenne de 1 mg de céfuroxime chez des lapins albinos, des taux de 19-35 mg/l et de 600-780 mg/l ont été retrouvés respectivement dans l’humeur aqueuse et dans le vitré. Ces taux après 6 heures diminuent à 1,9-7,3 mg/l et 190-260 mg/l respectivement dans ces deux structures. Il n’y a pas d’augmentation de la pression intra-oculaire pendant les 3 premiers jours. L’histopathologie n’a montré aucune modification dégénérative en comparaison avec la solution saline.

Electrorétinogramme (ERG) : les ondes a-, b- et c- diminuent jusqu’au 14ème jour aussi bien dans le groupe « témoin » que dans le groupe « œil avec injection d’antibiotique ».

Le retour à la normale est observé mais il peut être plus lent que dans le groupe « témoin ». L’ERG n’a montré aucun changement définitif suggérant une toxicité rétinienne jusqu’à 55 jours après l’administration intra-vitréenne.

6. DONNEES PHARMACEUTIQUES  Retour en haut de la page

6.1. Liste des excipients  Retour en haut de la page

Sans objet.

6.2. Incompatibilités  Retour en haut de la page

Ce médicament ne doit pas être mélangé avec d’autres médicaments à l’exception de ceux mentionnés dans la rubrique 6.6.

6.3. Durée de conservation  Retour en haut de la page

18 mois.

Après reconstitution : le produit doit être utilisé immédiatement après reconstitution et ne doit pas être réutilisé.

6.4. Précautions particulières de conservation  Retour en haut de la page

A conserver à une température ne dépassant pas 25°C.

Conserver le flacon dans l’emballage extérieur à l’abri de la lumière

Pour les conditions de conservation du médicament reconstitué, voir rubrique 6.3.

6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur   Retour en haut de la page

Flacon verre de type I de 8 ml, fermé par un bouchon en bromobutyle et une capsule aluminium flip-off.

Boite de 1, 10 ou 20 flacons de 50 mg.

Boîte de 10 flacons de 50 mg avec 10 aiguilles-filtre de 5 microns stériles

Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées.

6.6. Précautions particulières d’élimination et de manipulation  Retour en haut de la page

APROKAM doit être administré par injection intra-camérulaire, par un chirurgien ophtalmologiste dans les conditions d’asepsie recommandées de la chirurgie de la cataracte.

FLACON POUR USAGE UNIQUE SEULEMENT.

UTILISER UN FLACON POUR UN PATIENT. Coller l’étiquette drapeau du flacon dans le dossier patient.

Pour préparer le produit pour l’administration intra-camérulaire, veuillez suivre de façon stricte les instructions suivantes :

1. Retirer la capsule flip-off.

2. Avant d’insérer l’aiguille stérile, désinfecter la partie extérieure du bouchon en caoutchouc du flacon.

3. Enfoncer l'aiguille verticalement au centre du bouchon, en maintenant le flacon en position verticale. Ensuite, injecter dans le flacon 5 ml de solution pour injection de chlorure de sodium 9 mg/ml (0,9%) en suivant les règles d’asepsie.

4. Secouer doucement le flacon jusqu’à que la solution soit sans particule visible.

5. Fixer une aiguille-filtre de 5 microns stérile (18G x 1½”, 1,2 mm x 40 mm, filtre de 5 microns en copolymère acrylique sur nylon non-tissé) sur une seringue stérile de 1 ml. Enfoncer l’aiguille verticalement au centre du bouchon, en maintenant le flacon en position verticale.

6. Aspirer de façon aseptique au moins 0,1 ml de solution.

7. Déconnecter l’aiguille-filtre de 5 microns stérile de la seringue et assembler la seringue sur une canule appropriée pour la chambre antérieure.

8. Expulser doucement l’air de la seringue et ajuster la dose à la marque 0,1 ml de la seringue. La seringue est prête pour l’injection.

La solution reconstituée doit être inspectée visuellement et doit être utilisée uniquement si elle est incolore à jaunâtre et sans particule visible. Elle a un pH et une osmolalité proche des valeurs physiologiques (pH environ de 7,3 et osmolalité environ de 335 mosmol/kg).

Après utilisation, jeter la solution reconstituée restante. Ne pas la garder pour une utilisation ultérieure.

Tout produit non utilisé ou déchet doit être éliminé conformément à la réglementation en vigueur.

Jeter les aiguilles usagées dans un conteneur pour objets piquants.

7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE  Retour en haut de la page

LABORATOIRES THEA

12 RUE LOUIS BLERIOT

63017 CLERMONT-FERRAND CEDEX 2

8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE  Retour en haut de la page

· 34009 224 104 4 9 : poudre en flacon (verre) ; boîte de 1

· 34009 582 956 5 2 : poudre en flacon (verre) ; boîte de 10

· 34009 582 957 1 3 : poudre en flacon (verre) ; boîte de 20

· 34009 550 285 1 2 : poudre en flacon (verre) ; boîte de 10 avec 10 aiguilles-filtre de 5 microns stériles

9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DE L’AUTORISATION  Retour en haut de la page

Date de première autorisation:{JJ mois AAAA}

Date de dernier renouvellement:{JJ mois AAAA}

10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE  Retour en haut de la page

{JJ mois AAAA}

11. DOSIMETRIE  Retour en haut de la page

Sans objet.

12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACEUTIQUES  Retour en haut de la page

Sans objet.

CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE

Liste I

Prescription réservée aux spécialistes en ophtalmologie.


Retour en haut de la page Retour en haut de la page

 
Plan du site |  Accessibilité |  Contact |  Téléchargement |  Declaration de confidentialité |  Service-Public.fr |  Legifrance |  Gouvernement.fr